- Transaction mettant fin à un procès entre Henri Serres, conseiller à la cour des aides, Claude Serres, son cousin germain, chanoine du chapitre de la Sainte-Trinité de Maguelone, et son frère Jean-Antoine Serres, procureur au parlement de Toulouse (1700).

- Lettre de légitimation de Marie-Françoise-Suzanne, épouse de Jean-Edmond Serres, et de Marie-Madeleine Estienne, fille de Claude Estienne, comte d'Estable, et de Marie Astier (1749).

- Quittances de Claude Serres et de Françoise Laurès, son épouse, en faveur de François Lemasurier, inspecteur général des manufactures de Languedoc, agissant pour Claire Laurès, son épouse (1754).

- Testament de Madame Laurès de Serres (1788).

- Quittances concernant cette famille (1769-1790).

- Lettres de Claude Serres, de Toulouse, à son fils avocat à Montpellier (1731).

- Lettres de Madame Laurès-Serres à son mari et à son fils (1739-1743).

Correspondance adressée à Claude Serres et à sa famille.

- Lettres personnelles, consultations juridiques (1737-1769). Parmi les correspondants, peuvent être mentionnés Belot, de Toulouse, Juin, de Toulouse, Dumont, de Montauban, Mathieu Serres, de Toulouse, d'Aigrefeuille, le marquis de Montferrier, Théron et Traynier, marchands d'Albi qui ont chargé Claude Serres d'affermer leurs créances sur les frères Guinard, marchands de Montpellier (1742-1746), le duc de Fleury qui demande à Claude Serres de ne pas lui dédier son livre (1752).

- Contrat entre Serres et Rayet, imprimeur, qui se charge de l'impression du Traité des donations, criées, testaments et substitutions (1755).

Correspondance adressée à Serres, par sa femme, son fils, Clergue et le neveu de ce dernier, Figuères, relativement à un procès qu'a ledit Serres devant le parlement de Toulouse contre Laurès et Madières.

- Placard imprimé de la thèse de physique soutenue par Claude Serres, de Toulouse. Acte principal (1714).

- Réception de Claude Serres au nombre des avocats près le parlement de Toulouse (1717).

- Thèse de docteur en droit civil et canonique soutenue par Claude Serres, de Toulouse.

- Acte principal (1738).

- Provisions de la chaire de professeur en droit français de l'université de Montpellier, vacante par le décès d'Ugla, au profit de Claude Serres (1738).

- Lettre du chancelier d'Aguesseau annonçant à Claude Serres sa nomination (1738).

- Procès-verbal d'installation de Claude Serres dans sa chaire (1738).

- Lettre de Monsieur d'Aguessau à Claude Serres qui vient de recevoir une augmentation de ses droits (1740).

- Certificat du père jésuite Maury, attestant que Claude Serres n'est pas un janséniste (1741).

- Arrêt du Conseil ordonnant que Claude Serres, pourvu de la chaire de professeur en droit français, remplira en même temps la place de docteur agrégé pendant l'absence d'Artaud (1747).

- Nomination de Claude Serres comme syndic des professeurs, pour faire le recouvrement des gages et appointements de la chaire de feu Causse (1752).

- Litige entre Claude Serres, professeur de droit français à la faculté de Montpellier, et les professeurs de droit de ladite faculté, notamment ceux de droit romain. Claude Serres se plaint de n'avoir pas été nommé ni recteur, ni prieur des docteurs, et de percevoir des émoluments inférieurs à ceux de ses collègues (1741-1761).

- Arrêt du parlement de Toulouse portant que Claude Serres sera nommé recteur en 1743 (1741).

- Certificat des secrétaires des universités de Besançon, Toulouse et Valence relativement aux usages en vigueur dans leurs universités pour l'élection des recteurs (1752-1753).

- Lettres adressées à Claude Serres sur ce sujet par des professeurs de différentes universités et notamment par Pothier d'Orléans (1753).

- Note sur les recteurs qui se sont succédé à Montpellier de 1718 à 1741.

- Extrait de délibérations de l'université de Montpellier relatives aux élections du recteur (1732-1738).

- Confirmation par le roi des privilèges et prérogatives de l'évêque de Montpellier à l'égard de l'université (1613).

- Notes prises dans les registres de la faculté de droit de Montpellier de 1660 à 1768.

- Lettres patentes confirmant l'union de la faculté de théologie de Montpellier avec les facultés de droit et de médecine, et unissant les deux chaires de théologie, de droit et des arts de Montpellier et portant règlement pour la faculté de théologie (1723).

- Lettre de Ponchartrain demandant aux professeurs de la faculté de droit de recevoir Mestrezat, protestant de Genève, licencié en droit canonique (1708).

- Extrait d'une lettre du chancelier relative au paiement de Carbonier, agrégé (1716).

- Nomination de Nissole comme syndic de l'université, en remplacement de Vaissière qui a donné sa démission (1718).

- Soumission de Marcha et Ugla, professeurs de droit, au formulaire du pape Alexandre VII (1724).

- Arrêt du Conseil confirmant l'élection de Brun comme recteur de l'université (1725).

- État des étudiants en droit de l'université de Montpellier de 1729 à 1766, servant aux comptes de Claude Serres.

- Lettres patentes fixant les droits et les émoluments attachés à la place de professeur de droit français à la faculté de Montpellier (1740).

- Nomination de Causse comme recteur (1740).

- Certificat du greffier de la chambre des comptes de Montpellier attestant l'enregistrement des provisions d'Étienne Marcha, professeur de droit civil et canonique à la faculté de Montpellier, de Pierre Causse et Jean-Pierre Vaissière, professeurs à la faculté de droit (1741).

- Requête du syndic de la faculté de droit de Montpellier au parlement de Toulouse contre les nouvelles prétentions du chancelier de l'université pour la collation des grades de licencié (1743).

- Arrêt du Conseil accordant à Marcha démissionnaire de la chaire de droit civil et canonique, la moitié des gages et attributions attachés à cette chaire, sa vie durant. Le surplus des gages et attributions ira à Bénézech (1754).

- Lettres de Lamoignon relatives au concours pour une place de docteur agrégé vacante en l'université d'Aix et que le roi renvoie à l'université de Montpellier (1751).

- Autres lettres relatives à l'incompatibilité des fonctions de professeur et d'agrégé qu'occupe Artaud (1756).

- Lettre du prieur du collège des docteurs en droit de Bologne qui s'excuse de ne pas avoir retrouvé le privilège de 1368 que les Montpelliérains lui avaient demandé, et les remercie de leur fidélité au souvenir de Placentin (1760).

- Réponses aux demandes faites à la faculté de droit de Montpellier par les commissaires du département de l'Hérault sur l'état de ladite université (époque révolutionnaire).

- Liste des jours pendant lesquels l'académie de Montpellier vaque (s. d.).

- Mémoire sur la noblesse des professeurs de droit et leurs descendants.

- Liste de documents concernant la faculté de droit.

- Règlements pour les places de boursiers.

- Sommation d'Antoine Fraissinet, collégiat de la faculté de droit de Montpellier, contre Rigaud qui prétend avoir été pourvu de la place de collégiat (1741).

- Arrêt du parlement de Toulouse portant règlement pour le collège de Mende (1752).

- Notes sur la fondation du collège du Verger.

- " Mémoires et instructions pour avoir conseil touchant la place de collégiat-prieur du collège du Verger, anciennement de la Chapelle-Neuve de Montpellier " (s. d.).

- Protestation du prieur de ce collège devant le syndic de l'université au sujet des revenus de son prieuré et des réparations à faire aux bâtiments dépendant du collège (1634).

- Pièces de procédure pour le R. P. Fraissinet, chapelain de la Chapelle-Neuve et du collège du Verger, contre le procureur général du roi. Le P. Fraissinet prétend ne pas être tenu de payer des droits de lods ou de censives, mais accepte de passer une nouvelle reconnaissance envers le roi (1695).

- Ordonnance des trésoriers de France contre Andrieu qui a creusé des trous devant sa maison, place de la Chapelle-Neuve, en face du collège de droit (1766).

- Affiches annonçant les exercices publics (disputationes) des candidats aux chaires de professeur de droit vacantes (1752-1753).

- Exercices publics de Jean-Baptiste Romieu, Jean Boyer, Reboul, Feautrier et Marcel Faure, candidats aux chaires de Claude Roux de Saint-André et de Pierre Causse (1753-1754).