CONTENU ET STRUCTURE :
Présentation du contenu : La déportation dans le camp de Dachau (5 septembre 1944-29 avril 1945).
Les problèmes d'hygiène et les maladies apportées par l'arrivée massive de détenus ; (00.01.31) réception de colis envoyés par la Croix rouge française destinés aux prisonniers de guerre ; le partage de son colis avec un jeune soldat russe de 17 ans ; la démarche originale de Georges Briquet pour le dimanche 1er avril 1945 et son poème humoristique écrit pour Pâques ; (00.07.10) lassitude apparente des Allemands à cette période.
Chronologie de la libération du camp de Dachau (avril 1945).
(00.08.00) Détérioration de son état de santé ; sa sortie du Revier le 24 avril ; (00.10.45) effervescence du camp face à l'arrivée probable des Américains ; témoin de la destruction de documents par les Allemands et les Russes ; (00.12.30) l'espoir et l'inquiétude associés à la libération du camp ; abandon des miradors par les SS le 28 avril ; arrivée d'autres soldats allemands ; (00.13.20) création par les détenus d'un comité international du camp ; les qualités du Docteur Lafitte, délégué du groupe français ; arrivée des Américains le 30 avril ; (00.15.15) digression sur l'évacuation du camp des Allemands et des Russes entre les 23 et 26 avril ; actes de vengeance contre les Kapos ; (00.17.00) réception de l'encadrement américain par le comité international de détenus le 30 avril ; les problèmes de typhus et la surveillance maintenue par un détachement américain ; (00.18.25) anecdote sur les tirs de semonce des Américains ayant pris position dans les miradors ; (00.19.00) le pillage par les détenus des stocks des SS et des fermes environnantes ; l'effet particulier de la faim sur le physique et sur le moral ; (00.21.00) le camp d'Allach et les exécutions sommaires commises par les Américains ; anecdote au sujet d'un Américain donnant à un ancien détenu un pistolet pour «s'entraîner» sur un SS ligoté ; (00.23.30) changement de l'uniforme de détenu pour celui de SS à cause de l'invasion de poux ; (00.25.48) la messe dirigée par l'aumônier du Général Leclerc le 18 mai 1945 ; (00.27.30) souvenirs émus de l'arrivée du Général Leclerc ; (00.29.38) une nourriture trop riche à la libération du camp.
Le retour en France (1945).
(00.30.16) Transmission du courrier aux familles grâce au comité international ; des communications difficiles avec la France ; (00.31.40) ; envoyés pour convalescence sur l'île de Reichenau (Allemagne) fin mai ; premier sentiment de réelle liberté durant ce bref séjour sur l'île ; (00.33.50) trajet depuis Constance dans un train sanitaire décoré par les déportés ; traversée de la Suisse ; (00.35.50) accueillis sans effervescence à Mulhouse-Dornach (Haut-Rhin) ; formalité administrative et vérification scrupuleuse de leurs identités ; (00.40.00) ses retrouvailles sur le trajet du retour avec un cousin germain, Jacques Feiss, resté prisonnier cinq ans dans un Stalag ; décalage entre leurs deux expériences ; (00.42.10) son arrivée à Avignon (Vaucluse) ; les difficultés à parler de son expérience en camp concentrationnaire avec sa famille ; volonté des siens de prendre soin de lui ; son mauvais état de santé ; anecdote sur la lecture faite par sa mère du roman La Chartreuse de Parme.
L'importance du témoignage.
(00.46.35) Les raisons de son silence autour de son expérience douloureuse et le paradoxe avec l'état d'esprit dans le camp : survivre pour raconter ; (00.50.00) première prise de parole publique lors d'un exposé succinct à l'École supérieure d'intendance ; (00.51.10) parallèle entre la cruauté du nazisme et les massacres plus récents lors des guerres en Tchécoslovaquie, au Rwanda ou autour de la destruction des tours du World Trade Center ; (00.53.10) sa retraite à Montpellier et ses retrouvailles avec d'anciens déportés ; président de l'association des déportés et internés politiques et familles de disparus (ADIF) de l'Hérault ; son choix de témoigner par souci de devoir de mémoire ; (00.55.44) parallèle entre la haine des nazis et celle de certains peuples de nos jours ; son admiration pour le personnel des organismes humanitaires ; (00.58.00) digression sur le royalisme de son père ; (00.60.00) les difficultés financières après-guerre de ses parents.
La déportation dans le camp de Dachau (5 septembre 1944-29 avril 1945).
Les problèmes d'hygiène et les maladies apportées par l'arrivée massive de détenus ; (00.01.31) réception de colis envoyés par la Croix rouge française destinés aux prisonniers de guerre ; le partage de son colis avec un jeune soldat russe de 17 ans ; la démarche originale de Georges Briquet pour le dimanche 1er avril 1945 et son poème humoristique écrit pour Pâques ; (00.07.10) lassitude apparente des Allemands à cette période.
Chronologie de la libération du camp de Dachau (avril 1945).
(00.08.00) Détérioration de son état de santé ; sa sortie du Revier le 24 avril ; (00.10.45) effervescence du camp face à l'arrivée probable des Américains ; témoin de la destruction de documents par les Allemands et les Russes ; (00.12.30) l'espoir et l'inquiétude associés à la libération du camp ; abandon des miradors par les SS le 28 avril ; arrivée d'autres soldats allemands ; (00.13.20) création par les détenus d'un comité international du camp ; les qualités du Docteur Lafitte, délégué du groupe français ; arrivée des Américains le 30 avril ; (00.15.15) digression sur l'évacuation du camp des Allemands et des Russes entre les 23 et 26 avril ; actes de vengeance contre les Kapos ; (00.17.00) réception de l'encadrement américain par le comité international de détenus le 30 avril ; les problèmes de typhus et la surveillance maintenue par un détachement américain ; (00.18.25) anecdote sur les tirs de semonce des Américains ayant pris position dans les miradors ; (00.19.00) le pillage par les détenus des stocks des SS et des fermes environnantes ; l'effet particulier de la faim sur le physique et sur le moral ; (00.21.00) le camp d'Allach et les exécutions sommaires commises par les Américains ; anecdote au sujet d'un Américain donnant à un ancien détenu un pistolet pour «s'entraîner» sur un SS ligoté ; (00.23.30) changement de l'uniforme de détenu pour celui de SS à cause de l'invasion de poux ; (00.25.48) la messe dirigée par l'aumônier du Général Leclerc le 18 mai 1945 ; (00.27.30) souvenirs émus de l'arrivée du Général Leclerc ; (00.29.38) une nourriture trop riche à la libération du camp.
Le retour en France (1945).
(00.30.16) Transmission du courrier aux familles grâce au comité international ; des communications difficiles avec la France ; (00.31.40) ; envoyés pour convalescence sur l'île de Reichenau (Allemagne) fin mai ; premier sentiment de réelle liberté durant ce bref séjour sur l'île ; (00.33.50) trajet depuis Constance dans un train sanitaire décoré par les déportés ; traversée de la Suisse ; (00.35.50) accueillis sans effervescence à Mulhouse-Dornach (Haut-Rhin) ; formalité administrative et vérification scrupuleuse de leurs identités ; (00.40.00) ses retrouvailles sur le trajet du retour avec un cousin germain, Jacques Feiss, resté prisonnier cinq ans dans un Stalag ; décalage entre leurs deux expériences ; (00.42.10) son arrivée à Avignon (Vaucluse) ; les difficultés à parler de son expérience en camp concentrationnaire avec sa famille ; volonté des siens de prendre soin de lui ; son mauvais état de santé ; anecdote sur la lecture faite par sa mère du roman La Chartreuse de Parme.
L'importance du témoignage.
(00.46.35) Les raisons de son silence autour de son expérience douloureuse et le paradoxe avec l'état d'esprit dans le camp : survivre pour raconter ; (00.50.00) première prise de parole publique lors d'un exposé succinct à l'École supérieure d'intendance ; (00.51.10) parallèle entre la cruauté du nazisme et les massacres plus récents lors des guerres en Tchécoslovaquie, au Rwanda ou autour de la destruction des tours du World Trade Center ; (00.53.10) sa retraite à Montpellier et ses retrouvailles avec d'anciens déportés ; président de l'association des déportés et internés politiques et familles de disparus (ADIF) de l'Hérault ; son choix de témoigner par souci de devoir de mémoire ; (00.55.44) parallèle entre la haine des nazis et celle de certains peuples de nos jours ; son admiration pour le personnel des organismes humanitaires ; (00.58.00) digression sur le royalisme de son père ; (00.60.00) les difficultés financières après-guerre de ses parents.
