Marius Joseph Ulysse Vidal est né le 20 février 1876 à Nézignan-l'Evêque. Boulanger à Nézignan-l'Evêque, il effectue son service militaire au 122e régiment d'infanterie (122e RI) de 1897 à 1900. En 1908, il est boulanger à Mèze. Epoux de Zoé Vidal, il a deux filles, Reine et Odette. En août 1914, il est mobilisé à la 15e compagnie du 121e régiment d'infanterie territoriale (121e RIT), puis passe à la 16e compagnie, avant d'être transféré en janvier 1915 à la 17e compagnie du 296e régiment d'infanterie (296e RI). En octobre 1915, il est porté disparu à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais), puis signalé mort pour la France le 11 octobre 1915 à Maroeuil (Pas-de-Calais).

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Correspondance active de Marius Joseph Ulysse Vidal, adressée à sa femme Zoé Vidal et à ses filles Reine et Odette Vidal (14 août 1914 9 octobre 1915) [vues n° 1-159].

- Correspondance adressée à la famille Vidal après le décès de Marius Joseph Ulysse Vidal [vues n° 160-189] ; comprend notamment la description des circonstances de disparition d'Ulysse Vidal par l'un de ses camarades [vues n° 160-165], ainsi que la dernière lettre adressée à Ulysse Vidal par ses filles, retournée à la famille après le disparition d'Ulysse Vidal le 11 octobre 1915 [vues n° 166-169].

[Parcours de Marius Joseph Ulysse Vidal pendant la guerre : de l'été 1914 à juin 1915, Marius Joseph Ulysse Vidal cantonne dans le secteur de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon) et Mazamet (Tarn, Midi-Pyrénées) [vues n° 2-65]. Il est ensuite en formation au centre d'instruction des mitrailleurs de Clermont-Ferrand, situé au camp militaire de La Fontaine-du-Berger (Orcines, Puy-de-Dôme, Auvergne) jusqu'en juillet 1915 [vues n° 66-89]. Après avoir regagné le 296e RI, Marius Joseph Ulysse Vidal est en secondes lignes dans le secteur d'Arras [vues n° 90-126] (juillet- août 1915). Il passe ensuite en premières lignes vers Ypres, puis au dépôt régimentaire jusqu'en septembre 1915, et stationne avec son unité dans le Pas-de-Calais [vues n° 127-159].]

L'original appartient à Mme Huguette Blayac.

Marius Joseph Ulysse Vidal est né le 20 février 1876 à Nézignan-l'Evêque. Boulanger à Nézignan-l'Evêque, il effectue son service militaire au 122e régiment d'infanterie (122e RI) de 1897 à 1900. En 1908, il est boulanger à Mèze. Epoux de Zoé Vidal, il a deux filles, Reine et Odette. En août 1914, il est mobilisé à la 15e compagnie du 121e régiment d'infanterie territoriale (121e RIT), puis passe à la 16e compagnie, avant d'être transféré en janvier 1915 à la 17e compagnie du 296e régiment d'infanterie (296e RI). En octobre 1915, il est porté disparu à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais), puis signalé mort pour la France le 11 octobre 1915 à Maroeuil (Pas-de-Calais).

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Couverture et première page du livret militaire de Marius Joseph Ulysse Vidal (1897-1900) [vues n° 1-2].

- Extrait du livret d'instruction intitulé "Petit questionnaire à l'usage des gradés et des soldats des sections mitrailleuses" (1914) [vues n° 3-7].

- Carnet de notes de Marius Joseph Ulysse Vidal, prises lors de son stage au centre d'instruction des mitrailleurs de Clermont-Ferrand, situé au camp militaire de La Fontaine-du-Berger (Orcines, Puy-de-Dôme, Auvergne) en juillet 1915 [vues n° 8-12].

- Lettre annonçant au maire de Mèze le décès de Marius Joseph Ulysse Vidal (18 décembre 1915) [vue n° 13].

- Sac en toile de jute contenant les effets personnels de Marius Joseph Ulysse Vidal, soldat à la 17e compagnie du 296e RI (1915) [vue n° 14].

L'original appartient à Mme Huguette Blayac.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- " 0524 Somme Moreuil-" [vue n° 1].

- "Devant Douaumont Cadavres allemands" [vue n° 2].

- "Marne 1914 cadavres Français" [vue n° 3].

- "Prisonniers aux 3 Dones Montdidier" [vue n° 4].

- "Verdun Fort de Douaumont" [vue n° 5].

- "A_124 Chavonne Construction d'un pont" [vue n° 6].

- "Aisne 1918 Blessés allemands" [vue n° 7].

- "Aisne La ferme d'Hurtebise" [vue n° 8].

- "4024. En réserve Harbonnières" [vue n° 9].

- "Aisne 1918 Français restés sans sépulture" [vue n° 10].

- "Chavonne Cadavre allemand" [vue n° 11].

- "Argonne Cheval projeté dans un arbre" [vue n° 12].

- "Vers Chaulnes Après l'attaque" [vue n° 13].

- "Ercheu Pendant l'avance" [vue n° 14].

- "Craonne tranchée du Balcon" [vue n° 15].

- "A-214 _ Sud de Craonne Observatoire français" [vue n° 16].

- "Cadavre à Laffaux" [vue n° 17].

- "Ailly-sur-Noye Vaguemestre tué" [vue n° 18].

- "A-17 Anizy-le-Château L'ailette" [vue n° 19].

- "Cadavre allemand au Chemin des Dames" [vue n° 20].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Verdun Ravin de la Caillette 388" [vue n° 1].

- "Un 155 court en Argonne" [vue n° 2].

- "Abri devant Douaumont" [vue n° 3].

- "Verdun on évacue un blessé" [vue n° 4].

- "Fort de Douaumont" [vue n° 5].

- "Verdun entrée du fort de Tavannes" [vue n° 6].

- "Verdun en ligne" [vue n° 7].

- "Batterie de 400 dans le Somme" [vue n° 8].

- "Tranchée devant Verdun" [vue n° 9].

- "34060 Argonne Bois de Lagruerie" [vue n° 10].

- "Verdun la fameuse batterie de Damloup" [vue n° 11].

- "La chasse aux Totos" [vue n° 12].

- "Zouaves en réserve" [vue n° 13].

- "Etelfay Blessés allemands" [vue n° 14].

- "Pendant l'étape" [vue n° 15].

- "4312 Verdun Voie Sacrée" [vue n° 16].

- "Verdun En 1er ligne" [vue n° 17].

- "Verdun côte 342" [vue n° 18].

- "Prisonniers de la cote 304" [vue n° 19].

- "Carrefour Hem - Monacu" [vue n° 20].

- "0619 Belloy-en-Santerre Sénégalais en corvée" [vue n° 21].

- "Au bois des Fougasses" [vue n° 22].

- "Verdun tranchée couverte" [vue n° 23].

- "Batterie détruite près du fort de Vaux" [vue n° 24].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Côté allemand" [vue n° 1].

- "L'Armistice à Paris" [vue n° 2].

- "Traité de Versailles les délégués allemands" [vue n° 3].

- "La crête Rocheuse secteur du Linge" [vue n° 4].

- "Paris - Armistice" [vue n° 5].

- "La mobilisation Les départs" [vue n° 6].

- "L'armistice parlementaires allemands dans nos lignes" [vue n° 7].

- "Sainte-Marie-à-Py tanks détruits" [vue n° 8].

- "Un Nieuport abbatu" [vue n° 9].

- "1ère ligne en 1915 22036 Champagne" [vue n° 10].

- "Cheval tué à Assevillers" [vue n° 11].

- "Hébuterne l'église" [vue n° 12].

- "Vosges cote 607 un observatoire" [vue n° 13].

- "Artois - Calonne Fosse 16", "23067" [vue n° 14].

- "Guetteur allemand", "26397 Vosges" [vue n° 15].

- "Vosges tranchées à la tête des Faux" [vue n° 16].

- "1031 Compiègne Gotha abattu" [vue n° 17].

- "Entonnoir de mine vers la Targette 6036" [vue n° 18].

- "Boyau à Metzeral" [vue n° 19].

- "Le salut au drapeau" [vue n° 20].

- "Champs Elys. MonT au poilu 23419 La victoire" [vue n° 21].

- "Alsace - boyau" [vue n° 22].

- "Petit poste dans les Vosges" [vue n° 23].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Vers Carency" [vue n° 1].

- "0530 Somme un 240 de marine" [vue n° 2].

- "Prisonniers de Verdun - 83" [vue n° 3].

- "18 août 1916 Germonville (Verdun)" [vue n° 4].

- "0130 Vers Souain (1915) tranchée conquise" [vue n° 5].

- "Mt Cornillet - prisonniers" [vue n° 6].

- "Calonne Obus non éclaté" [vue n° 7].

- "Sainte-Marie-à-Py tranchées conquises" [vue n° 8].

- "Chemin des Dames Allemands tués sous leur abri" [vue n° 9].

- "En pleine attaque de Souain 1915" [vue n° 10].

- "Un boyau devant Souville" [vue n° 11].

- "Laffaux Allemands tués dans leur sape" [vue n° 12].

- "Hauts de Meuse 1915 tranchée conquise" [vue n° 13].

- "ND de Lorette L'éperon" [vue n° 14].

- "Alerte Maisons de Champagne" [vue n° 15].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Saint-Mard - bombardement des troupes d'assaut" [vue n° 1].

- "Infanterie en réserve à Montdidier" [vue n° 2].

- "Verdun 1916 un blessé" [vue n° 3].

- "5.519 _ Monacu petits blessés revenant seuls 25.9.19" [vue n° 4].

- "Vosges explosion d'une mine" [vue n° 5].

- "Bombardement au bois de Carrières" [vue n° 6].

- "12611 Vers Craonne entonnoir de mine" [vue n° 7].

- "Marne 1914 cadavres français" [vue n° 8].

- " Sainte-Marie-à-Py - prisonniers enterrant les morts" [vue n° 9].

- "Alsace le Reichakerkopf" [vue n° 10].

- "A-113 Chavonne cadavres allemands" [vue n° 11].

- "Roiglise - cadavres" [vue n° 12].

- "Vo - 56 - Herbeaupaire petit poste" [vue n° 13].

- "V - 182 Côte 304 Crapouilloteurs tués" [vue n° 14].

- "V 179 Côte du poivre cadavre et barrage" [vue n° 15].

- "Pargnan construction d'une route" [vue n° 16].

- "Verdun 1916 Thiaumont poste de secours" [vue n° 17].

- "6301 Bois le prêtre" [vue n° 18].

- "Troyon Chemin des Dames" [vue n° 19].

- "En pleine attaque de Montdidier" [vue n° 20].

- "Fleury corvée de vivres" [vue n° 21].

- "Pendant l'attaque de Montdidier en 1918" [vue n° 22].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Prise de Ham 19 mars 1917" [vue n° 1].

- "Prise de Courcelles en 1918" [vue n° 2].

- " Prise de Courcelles en 1918" [vue n° 3].

- "Chavignon" [vue n° 4].

- "Fanions allemands 23069 Carency" [vue n° 5].

- " Prise de Courcelles en 1918" [vue n° 6].

- "Bray-sur-Somme la gare" [vue n° 7].

- "Bucy-le-Long convoi de prisonniers" [vue n° 8].

- "Boyau devant Metzeral" [vue n° 9].

- "Cuirassé à Villefranche" [vue n° 10].

- "31009 Dixmude - vue générale" [vue n° 11].

- "Route de Laffaux à Allemant" [vue n° 12].

- "01205 Hooglede (Belgique) l'avance en 1918" [vue n° 13].

- "Picardie 9 juin 1918 Mortier 220 ACS (Bie Dervaux) derrière le bois Caquelin" [vue n° 14].

- "Ablain-Saint-Nazaire, 23002 l'église" [vue n° 15].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "01399 Mitrailleur tank Saint-Chamond" [vue n° 1].

- "Verdun 2e séjour octobre 18" [vue n° 2].

- "Août 1916 Déplacement d'un 155 long Bois Bourrus" [vue n° 3].

- "Août 1916 (Verdun) Germonville devant la popote Lissacq, Penaud, Ct Seauve" [vue n° 4].

- "Au moulin de Laffaux" [vue n° 5].

- "Champagne 1915 à g. Valentin" [vue n° 6]. A noter : la scène représente un soldat posant à côté d'un porc dépecé au-dessous d'un panneau "Guillaume II".

- "3228 un cuirassé la « Gloire »" [vue n° 7].

- "Canon à bord d'un cuirassé" [vue n° 8].

- "Saint-Nazaire le cuirassé France" [vue n° 9].

- "Arras 1915 un 155" [vue n° 10].

- "Avion allemand abattu dans l'Aisne" [vue n° 11].

- "Belgique l'avance en 1918" [vue n° 12].

- "A_28 Avion abattu" [vue n° 13].

- "Défilé de la victoire 23403" [vue n° 14].

- "Somme batterie de 155 long en action" [vue n° 15].

- "D 547 une cagna la manille" [vue n° 16].

- "Les feuillées" [vue n° 17].

- "Verdun 1916 batterie lourde" [vue n° 18].

- "01395 intérieur tank Saint-Chamond" [vue n° 19].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Albert Clément, né le 23 juillet 1885 dans le Jura, est, en 1914, étudiant en 2e année de faculté. Il est mobilisé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique à Tunis (Tunisie), au quartier de Forgemol. Pendant la guerre, il obtient une citation pour faits d'armes de la part du général Garnier-Duplessis, commandant la 37e division d'infanterie. Le frère d'Albert Clément, Alfred, plus jeune que lui, meurt pendant la guerre, à 20 ans de la typhoïde.
Après la guerre, Albert Clément travaille avec sa mère et ses frères à Tunis dans un café-hôtel que sa mère avait acheté. Il déménage ensuite en Algérie et décède des suites d'un cancer en 1962 à Alger.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Au sommet du Mort Homme" [vue n° 1].

- "Nieuport explosion d'un 420" [vue n° 2].

- "Soupir un train incendié" [vue n° 3].

- "Cote 607 cimetière et PC" [vue n° 4].

- "Aisne 1918 Infanterie en réserve" [vue n° 5].

- "Vermandovillers abris boches" [vue n° 6].

- "Reims un train blindé" [vue n° 7].

- "Fort de Tavannes 14133" [vue n° 8].

- "0604 chevaux tués Belloy-en-Santerre" [vue n° 9].

- "Aspach - tranchées" [vue n° 10].

- "Devant Verdun 1916 1ère ligne" [vue n° 11].

- "Verdun - cadavre" [vue n° 12].

- "Route 44 (Aisne) 1ère ligne" [vue n° 13].

- "En ligne devant Verdun" [vue n° 14].

- "Champagne poste d'observation" [vue n° 15].

- "Tahure tank boche détruit" [vue n° 16].

- "Dormans L'évacuation" [vue n° 17].

- "village des Eparges" [vue n° 18].

- " Tracy-le-Val " [vue n° 19].

- "Artois Fosse calonne" [vue n° 20].

- "Bombardement Forêt de Parroy" [vue n° 21].

- "Verdun après un bombardement" [vue n° 22].

- "Craonne Cadavres déterrés" [vue n° 23].

- "Verdun débris humains" [vue n° 24].

- "Devant le fort de Vaux" [vue n° 25].

- "Front allemand la messe" [vue n° 26].

- "Ambly (Meuse) en 1914" [vue n° 27].

- "Souchez observation improvisée" [vue n° 28].

- "Canon de marine en action" [vue n° 29].

- "Un avion biplace" [vue n° 30].

- "Verdun un abri détruit" [vue n° 31].

- "Nieuport Route des 5 Ponts" [vue n° 32].

- "Noyon caveau violé" [vue n° 33].

- "Chavannes cuisine roulante" [vue n° 34].

- "Prisonniers traversant Courcelles" [vue n° 35].

- "Dhuizel convoi de prisonniers" [vue n° 36].

- "Une halte à Suzanne" [vue n° 37].

- "Choisy-au-Bac chasseurs d'Afrique" [vue n° 38].

- "Nieuport couvent" [vue n° 39].

- "Tilloloy - château" [vue n° 40].

- "Mouilly dans le cimetière en 1915" [vue n° 41].

- "Retraite allemande - Serbie" [vue n° 42].

- "Pontavert le moulin" [vue n° 43].

- "Poste de mitrailleuse - Champagne" [vue n° 44].

- "Camions dans la neige Nampcel " [vue n° 45].

- "Lens - Barricade" [vue n° 46].

- "Enterrement de Brindefour des Moulinais" [vue n° 47].

- "Les délégués belges au traité de Versailles" [vue n° 48].

- "Nieuport les halles" [vue n° 49].

- "Belloy-en-Santerre une rue" [vue n° 50].

L'original appartient à Mme Martine Tourrette.

Hippolyte Louis Arnal est né le 26 mars 1880 à Viala du Tarn (Aveyron). Avant la guerre, il est domestique à Maisons-Laffitte (Seine-et-Oise). Le 15 novembre 1906, il se marie à Gignac avec Jeanne Saudadier. Il réside à Gignac et est mobilisé en août 1914 dans le 16e escadron du train, 5e compagnie. Il décède le 1er juin 1957 à Gignac.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Carnet de guerre manuscrit, récit du Front et liste de noms [vues n° 1-75], livret de famille [vues n° 76-80], photographie d'un "Groupe de Gignacois 1914-1915" où Hippolyte Arnal est assis au 2e rang, premier à gauche [vue n° 81].

[Parcours d'Hippolyte Arnal pendant la guerre : il est mobilisé le 2 août 1914 et intègre la 5e Compagnie du 16e escadron du train des équipages militaires (16e ETEM), où il s'occupe du ravitaillement et de la cuisine. Son escadron monte au Front en Moselle et Meurthe-et-Moselle (Lorraine), il passe notamment par Bisping, Lamath, Roville-devant-Bayon, Malzéville, Varangéville, Gondreville, Francheville et Toul (août - septembre 1914) [vues n° 2-10]. Il stationne ensuite dans plusieurs secteurs en Picardie notamment à Fère-en-Tardenois, Saponay, Violaine, Coeuvres-et-Valsery (Aisne, Picardie) et Braisnes-sur-Aronde (Oise, Picardie), puis son escadron est dirigé sur le Front belge dans le secteur d'Ypres, à Hazebrouck, Helverdinghe, Dikkebus, Poperinghe, Boeschepe et Boezinge. Il s'occupe du ravitaillement des chevaux, de la surveillance des voitures et des blessés qui arrivent des premières lignes (octobre 1914 janvier 1915) [vues n° 11- 44]. Il rentre ensuite en France et cantonne successivement à Haverskerque, Fleury, Bouret-sur-Canche (Nord, Nord-Pas-de-Calais). Il stationne ensuite à Amiens (Somme, Picardie), puis à Châlons-sur-Marne (Marne, Champagne-Ardenne) (février 1915) [vues n° 44-49]. Son régiment stationne ensuite en Argonne, passe à La-Croix-en-Champagne, cantonne à Somme-Bionne (Marne, Champagne-Ardenne) (mars - mai 1915) [vues n° 49-60]. Hippolyte Arnal est ensuite au repos à Valmy (Marne, Champagne-Ardenne) (juin - août 1915) [vues n° 60-67]. Il reste à l'arrière dans les secteurs d'Herpont, Dommartin-Varimont et Contault (Marne, Champagne-Ardenne) (juillet-août 1915) [vues n° 67-75].]

A noter sur la vue n° 9 : transcription de la prophétie de Cauterets de 1700 qui annonce la guerre :
"Voici la fin de l'Empire alémanique d'après une prophétie trouvée dans les archives de Cauterets en l'an 1700. Quand les femmes s'habilleront comme des arlequins ; quand les hommes auront la barbe comme des capucins ; quand les voitures sillonneront les routes sans chevaux ; quand on se parlera d'un bout du monde à l'autre. En l'an 1914, mars parlera de guerre, juin la décidera, juillet la déclarera, août on verra des pleurs dans les yeux des épouses et des mères, septembre verra du sang jusqu'aux genoux dans les trois villes de Prusse, novembre un homme blanc décidera la paix, décembre la France sera victorieuse et vivra dans la paix et la prospérité."

L'original appartient à Mme Germaine Bonnafoux.

Eugène Lavaut, boucher à Epinac, puis Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire, Bourgogne), est né le 22 décembre 1887 à Epinac. Il effectue son service militaire de 1908 à 1910 au 8e régiment d'artillerie à pied (8e RAP) à Epinal (Vosges, Lorraine). Le 3 août 1914, il est mobilisé et combat jusqu'en 1918 au sein du 11e régiment d'artillerie à pied (11e RAP). Eugène Lavaut est démobilisé le 24 mars 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Livret militaire d'Eugène Lavaut (1908-1927) [vues n° 1-17].

- Citation à l'ordre du régiment pour Eugène Lavaut (7 août 1918) [vues n° 18-19].

L'original appartient à Mme Annie Flagey.

Eugène Lavaut, boucher à Epinac, puis Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire, Bourgogne), est né le 22 décembre 1887 à Epinac. Il effectue son service militaire de 1908 à 1910 au 8e régiment d'artillerie à pied (8e RAP) à Epinal (Vosges, Lorraine). Le 3 août 1914, il est mobilisé et combat jusqu'en 1918 au sein du 11e régiment d'artillerie à pied (11e RAP). Eugène Lavaut est démobilisé le 24 mars 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Carnet de guerre manuscrit (3 août - 2 septembre 1914, 8 octobre 1914, 23 mai 1915, 14 août - 24 novembre 1915, 15 décembre 1915, 9 mars 1916 - 18 août 1917).

Eugène Lavaut est mobilisé en août 1914 à Epinac (Saône-et-Loire, Bourgogne) et rejoint le secteur d'Epinal (Vosges, Lorraine), où il cantonne au réduit d'Arches et à Golbey (août 1914 août 1915). Il cantonne ensuite dans le secteur de Sommesous, Châlons-sur-Marne, Jonchery (Marne, Champagne-Ardenne), puis est envoyé au repos à Récy et Vertus (Marne, Champagne-Ardenne) (septembre 1915). En mars 1916, Eugène Lavaut combat dans le secteur de Maffrécourt (Marne, Champagne-Ardenne), puis il tombe malade en mai 1916 et est évacué sur Valmy (Marne, Champagne-Ardenne). Il part ensuite en convalescence à Bordeaux (Gironde, Aquitaine) (mai juin 1916), puis au dépôt à Grenoble (Isère, Rhône-Alpes) durant l'été 1916. Il regagne le Front dans le secteur de Verzy, puis de Baconnes (Marne, Champagne-Ardenne) (septembre 1916 - août 1917). Eugène Lavaut est nommé brigadier le 19 avril 1917.

L'original appartient à Mme Annie Flagey.

Eugène Lavaut, boucher à Epinac, puis Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire, Bourgogne), est né le 22 décembre 1887 à Epinac. Il effectue son service militaire de 1908 à 1910 au 8e régiment d'artillerie à pied (8e RAP) à Epinal (Vosges, Lorraine). Le 3 août 1914, il est mobilisé et combat jusqu'en 1918 au sein du 11e régiment d'artillerie à pied (11e RAP). Eugène Lavaut est démobilisé le 24 mars 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Portrait d'Eugène Lavaut, canonnier au 8e régiment d'artillerie à pied (8e RAP) lors de son service militaire à Epinal (1908-1910) [vues n° 1-2].

- Portrait d'Eugène Lavaut, canonnier au 11e régiment d'artillerie à pied (11e RAP) dans le secteur d'Epinal (1914-1915) [vues n° 3-4].

- Photographie d'un groupe d'artilleurs du 11e régiment d'artillerie à pied (11e RAP) dans la Marne, où figure Eugène Lavaut (14 novembre 1915) [vues n° 5-6].

L'original appartient à Mme Annie Flagey.

Eugène Lavaut, boucher à Epinac, puis Châlon-sur-Saône (Saône-et-Loire, Bourgogne), est né le 22 décembre 1887 à Epinac. Il effectue son service militaire de 1908 à 1910 au 8e régiment d'artillerie à pied (8e RAP) à Epinal (Vosges, Lorraine). Le 3 août 1914, il est mobilisé et combat jusqu'en 1918 au sein du 11e régiment d'artillerie à pied (11e RAP). Eugène Lavaut est démobilisé le 24 mars 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Ouvrage intitulé "Place de Verdun - Service des missions - Notice sur le Fort de Vaux et son rôle pendant la Bataille de Verdun, avec en annexe une note sur la visite de l'intérieur du fort et deux croquis panoramiques", édité en 1931 par la Librairie H. Frémont et fils, à Verdun

L'original appartient à Mme Annie Flagey.

Louis Vialla, typographe à Montpellier, est né le 4 juin 1886 à Montpellier et mort le 24 mars 1948 dans sa ville natale. Il effectue son service militaire de 1907 à 1909. En août 1914, il est mobilisé comme soldat au 34e régiment d'infanterie coloniale (34e RIC) ; en juin 1916, il est caporal télégraphiste. Evacué pour maladie le 31 septembre 1916, il passe au 36e bataillon de tirailleurs sénégalais (36e BTS) à Tolga (Constantine, Algérie) en décembre 1916. Démobilisé en avril 1919, Louis Vialla est décoré de la Croix de guerre.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Lettre de Louis Vialla adressée à son épouse Louise Vialla (26 juin 1915) relatant son expérience du Front depuis 11 mois. Louis Vialla donne une description ordonnée en chapitres des différents éléments du quotidien d'un poilu : "dans les tranchées", "la nourriture", "ce que l'on voit le jour et la nuit dans les tranchées", "lettres et colis", "au cantonnement", "onze mois de campagne", "ce que dit la presse", "ce que nous pensons de la situation", "service de santé", "le ravitaillement", "l'hygiène autour de nous", "les leçons et enseignements d'une guerre", "les embusqués", "ceux que la guerre touche le plus", "les victimes de la guerre", "mes amis", "conclusion" [vues n° 1-19].

- Carte-photo du couple Louis et Louise Vialla (2 septembre 1915) [vues n° 20-21].

- Portrait en pied de Louis Vialla (17 juin 1916) [vues n° 22-23].

L'original appartient à Mme Françoise Mollet.

Louis Vialla, typographe à Montpellier, est né le 4 juin 1886 à Montpellier et mort le 24 mars 1948 dans sa ville natale. Il effectue son service militaire de 1907 à 1909. En août 1914, il est mobilisé comme soldat au 34e régiment d'infanterie coloniale (34e RIC) ; en juin 1916, il est caporal télégraphiste. Evacué pour maladie le 31 septembre 1916, il passe au 36e bataillon de tirailleurs sénégalais (36e BTS) à Tolga (Constantine, Algérie) en décembre 1916. Démobilisé en avril 1919, Louis Vialla est décoré de la Croix de guerre.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Livret militaire de Louis Vialla.

L'original appartient à Mme Françoise Mollet.

François (dit Joseph) Loubet, employé à la mairie de Montpellier, est né le 31 juillet 1884 à Foix (Ariège). Mobilisé en août 1914 comme soldat, puis caporal dans la 19e compagnie du 5e bataillon du 281e régiment d'infanterie (281e RI), il décède à Vermelles-Loos (Pas-de-Calais) le 11 mai 1915.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Photographie de François Loubet à Vermelles (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais) en mai 1915 [vues n° 1-2].

- Citation à l'ordre du régiment de François Loubet (1916, copie 2011) [vues n° 3-5].

- Médaille militaire (1919-1922, copies 2011) [vues n° 6-8].

L'original appartient à M. Christian Portanier.

François (dit Joseph) Loubet, employé à la mairie de Montpellier, est né le 31 juillet 1884 à Foix (Ariège). Mobilisé en août 1914 comme soldat, puis caporal dans la 19e compagnie du 5e bataillon du 281e régiment d'infanterie (281e RI), il décède à Vermelles-Loos (Pas-de-Calais) le 11 mai 1915.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Cartes postales à dominante patriotique.

L'original appartient à M. Christian Portanier.

François (dit Joseph) Loubet, employé à la mairie de Montpellier, est né le 31 juillet 1884 à Foix (Ariège). Mobilisé en août 1914 comme soldat, puis caporal dans la 19e compagnie du 5e bataillon du 281e régiment d'infanterie (281e RI), il décède à Vermelles-Loos (Pas-de-Calais) le 11 mai 1915.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Cartes postales à dominante patriotique.

L'original appartient à M. Christian Portanier.

Antoine Sache (1893-....), né le 4 mars 1893 à Narbonne (Aude), est cantonnier à Sète. Il effectue son service militaire en 1913 à MontpellierMobilisé en août 1914 comme soldat au 58e régiment d'infanterie (58e RI), il est blessé par éclat d'obus au maxillaire inférieur, fait prisonnier le 20 août 1914 à Dieuze (Moselle, Lorraine) et soigné à l'hôpital de Gmünd (Autriche). Il est ensuite interné au camp de prisonniers de guerre d'Eglosheim (Allemagne), puis passe en Suisse à Stein-Meringen en avril 1916. Il est ensuite rapatrié de Suisse le 17 juillet 1918 et versé au 80e régiment d'infanterie (80e RI) le 27 août 1918, puis au 81e régiment d'infanterie (81e RI) le 20 décembre 1918, et enfin au 153e régiment d'infanterie (153e RI) le 21 juillet 1919. Antoine Sache est démobilisé le 5 septembre 1919, décoré de la médaille de la Victoire, de l'insigne spécial pour les blessés de guerre (ruban avec étoile émaillée rouge : "Gueule cassée").

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Livret militaire de Antoine Florentin Léon Sache [vues n° 1-10]

- Livret intitulé « Union des blessés de la face » [vues n° 11-22]

- Extrait de l'état signalétique et des services d'Antoine Sache [vues n° 23-26]

- Extrait du décret en date du 7 juin 1956 portant concession de la médaille militaire [vue n° 27]

- Dossier de chevalier de la Légion d'honneur et extraits de presse [vues n° 28-37]

L'original appartient à M. Christian Portanier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance active de Paul Noguier envoyée à sa femme Julie Noguier (août - décembre 1914).

Paul Noguier est mobilisé comme caporal en août 1914 et rejoint le 117e régiment d'infanterie territorial (117e RIT) à Nîmes. Il est ensuite envoyé à Falicon près de Nice (août septembre 1914) [vues n° 1-75]. Il gagne le Front avec la 13e compagnie du 4e bataillon du 163e régiment d'infanterie (163e RI), dans la Meuse notamment dans le secteur de Commercy (octobre novembre 1914) [vues n° 76-188]. Paul Noguier passe ensuite sur le Front belge à Nieuport [vues n° 189-214], puis Poperinghe [vues n° 215-224]. Le 30 décembre 1914, son régiment est envoyé dans les environs de Paris [vues n° 189-233].

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance active de Paul Noguier envoyée à sa femme Julie Noguier (janvier - décembre 1915).

En janvier 1915, Paul Noguier s'occupe des vivres et du ravitaillement dans les tranchées du secteur de Broussey-Raulecourt (Meuse, Lorraine). Il est mis au repos pour des douleurs aux jambes, puis envoyé au repos à Aulnois, près de Commercy (Meuse, Lorraine) [vues n° 1-65]. Son régiment change ensuite de secteur pour stationner vers Gerbéviller (Meurthe-et-Moselle, Lorraine), puis Monceaux (Oise, Picardie). Il alterne entre les tranchées et l'arrière (mars-décembre 1915) [vues n° 116-596].

Janvier [vues n° 1-65], février [vues n° 66-115], mars [vues n° 116-167], avril [vues n° 168-229], mai [vues n° 230-273], juin [vues n° 274-316], juillet [vues n° 317-365], août [vues n° 366-404], septembre [vues n° 405-441], octobre [vues n° 442-494], novembre [vues n° 495-540], décembre [vues n° 541-596].

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance active de Paul Noguier envoyée à sa femme Julie Noguier (janvier - décembre 1916).

Paul Noguier, caporal au 163e régiment d'infanterie (163e RI), est chargé de la gestion des vivres et alterne entre les premières lignes, les secondes lignes et l'arrière (janvier-mai 1916) [vues n° 1-191]. Il part en permission, puis intègre le 227e régiment d'infanterie (227e RI) à Hurbache (Vosges, Lorraine) (mai-juin 1916) [vues n° 192-285]. Paul Noguier passe un examen de conduite de cylindres à vapeur, puis stationne à Rupt-sur-Moselle (Vosges, Lorraine) (juillet 1916) [vues n° 286-322]. Il est brigadier en remplacement au 402e CM (octobre-novembre 1916) [vues n° 327-332], puis rejoint la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM) dans le secteur de Crillon (Oise, Picardie) (décembre) [vues n° 333-352].

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance active de Paul Noguier envoyée à sa femme Julie Noguier (janvier - décembre 1917).

Paul Noguier réalise des travaux de terrassement à Villers-Cotterêts (Aisne, Picardie) (janvier-mai 1917) [vues n° 1-125], dans le secteur de Coulommiers (Seine-et-Marne, Ile-de-France) (juin-novembre 1917) [vues n° 126-194], puis de Montereau et de Meaux (Seine-et-Marne, Ile-de-France) (novembre-décembre 1917) [vues n° 195-240].

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance active de Paul Noguier envoyée à sa femme Julie Noguier (janvier - décembre 1918).

Paul Noguier est conducteur d'engin dans le secteur de Nangis et Meaux (Seine-et-Marne, Ile-de-France) (janvier-décembre 1918) [vues n° 1-452.]

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance active de Paul Noguier envoyée à sa femme Julie Noguier (janvier - février 1919).

Paul Noguier attend sa démobilisation à Meaux (Ile-de-France, Seine-et-Marne). Il rentre chez lui en février 1919.

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance active (non datée) de Paul Noguier envoyée à sa femme Julie Noguier.

Paul Noguier adresse des cartes postales de Bernécourt, Hériménil, Millau, Tarascon, Nîme et Vals-les-Bains.

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Paul Albert Noguier, entrepreneur de défonçage à la vapeur, est né le 1er avril 1881 à Canaules (Gard). Le 28 octobre 1899, il est incorporé comme engagé volontaire au 4e régiment d'infanterie de marine [4e RIM] (engagement volontaire à la mairie de Sauve ; conscrit n° 1331, classe 1898 au recrutement de Nîmes). Arrivé au corps le 4 novembre 1899, Paul Noguier est promu caporal le 6 juillet 1900. Le 22 janvier 1901, il est versé au 22e régiment d'infanterie coloniale (22e RIC), puis quitte l'armée le 16 septembre 1902 (certicat de bonne conduite accordé). Le 21 janvier 1903, Paul noguier épouse à Canaules Julie Nathalie Villaret (1880-1961). Le 2 août 1914, Paul Noguier est mobilisé au 117e régiment d'infanterie territoriale (117e RIT), puis passe au 163e régiment d'infanterie (163e RI) le 19 septembre 1914. Le 10 juin 1916, Paul Noguier est versé au 227e régiment d'infanterie (227e RI), puis le 1er août 1916 à la section auto 302 du 8e escadron du train et des équipages militaires (8e ETEM). Paul noguier est démobilisé le 22 février 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Souvenirs de 1914 Nîmes le 10/10, 7e escouade" : Paul Noguier, premier à gauche [vue n° 1].

- Portrait de Paul Noguier [vue n° 2].

L'original appartient à M. Jean-Luc Chapelier.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Plaques de verre non légendées représentant des scènes de soldats à l'arrière du Front, des villes proches du Front [Reims], des avions, des militaires et des portraits de soldats.

Cathédrale de Reims [vues n° 6, 9, 13]

L'original appartient à M. Georges Vinci.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Plaques de verre non légendées représentant des scènes de soldats à l'arrière du Front, des villes proches du Front, des avions, des militaires et des portraits de soldats.

Entrée de l'Hôpital d'évacuation n° 15 (HOE 15), à Montigny-sur-Vesle (Champagne-Ardenne, Marne) [vue n° 4].

L'original appartient à M. Georges Vinci.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Appareil breveté SGDG, commercialisé par Jules Richard, à Paris.

L'original appartient à M. Georges Vinci.

Louis Nougaret, comptable à la Compagnie des chemins de fer du Midi, est né à Bédarieux le 26 septembre 1891 et décédé le 25 octobre 1977 à Béziers. Il est le fils de Pierre Marc Nougaret, plâtrier, né le 13 octobre 1864 à Bédarieux et décédé le 7 octobre 1928 à Bédarieux, et de Florentine Julie Maria Cantaloup, domestique, née le 3 décembre 1868 à Péret et décédée le 23 janvier 1951 à Béziers. Louis Nougaret est incorporé pour son service militaire au 81e régiment d'infanterie (81e RI) le 8 octobre 1912 et devient caporal le 9 novembre 1913. Le 2 août 1914, à la déclaration de guerre, il est promu sergent-fourrier. Le 30 août 1914, Louis Nougaret est blessé par balle à la poitrine à Gerbéviller (Meurthe-et-Moselle). Le 5 mars 1915, pour la deuxième fois, il est blessé au bras gauche, par balle, à Beauséjour (Marne). Le 17 mai 1915, il est nommé sergent-major, et le 26 octobre, il est classé dans le service auxiliaire et mis à disposition de la Compagnie des chemins de fer du Midi comme facteur comptable surnuméraire à Béziers. Louis Nougaret épouse le 25 février 1916 à Bédarieux, Marthe Rosa Blanc, sans profession, née le 2 septembre 1891 à Bédarieux et décédée le 31 juillet 1955 à Béziers. Le couple a plusieurs enfants, dont Aimé Jules Nougaret, né le 30 octobre 1918 à Béziers et décédé le 14 décembre 1943 à Toulouse des suites d'une phtisie galopante (tuberculose pulmonaire) contractée en captivité au Stalag 1A.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Chansons et poèmes accompagnés d'illustrations, intitulés "Cahier de distraction - souvenirs de mes deux années de service passés au 81e infanterie" (1912-1914) [vues n° 1-64].

- Récit de guerre, rédigé à posteriori par Louis Nougaret à partir de notes, intitulé "Souvenir de la guerre 1914" (1er août - 4 novembre 1914) [vues n° 65-118].

[Transcription intégrale des souvenirs de Louis Nougaret pour la période du 1er août au 3 novembre 1914, réalisée par Claude, Annie et Stéphane NOUGARET (novembre 2013)]

L'original appartient à M. Claude Nougaret.

Louis Nougaret, comptable à la Compagnie des chemins de fer du Midi, est né à Bédarieux le 26 septembre 1891 et décédé le 25 octobre 1977 à Béziers. Il est le fils de Pierre Marc Nougaret, plâtrier, né le 13 octobre 1864 à Bédarieux et décédé le 7 octobre 1928 à Bédarieux, et de Florentine Julie Maria Cantaloup, domestique, née le 3 décembre 1868 à Péret et décédée le 23 janvier 1951 à Béziers. Louis Nougaret est incorporé pour son service militaire au 81e régiment d'infanterie (81e RI) le 8 octobre 1912 et devient caporal le 9 novembre 1913. Le 2 août 1914, à la déclaration de guerre, il est promu sergent-fourrier. Le 30 août 1914, Louis Nougaret est blessé par balle à la poitrine à Gerbéviller (Meurthe-et-Moselle). Le 5 mars 1915, pour la deuxième fois, il est blessé au bras gauche, par balle, à Beauséjour (Marne). Le 17 mai 1915, il est nommé sergent-major, et le 26 octobre, il est classé dans le service auxiliaire et mis à disposition de la Compagnie des chemins de fer du Midi comme facteur comptable surnuméraire à Béziers. Louis Nougaret épouse le 25 février 1916 à Bédarieux, Marthe Rosa Blanc, sans profession, née le 2 septembre 1891 à Bédarieux et décédée le 31 juillet 1955 à Béziers. Le couple a plusieurs enfants, dont Aimé Jules Nougaret, né le 30 octobre 1918 à Béziers et décédé le 14 décembre 1943 à Toulouse des suites d'une phtisie galopante (tuberculose pulmonaire) contractée en captivité au Stalag 1A.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

En décembre 1914, Louis Nougaret rejoint le Front à Caëstre (Nord, Nord-Pas-de-Calais), cantonne à Steenvoorde, Godewaersvelde (Nord, Nord-Pas-de-Calais), puis passe en Belgique et cantonne à Kristaat à côté d'Ypres (Belgique). Après quelques jours de repos, il regagne les tranchées en janvier 1915.

A noter : illustration satirique et patriotique représentant un Uhlan allemand sur son cheval, poursuivi par un fantassin français en arme [vue n° 14].

L'original appartient à M. Claude Nougaret.

Louis Nougaret, comptable à la Compagnie des chemins de fer du Midi, est né à Bédarieux le 26 septembre 1891 et décédé le 25 octobre 1977 à Béziers. Il est le fils de Pierre Marc Nougaret, plâtrier, né le 13 octobre 1864 à Bédarieux et décédé le 7 octobre 1928 à Bédarieux, et de Florentine Julie Maria Cantaloup, domestique, née le 3 décembre 1868 à Péret et décédée le 23 janvier 1951 à Béziers. Louis Nougaret est incorporé pour son service militaire au 81e régiment d'infanterie (81e RI) le 8 octobre 1912 et devient caporal le 9 novembre 1913. Le 2 août 1914, à la déclaration de guerre, il est promu sergent-fourrier. Le 30 août 1914, Louis Nougaret est blessé par balle à la poitrine à Gerbéviller (Meurthe-et-Moselle). Le 5 mars 1915, pour la deuxième fois, il est blessé au bras gauche, par balle, à Beauséjour (Marne). Le 17 mai 1915, il est nommé sergent-major, et le 26 octobre, il est classé dans le service auxiliaire et mis à disposition de la Compagnie des chemins de fer du Midi comme facteur comptable surnuméraire à Béziers. Louis Nougaret épouse le 25 février 1916 à Bédarieux, Marthe Rosa Blanc, sans profession, née le 2 septembre 1891 à Bédarieux et décédée le 31 juillet 1955 à Béziers. Le couple a plusieurs enfants, dont Aimé Jules Nougaret, né le 30 octobre 1918 à Béziers et décédé le 14 décembre 1943 à Toulouse des suites d'une phtisie galopante (tuberculose pulmonaire) contractée en captivité au Stalag 1A.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Photographie du caporal Louis Nougaret et de ses hommes, lors du service militaire (1913) [vue n° 1].

- Portrait photographique colorisé de Louis Nougaret lors de son service militaire au 81e RI (1912-1914) [vue n° 2].

- Portrait photographique de Louis Nougaret annoté au dos avec les dernières volontés de Louis Nougaret en cas de décès (1914) [vues n° 3-4].

- Hospitalisation de Louis Nougaret à l'hôpital complémentaire n° 43 à Montpellier du 3 septembre au 3 octobre 1914, après sa blessure du 30 août 1914 : billet d'hôpital (4 octobre 1914) [vue n° 5], certificat médical (12 décembre 1914) [vue n° 6].

- Photographie d'un groupe de soldats du 81e RI, comprenant Louis Nougaret, en haut à gauche (21 février 1915) [vue n° 7].

- Combats de Beauséjour des 3 et 4 mars 1915 : article de presse [vue n° 8].

- Hospitalisation de Louis Nougaret à l'Hôpital auxiliaire n° 19 de Millau après sa seconde blessure du 5 mars 1915 : billet d'hôpital (8 mars 1915) [vue n° 9].

- Témoignage du chef de bataillon Soulé du 81e RI au sujet de Louis Nougaret (1915) [vue n° 10].

- Citation de Louis Nougaret à l'ordre de la brigade (9 décembre 1916) [vue n° 11].

- Diplôme de la médaille interralliée, dite de la Victoire, attribuée à Louis Nougaret (2 juin 1927) [vue n° 12].

L'original appartient à M. Claude Nougaret.

Né en 1902 à Nîmes (Gard), Jean Pellegrin a passé toute sa jeunesse à Millau, où son père, Gaston Pellegrin, était pasteur depuis 1900. Sa mère était originaire de Montpellier. Âgé de 12 ans au début de la guerre 1914-1918, il a réalisé des dessins qui relatent la guerre, dans 6 petits cahiers comprenant chacun entre 10 et 14 dessins faits à l'encre de chine aquarellée, soigneusement numérotés, comprenant à la fin de chaque cahier une table des matières. Son père a donné pour titre à ces cahiers "la guerre moderne"; Jean Pellegrin a dû recopier des dessins qu'il voyait dans les journaux de l'époque ("L'Illustration" notamment), en raison de la précision des légendes et des dessins ; les couleurs sont restées pratiquement intactes. Le dernier cahier court jusqu'à la fin de la guerre. Jean Pellegrin aimait dessiner, mais il était sans doute aussi pris dans l'ambiance générale, dans la ville où il vivait et connaissait sans doute des hommes de sa ville partis à la guerre. Une fois la guerre terminée, après ses études, Jean Pellegrin est devenu industriel dans la ganterie à Millau ; puis, après huit années, il a quitté la ganterie pour suivre des études de théologie et devenir pasteur, comme son père, Gaston Pellegrin, pasteur à Millau de 1900 à 1940 (Gaston Pellegrin n'a pas fait la guerre). Jean Pellegrin est mort en 1990.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Prise de Mulhouse. Les Allemands tirent sur les Français des maisons de la Croix Rouge" [vue n° 4].

-"Prise de Saâles dans les Vosges" [vue n° 5].

- "Retraite volontaire des Français. Les Allemands marchent sur Reims et s'en emparent" [vue n° 6].

- "Bataille de la Marne. Combat de cavalerie" [vue n° 7].

- "Bataille de la Marne. Combat où figurent les Anglais" [vue n° 8].

- "La bataille de la Marne est gagnée par les Français. Les Allemands reculent et se cantonnent dans un village que bombardent les Français" [vue n° 9].

- "Les Allemands reculent encore, les Français s'emparent du village" [vue n° 10].

- "Les Allemands marchent une deuxième fois sur Reims qu'ils bombardent, la cathédrale est brûlée" [vue n° 11].

- "Aspect d'une tranchée sur les bords de l'Aisne" [vue n° 12].

- "Les Allemands essayent de passer l'Aisne, mais sont vaincus" [vue n° 13].

- "Pendant le nuit les Français essayent à leur tour de passer la rivière pendant la nuit" [vue n° 14].

- "Les Français arrivent sur l'autre rive et chargent, les Allemands qui évacuent les places en laissant leurs morts et leurs blessés" [vue n° 15].

- "Les Allemands établissent des tranchées sur les plateaux qui dominent l'Aisne. Les Français montent à l'assaut et s'emparent de quelques tranchées allemandes" [vue n° 16].

- "Table des matières" [vue n° 17].

L'original appartient à M. Valdo Pellegrin.

Né en 1902 à Nîmes (Gard), Jean Pellegrin a passé toute sa jeunesse à Millau, où son père, Gaston Pellegrin, était pasteur depuis 1900. Sa mère était originaire de Montpellier. Âgé de 12 ans au début de la guerre 1914-1918, il a réalisé des dessins qui relatent la guerre, dans 6 petits cahiers comprenant chacun entre 10 et 14 dessins faits à l'encre de chine aquarellée, soigneusement numérotés, comprenant à la fin de chaque cahier une table des matières. Son père a donné pour titre à ces cahiers "la guerre moderne"; Jean Pellegrin a dû recopier des dessins qu'il voyait dans les journaux de l'époque ("L'Illustration" notamment), en raison de la précision des légendes et des dessins ; les couleurs sont restées pratiquement intactes. Le dernier cahier court jusqu'à la fin de la guerre. Jean Pellegrin aimait dessiner, mais il était sans doute aussi pris dans l'ambiance générale, dans la ville où il vivait et connaissait sans doute des hommes de sa ville partis à la guerre. Une fois la guerre terminée, après ses études, Jean Pellegrin est devenu industriel dans la ganterie à Millau ; puis, après huit années, il a quitté la ganterie pour suivre des études de théologie et devenir pasteur, comme son père, Gaston Pellegrin, pasteur à Millau de 1900 à 1940 (Gaston Pellegrin n'a pas fait la guerre). Jean Pellegrin est mort en 1990.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- "Capture d'une patrouille de Uhlan après une courte escarmouche où le chef a péri" [vue n° 2].

- "La bataille décisive de l'Aisne : les Allemands battent en retraite" [vue n° 3].

- "Bataille des Flandres : un village pris à la baïonnette par les Français" [vue n° 4].

- "Bataille des Flandres : une escarmouche dans les tranchées près de la mer" [vue n° 5].

- "Les Français arrêtent une barque sur l'Isers contenant des munitions pour les Allemands" [vue n° 6].

- "Combat sous la pluie : les Français s'emparent d'une pièce d'artillerie lourde" [vue n° 7].

- "Escarmouche de cavalerie sous la neige" [vue n° 8].

- "Une Charge à la baïonnette. Les Français culbutent les Allemands dans le Nord" [vue n° 9].

- "Table des matières" [vue n° 10].

L'original appartient à M. Valdo Pellegrin.

Né en 1902 à Nîmes (Gard), Jean Pellegrin a passé toute sa jeunesse à Millau, où son père, Gaston Pellegrin, était pasteur depuis 1900. Sa mère était originaire de Montpellier. Âgé de 12 ans au début de la guerre 1914-1918, il a réalisé des dessins qui relatent la guerre, dans 6 petits cahiers comprenant chacun entre 10 et 14 dessins faits à l'encre de chine aquarellée, soigneusement numérotés, comprenant à la fin de chaque cahier une table des matières. Son père a donné pour titre à ces cahiers "la guerre moderne"; Jean Pellegrin a dû recopier des dessins qu'il voyait dans les journaux de l'époque ("L'Illustration" notamment), en raison de la précision des légendes et des dessins ; les couleurs sont restées pratiquement intactes. Le dernier cahier court jusqu'à la fin de la guerre. Jean Pellegrin aimait dessiner, mais il était sans doute aussi pris dans l'ambiance générale, dans la ville où il vivait et connaissait sans doute des hommes de sa ville partis à la guerre. Une fois la guerre terminée, après ses études, Jean Pellegrin est devenu industriel dans la ganterie à Millau ; puis, après huit années, il a quitté la ganterie pour suivre des études de théologie et devenir pasteur, comme son père, Gaston Pellegrin, pasteur à Millau de 1900 à 1940 (Gaston Pellegrin n'a pas fait la guerre). Jean Pellegrin est mort en 1990.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

-"L'escadre Anglo-Française aux Dardanelles : Bombardement des forts turcs" [vue n° 2].

-"Dirigeable allemand poursuivi par deux avions français" [vue n° 3].

-"L'Italie entre en guerre contre l'Autriche : escarmouches à la frontière, où prennent part les bersaglieri" [vue n° 4].

-"En Galicie : convoi de prisonniers allemands escortés par des cosaques russes" [vue n° 5].

-"A Kio Tchéou [Kiautschou] : escarmouche entre Allemands et Japonais" [vue n° 6].

-"En allant au Front, le salut aux Anglais" [vue n° 7].

-"Combat entre Français et Allemands : à lui seul un soldat s'empare d'une pièce 77" [vue n° 8].

-"Dans le Midi de la France : prisonniers cantonnés dans une prairie gardés à vue par des dragons français" [vue n° 9].

-"Comment nous soignons nos blessés" [vue n° 10].

- "Reconnaissance des dragons : le sergent questionne une fillette" [vue n° 11].

-"Résultats de 1 an de guerre : les 9 drapeaux pris à l'ennemi en 1914-15, 3 de l'active, 6 de landwer" [vue n° 12].

-"Table des matières" [vue n° 13].

L'original appartient à M. Valdo Pellegrin.

Né en 1902 à Nîmes (Gard), Jean Pellegrin a passé toute sa jeunesse à Millau, où son père, Gaston Pellegrin, était pasteur depuis 1900. Sa mère était originaire de Montpellier. Âgé de 12 ans au début de la guerre 1914-1918, il a réalisé des dessins qui relatent la guerre, dans 6 petits cahiers comprenant chacun entre 10 et 14 dessins faits à l'encre de chine aquarellée, soigneusement numérotés, comprenant à la fin de chaque cahier une table des matières. Son père a donné pour titre à ces cahiers "la guerre moderne"; Jean Pellegrin a dû recopier des dessins qu'il voyait dans les journaux de l'époque ("L'Illustration" notamment), en raison de la précision des légendes et des dessins ; les couleurs sont restées pratiquement intactes. Le dernier cahier court jusqu'à la fin de la guerre. Jean Pellegrin aimait dessiner, mais il était sans doute aussi pris dans l'ambiance générale, dans la ville où il vivait et connaissait sans doute des hommes de sa ville partis à la guerre. Une fois la guerre terminée, après ses études, Jean Pellegrin est devenu industriel dans la ganterie à Millau ; puis, après huit années, il a quitté la ganterie pour suivre des études de théologie et devenir pasteur, comme son père, Gaston Pellegrin, pasteur à Millau de 1900 à 1940 (Gaston Pellegrin n'a pas fait la guerre). Jean Pellegrin est mort en 1990.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

-"L'attaque et la prise de Vermelles par les Français" [vue n° 2].

-"Ambulance improvisée à l'arrière du Front" [vue n° 3].

-"Défense d'un fort par les Français" [vue n° 4].

-"Postes de soldats alpins dans les Vosges" [vue n° 5].

-"Débarquement des troupes anglaises aux Dardanelles" [vue n° 6].

-"Avions blindé" [vue n° 7].

-"Passage des troupes françaises dans une ville de Belgique" [vue n° 8].

-"Organisation de fortin sous le feu ennemi, aux Dardanelles" [vue n° 9].

-"D'un vaisseau poseur de mines les Français bombardent la côte turque" [vue n° 10].

-"Les Français fraternisent avec les australiens dans un cimetière turc" [vue n° 11].

-"Le jour de la fête de Jeanne d'Arc un planton Anglo-français est de garde devant la statue" [vue n° 12].

-"Table des matières " [vue n° 13].

L'original appartient à M. Valdo Pellegrin.