CONTENU ET STRUCTURE :
Présentation du contenu : Origine familiale et sociale.
Père entrepreneur en chauffage central ; mariage en seconde noce avec sa mère ; père de nationalité allemande (natif de Strasbourg) mais engagement dans l'Armée française en 1914 ; son décès en 1933 consécutif aux gazages subis durant la Première Guerre mondiale ; père francophile, sans engagement politique ; famille protestante pratiquante ; (00.06.23) informations relatives à sa famille maternelle ; (00.07.37) son parcours scolaire à Strasbourg (Bas-Rhin) ; son engagement chez les scouts ; (00.09.36) absence de discussion politique avec sa mère ; évocation de son ami Aimé Martin ; anecdote sur le patron d'une entreprise d'horlogerie.
La « Drôle de guerre » et la capitulation (1939-1940).
(00.12.16) Réflexions philosophiques sur la guerre et les hommes durant son adolescence ; (00.15.21) évacuation de Strasbourg ; déménagement de la famille à Dampierre-sur-Loire (Maine-et-Loire) ; évocation succincte des réfugiés arrivant de Paris ; acclimatation facile et participation aux activités de la région : vendange, cueillette ; (00.18.06) départ vers Langon (Gironde), région Bordelaise ; son regard d'adolescent sur la « réalité de la guerre » ; son séjour dans une famille de viticulteurs ; (00.22.18) sa réaction face à la capitulation de la France ; sa rencontre avec de jeunes Belges ; une période qualifiée de « bon-enfant ».
La vie quotidienne à Strasbourg (1940).
(00.25.50) Contact régulier avec son ami Aimé Martin et son tuteur, le pasteur Kleim ; les raisons de son retour à Strasbourg ; description précise de son arrivée en gare de Strasbourg ; (00.30.58) émergence de l'idée de résistance avec son ami Aimé Martin ; le parcours d'Aimé Martin ; obtention du brevet d'enseignement primaire supérieur ; description de son emploi comme apprenti géomètre dans une annexe du Cadastre ; (00.37.31) aucun antisémitisme avant la guerre en Alsace ; la spoliation des juifs ; germanisation des noms des rues et des noms de famille ; la propagande nazie.
Son entrée progressive en Résistance et constitution du groupe « la Main-Noire ».
(00.41.30) Volonté de réagir face à l'occupation allemande ; les prémices de la constitution d'un groupe avec Marcel Veynaud, Albert Ulrich, et André Matis ; la rencontre décisive avec Marcel Weinum ; (00.44.54) l'organisation du groupe ; évocation d'un autre groupe à Neudorf (Bas-Rhin) ; l'origine du nom de la Main-Noire ; énumération des différents pseudonymes des membres du groupe ; élaboration d'un code secret pour communiquer ; (00.51.07) les premières actions de résistance : rassembler des armes, saboter des lignes, et distribuer des tracts ; (00.53.10) coordinateur entre son groupe et Marcel Weinum ; absence de peur ; (00.54.30) obligation d'adhérer aux Jeunesses hitlériennes.
Origine familiale et sociale.
Père entrepreneur en chauffage central ; mariage en seconde noce avec sa mère ; père de nationalité allemande (natif de Strasbourg) mais engagement dans l'Armée française en 1914 ; son décès en 1933 consécutif aux gazages subis durant la Première Guerre mondiale ; père francophile, sans engagement politique ; famille protestante pratiquante ; (00.06.23) informations relatives à sa famille maternelle ; (00.07.37) son parcours scolaire à Strasbourg (Bas-Rhin) ; son engagement chez les scouts ; (00.09.36) absence de discussion politique avec sa mère ; évocation de son ami Aimé Martin ; anecdote sur le patron d'une entreprise d'horlogerie.
La « Drôle de guerre » et la capitulation (1939-1940.)
(00.12.16) Réflexions philosophiques sur la guerre et les hommes durant son adolescence ; (00.15.21) évacuation de Strasbourg ; déménagement de la famille à Dampierre-sur-Loire (Maine-et-Loire) ; évocation succincte des réfugiés arrivant de Paris ; acclimatation facile et participation aux activités de la région : vendange, cueillette ; (00.18.06) départ vers Langon (Gironde), région Bordelaise ; son regard d'adolescent sur la « réalité de la guerre » ; son séjour dans une famille de viticulteurs ; (00.22.18) sa réaction face à la capitulation de la France ; sa rencontre avec de jeunes Belges ; une période qualifiée de « bon-enfant ».
La vie quotidienne à Strasbourg (1940).
(00.25.50) Contact régulier avec son ami Aimé Martin et son tuteur, le pasteur Kleim ; les raisons de son retour à Strasbourg ; description précise de son arrivée en gare de Strasbourg ; (00.30.58) émergence de l'idée de résistance avec son ami Aimé Martin ; le parcours d'Aimé Martin ; obtention du brevet d'enseignement primaire supérieur ; description de son emploi comme apprenti géomètre dans une annexe du Cadastre ; (00.37.31) aucun antisémitisme avant la guerre en Alsace ; la spoliation des Juifs ; germanisation des noms des rues et des noms de famille ; la propagande nazie.
Son entrée progressive en Résistance et constitution du groupe « la Main-Noire ».
(00.41.30) Volonté de réagir face à l'occupation allemande ; les prémices de la constitution d'un groupe avec Marcel Veynaud, Albert Ulrich, et André Matis ; la rencontre décisive avec Marcel Weinum ; (00.44.54) l'organisation du groupe ; évocation d'un autre groupe à Neudorf (Bas-Rhin) ; l'origine du nom de la Main-Noire ; énumération des différents pseudonymes des membres du groupe ; élaboration d'un code secret pour communiquer ; (00.51.07) les premières actions de résistance : rassembler des armes, saboter des lignes, et distribuer des tracts ; (00.53.10) coordinateur entre son groupe et Marcel Weinum ; absence de peur ; (00.54.30) obligation d'adhérer aux Jeunesses hitlériennes.