CONTENU ET STRUCTURE :
Présentation du contenu : Origine familiale et sociale.
Milieu familial modeste ; le divorce de ses parents ; une enfance difficile ; sa scolarisation au lycée Clemenceau à Montpellier, puis dans le couvent de Brissac ; (00.03.38) ses divergences politiques et religieuses avec sa famille de tutelle ; son désir d'indépendance.
La « Drôle de guerre » et l'occupation allemande à Montpellier.
(00.04.30) Évocation rapide de la capitulation de la France et de l'Appel du 18 juin 1940 ; les difficultés de la vie quotidienne ; la montée de l'antisémitisme ; (00.09.10) anecdote sur l'arrivée de l'Armée allemande à Montpellier ; crainte de la Milice.
Résistance et arrestation.
(00.12.30) Les circonstances de son entrée dans la Résistance et de son activité de messagère: l'importance de Germaine Kuet ; (00.16.50) description détaillée de son arrestation (avril 1944) ; son transfert à la Prison de la 32e ; les interrogatoires subis dans la villa des Rosiers ; la torture de la baignoire ; la présence du préfet Reboulleau ; (00.25.04) les conditions de détention au Fort de Romainville (Les Lilas).
La Déportation (mai 1944-mai 1945).
(00.27.10) Des conditions de transport sommaires ; (00.28.50) description de l'arrivée au camp de Ravensbrück ; ses premières impressions ; (00.30.40) détails sur sa vie quotidienne au camp : la baraque, l'appel du matin, la malnutrition, le climat difficile, une journée type dans la mine de sel, les compagnons de détention ; (00.35.40) évocation des expériences médicales au Revier et de l'arrachement de ses dents ; (00.36.34) anecdote au sujet de La Marseillaise chantée au camp le 14 juillet 1944 ; l'attitude protectrice de Geneviève de Gaulle envers les autres détenus ; (00.41.29) sa rencontre avec Odette Capion avant son départ de Ravensbrück pour aller travailler à Beenford ; souvenirs épars de l'aide et des soins donnés à son égard par un couple 'Allemands ; remarque anecdotique sur le sadisme d'un gardien allemand ; description du travail quotidien au camp de Beendorf [Le KZ Beendorf (ou SS-Arbeitslager A3 pour son appellation officielle) est un Kommando dépendant des camps de Ravensbrück et Neuengamme (Allemagne). Les prisonniers y travaillaient dans les mines de sel pour le compte de l'Armée allemande.] ; (00.44.15) les détails de sa maladie et la bonté du couple allemand ; (00.49.03) l'abandon du camp par les Allemands et le départ en train pour la Suède ; informations sur sa famille d'accueil.
Le retour en France et le devoir de Mémoire.
(00.52.20) Le silence autour de son expérience de la déportation : le déni de ses enfants et la curiosité de ses petits-enfants ; (00.54.02) son retour en France à l'hôtel Lutetia ; (00.56.20) son retour à Montpellier avant son départ dans une maison d'accueil à Castres (Tarn) ; l'aide du Comité des œuvres sociales de la Résistance.
Conclusion.
(00.57.17) L'importance de « Garder l'espoir ».
Origine familiale et sociale.
Milieu familial modeste ; le divorce de ses parents ; une enfance difficile ; sa scolarisation au lycée Clemenceau à Montpellier, puis dans le couvent de Brissac ; (00.03.38) ses divergences politiques et religieuses avec sa famille de tutelle ; son désir d'indépendance.
La « Drôle de guerre » et l'occupation allemande à Montpellier.
(00.04.30) Évocation rapide de la capitulation de la France et de l'Appel du 18 juin 1940 ; les difficultés de la vie quotidienne ; la montée de l'antisémitisme ; (00.09.10) anecdote sur l'arrivée de l'Armée allemande à Montpellier ; crainte de la Milice.
Résistance et arrestation.
(00.12.30) Les circonstances de son entrée dans la Résistance et de son activité de messagère: l'importance de Germaine Kuet ; (00.16.50) description détaillée de son arrestation (avril 1944) ; son transfert à la Prison de la 32e ; les interrogatoires subis dans la villa des Rosiers ; la torture de la baignoire ; la présence du préfet Reboulleau ; (00.25.04) les conditions de détention au Fort de Romainville (Les Lilas).
La Déportation (mai 1944-mai 1945).
(00.27.10) Des conditions de transport sommaires ; (00.28.50) description de l'arrivée au camp de Ravensbrück ; ses premières impressions ; (00.30.40) détails sur sa vie quotidienne au camp : la baraque, l'appel du matin, la malnutrition, le climat difficile, une journée type dans la mine de sel, les compagnons de détention ; (00.35.40) évocation des expériences médicales au Revier et de l'arrachement de ses dents ; (00.36.34) anecdote au sujet de La Marseillaise chantée au camp le 14 juillet 1944 ; l'attitude protectrice de Geneviève De Gaulle envers les autres détenus ; (00.41.29) sa rencontre avec Odette Capion avant son départ de Ravensbrück pour aller travailler à Beenford ; souvenirs épars de l'aide et des soins donnés à son égard par un couple 'Allemands ; remarque anecdotique sur le sadisme d'un gardien allemand ; description du travail quotidien au camp de Beendorf[1] ; (00.44.15) les détails de sa maladie et la bonté du couple allemand ; (00.49.03) l'abandon du camp par les Allemands et le départ en train pour la Suède ; informations sur sa famille d'accueil.
Le retour en France et le devoir de Mémoire.
(00.52.20) Le silence autour de son expérience de la déportation : le déni de ses enfants et la curiosité de ses petits-enfants ; (00.54.02) son retour en France à l'hôtel Lutetia ; (00.56.20) son retour à Montpellier avant son départ dans une maison d'accueil à Castres (Tarn) ; l'aide du Comité des œuvres sociales de la Résistance.
Conclusion.
(00.57.17) L'importance de « Garder l'espoir ».
[1] Le KZ Beendorf (ou SS-Arbeitslager A3 pour son appellation officielle) est un Kommando dépendant des camps de Ravensbrück et Neuengamme (Allemagne). Les prisonniers y travaillaient dans les mines de sel pour le compte de l'Armée allemande.