Marius Philippe Combecal est né à Nîmes (Gard) le 1er novembre 1877. Il décède le 3 juin 1959 à Montpellier (Hérault).
Il appartient à la classe 1897 (matricule 1902), mais est dispensé du service militaire, son frère étant déjà sous les drapeaux. Il effectue toutefois des périodes d'exercices au camp du Larzac, où il est simple soldat quand la guerre éclate. Il s'est marié avec Constance Anaïs Roux, le 4 octobre 1902,
Marius Combecal habite Montpellier, rue de Candolle ; il est petit viticulteur-propriétaire au Clos Juliette, chemin de la Pierre rouge, près du cimetière Saint-Lazare de Montpellier.
En 1914, il a 37 ans et une fille unique, Marguerite, âgée de 11 ans qui correspondra avec lui. Il est mobilisé au 122e régiment territorial d'infanterie (122e RIT) et se présente le 4 août 1914 à la caserne des Minimes à Montpellier.
Il part au dépôt de Toulon le 6 août 1914 où il reste jusqu'au 15 septembre 1914 inclus.
Passé au 3e régiment d'infanterie (3e RI) à Digne du 15 au 22 septembre1914, il part aux armées le 23 septembre 1914 pour être affecté à la 3e compagnie du 141e régiment d' infanterie (141e RI) à Avocourt (Meuse).
Du 25 avril 1916 au 20 novembre 1916, il est affecté à la 3e compagnie de mitrailleurs du 3e régiment d'infanterie aux armées.
Blessé lors d'un accident d'automobile le 20 novembre 1916, il est évacué à l'hôpital de Beauvais, puis ensuite le 9 décembre 1916 à l'Hôpital mixte de Castelnaudary d'où il sort le 24 décembre 1916 avec une permission de convalescence.
Il rejoint le dépôt du 3e régiment d'infanterie le 5 janvier 1917 et est renvoyé au dépôt du 145e régiment d'infanterie territorial (145e RIT) le 6 janvier 1917.
Il rentre au dépôt du 3e RI 26e compagnie du 9 juin 1917 au 1er septembre 1917
Il passe ensuite au 90e régiment d'infanterie (90e RI) et rejoint les armées dans la 3e compagnie du 8 septembre 1917 au 20 octobre 1918.
Il passe au 79e régiment d'infanterie territorial (79e RIT) dans le "Détachement de Récupération" du 20 octobre 1918 au 20 janvier 1919.
Il est démobilisé le 22 janvier 1919.
Il a donc été aux armées, au Front du 26 septembre 1914 au 20 novembre 1916, du 8 septembre 1917 au 20 janvier 1919, à l'hôpital du 20 novembre 1916 au 5 janvier 1917, et dans les dépôts du 4 août 1914 au 26 septembre 1914 et du 5 janvier au 8 septembre 1917.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Marius Philippe Combecal envoie quelques cartes postales de Senones (Vosges, Lorraine). A la fin du mois de janvier, il est démobilisé et rentre chez lui.

L'original appartient à M. Marc Maillet

Marius Philippe Combecal est né à Nîmes (Gard) le 1er novembre 1877. Il décède le 3 juin 1959 à Montpellier (Hérault).
Il appartient à la classe 1897 (matricule 1902), mais est dispensé du service militaire, son frère étant déjà sous les drapeaux. Il effectue toutefois des périodes d'exercices au camp du Larzac, où il est simple soldat quand la guerre éclate. Il s'est marié avec Constance Anaïs Roux, le 4 octobre 1902,
Marius Combecal habite Montpellier, rue de Candolle ; il est petit viticulteur-propriétaire au Clos Juliette, chemin de la Pierre rouge, près du cimetière Saint-Lazare de Montpellier.
En 1914, il a 37 ans et une fille unique, Marguerite, âgée de 11 ans qui correspondra avec lui. Il est mobilisé au 122e régiment territorial d'infanterie (122e RIT) et se présente le 4 août 1914 à la caserne des Minimes à Montpellier.
Il part au dépôt de Toulon le 6 août 1914 où il reste jusqu'au 15 septembre 1914 inclus.
Passé au 3e régiment d'infanterie (3e RI) à Digne du 15 au 22 septembre1914, il part aux armées le 23 septembre 1914 pour être affecté à la 3e compagnie du 141e régiment d' infanterie (141e RI) à Avocourt (Meuse).
Du 25 avril 1916 au 20 novembre 1916, il est affecté à la 3e compagnie de mitrailleurs du 3e régiment d'infanterie aux armées.
Blessé lors d'un accident d'automobile le 20 novembre 1916, il est évacué à l'hôpital de Beauvais, puis ensuite le 9 décembre 1916 à l'Hôpital mixte de Castelnaudary d'où il sort le 24 décembre 1916 avec une permission de convalescence.
Il rejoint le dépôt du 3e régiment d'infanterie le 5 janvier 1917 et est renvoyé au dépôt du 145e régiment d'infanterie territorial (145e RIT) le 6 janvier 1917.
Il rentre au dépôt du 3e RI 26e compagnie du 9 juin 1917 au 1er septembre 1917
Il passe ensuite au 90e régiment d'infanterie (90e RI) et rejoint les armées dans la 3e compagnie du 8 septembre 1917 au 20 octobre 1918.
Il passe au 79e régiment d'infanterie territorial (79e RIT) dans le "Détachement de Récupération" du 20 octobre 1918 au 20 janvier 1919.
Il est démobilisé le 22 janvier 1919.
Il a donc été aux armées, au Front du 26 septembre 1914 au 20 novembre 1916, du 8 septembre 1917 au 20 janvier 1919, à l'hôpital du 20 novembre 1916 au 5 janvier 1917, et dans les dépôts du 4 août 1914 au 26 septembre 1914 et du 5 janvier au 8 septembre 1917.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Marius Philippe Combecal passe la plus grande partie de la guerre en tant que cuisinier.

Il écrit depuis les secteurs de :

- Ollioules (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur) et Sainte Anne d'Evenos (Var, Provence Alpes côte d'Azur) (août 1914) ;

- Le Beausset, Toulon, La Seyne et La Seyne-sur-Mer (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur) (septembre-novembre 1914) ;

- Catselsarrasin (Tarn-et-Garonne, Midi-Pyrénées) (décembre 1914) ;

- Saint-Anne d'Evenos et Ollioules (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur) (mai 1915) ;

- Argonne (Meuse, Lorraine) (juin-octobre 1915) ;

- Esnes (Nord, Nord-Pas-de-Calais) (janvier 1916) ;

- Jessains (Aube, Champagne-Ardenne) (janvier 1916) ;

- Tarascon (Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte d'Azur) (janvier 1916) ;

- Dijon (Côte-d'Or, Bourgogne) (février 1916) ;

- Bergues, Dunkerque, Lille et Malo-les-bains (Nord, Nord-Pas-de-Calais) (mars-avril 1916) ;

- Dinant, Pervyse, Ypres, bataille de l'Yser (Belgique) (mai-juin 1916) ;

- Wassy (Haute-Marne, Champagne-Ardenne) (juillet 1916) ;

- Lyon (Rhône, Rhône-Alpes) (août-septembre 1916) ;

- Beauvais, Fay Saint Quentin et Troussecourt (Oise, Picardie) (novembre 1916) ;

- Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne, Midi-Pyrénées) (décembre 1916).

- Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte-d'Azur), lorsque Marius Combecal passe dans l'armée territoriale (janvier 1917).

- Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne, Midi-Pyrénées), Brive [où il fait soigner ses dents] (février 1917), Toulouse (Haute-Garonne, Midi-Pyrénées) (mars 1917), Montauban (Tarn-et-Garonne, Midi-Pyrénées) (mars, août 1917).

- Marseille, Salon-de-Provence, Pélissane (Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte-d'Azur) [Il repart à Aix-en-Provence pour des soins dentaires, puis "sert la soupe" aux sous-officiers. En juillet 1917, il est terrassier à Pélissanne, puis en "corvée agricole"].

- Avignon (Vaucluse, Provence-Alpes-Côte-d'Azur), où il change de régiment et reste au dépôt divisionnaire.

- Vého, Vacqueville, Badonviller, Pexonne, Baccarat, Laronxe, Lunéville (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) (septembre 1917).

- Badonviller (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) [En novembre 1917, départ pour le 48e RI où il travaille ensuite pour le génie comme manoeuvre, balayeur, puis chiffonnier].

- Marseille (Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte-d'Azur) (janvier 1918).

- Manonviller (Meurthe-et-Moselle, Lorraine).

- Seveux (Haute-Saône, France-Comté).

- Saint-Dié (Vosges, Lorraine).

L'original appartient à M. Marc Maillet

Marius Philippe Combecal est né à Nîmes (Gard) le 1er novembre 1877. Il décède le 3 juin 1959 à Montpellier (Hérault).
Il appartient à la classe 1897 (matricule 1902), mais est dispensé du service militaire, son frère étant déjà sous les drapeaux. Il effectue toutefois des périodes d'exercices au camp du Larzac, où il est simple soldat quand la guerre éclate. Il s'est marié avec Constance Anaïs Roux, le 4 octobre 1902,
Marius Combecal habite Montpellier, rue de Candolle ; il est petit viticulteur-propriétaire au Clos Juliette, chemin de la Pierre rouge, près du cimetière Saint-Lazare de Montpellier.
En 1914, il a 37 ans et une fille unique, Marguerite, âgée de 11 ans qui correspondra avec lui. Il est mobilisé au 122e régiment territorial d'infanterie (122e RIT) et se présente le 4 août 1914 à la caserne des Minimes à Montpellier.
Il part au dépôt de Toulon le 6 août 1914 où il reste jusqu'au 15 septembre 1914 inclus.
Passé au 3e régiment d'infanterie (3e RI) à Digne du 15 au 22 septembre1914, il part aux armées le 23 septembre 1914 pour être affecté à la 3e compagnie du 141e régiment d' infanterie (141e RI) à Avocourt (Meuse).
Du 25 avril 1916 au 20 novembre 1916, il est affecté à la 3e compagnie de mitrailleurs du 3e régiment d'infanterie aux armées.
Blessé lors d'un accident d'automobile le 20 novembre 1916, il est évacué à l'hôpital de Beauvais, puis ensuite le 9 décembre 1916 à l'Hôpital mixte de Castelnaudary d'où il sort le 24 décembre 1916 avec une permission de convalescence.
Il rejoint le dépôt du 3e régiment d'infanterie le 5 janvier 1917 et est renvoyé au dépôt du 145e régiment d'infanterie territorial (145e RIT) le 6 janvier 1917.
Il rentre au dépôt du 3e RI 26e compagnie du 9 juin 1917 au 1er septembre 1917
Il passe ensuite au 90e régiment d'infanterie (90e RI) et rejoint les armées dans la 3e compagnie du 8 septembre 1917 au 20 octobre 1918.
Il passe au 79e régiment d'infanterie territorial (79e RIT) dans le "Détachement de Récupération" du 20 octobre 1918 au 20 janvier 1919.
Il est démobilisé le 22 janvier 1919.
Il a donc été aux armées, au Front du 26 septembre 1914 au 20 novembre 1916, du 8 septembre 1917 au 20 janvier 1919, à l'hôpital du 20 novembre 1916 au 5 janvier 1917, et dans les dépôts du 4 août 1914 au 26 septembre 1914 et du 5 janvier au 8 septembre 1917.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Comprend de nombreuses cartes postales en provenance de Montpellier avec photographies de la vieille ville.

L'original appartient à M. Marc Maillet

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Marie Fabre écrit à son époux hospitalisé à Pau (Pyrénées-Atlantiques, Aquitaine) après une blessure par balle à l'épaule droite.

L'original appartient à Mme Stéphanie Fonvielle.

Pierre Fabre arrive au corps le 3 août 1914. Il est affecté au 58e régiment d'infanterie. Dès le 19 août 1914, il est blessé par balle et souffre d'une fracture de l'humérus droit. Il séjourne ensuite principalement au lycée de Pau, reconverti en hôpital militaire temporaire. Il y subit deux interventions chirurgicales, avant d'être réformé avec gratification renouvelable le 9 octobre 1915. Pierre Fabre retrouve les siens au moulin de Vergouniac (Le Soulié) le 14 octobre 1915. En 1919, la commission de réforme de Béziers lui attribue une pension définitive. Jusqu'à sa mort, Pierre Fabre souffre de sa blessure au bras droit.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Stéphanie Fonvielle.

François Marie "Ernest" Viste (1879-1916) est mort pour la France le 3 novembre 1916 à Ablancourt

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Ernest Viste part de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon) en novembre 1914 [vues n° 1-8], puis rejoint le Front de la Somme, vers Amiens (Somme, Picardie) [vues n° 26-96] où il est cuisiner pour les troupes dans les tranchées jusqu'en novembre 1916.

L'original appartient à Mme Stéphanie Fonvielle.

Marie Joseph Eugène Félicien Pistre naît le 13 juillet 1878 à La Salvetat-sur-Agoût. Son père étant muté, il quitte La Salvetat à l'âge de 3 ans. Il effectue ses études de médecine à l'École du Service de Santé de la Marine et des Colonies à Bordeaux (Gironde) où il soutient une thèse sur "Les pseudo-polypes tuberculeux des fosses nasales".
En 1902, il épouse à Montpellier Magdeleine Goutès avec laquelle il a 4 enfants.
En échange de ses études, il doit rester 5 ans au service de l'armée : parti à Dakar en janvier 1903 pour 30 mois, il en ramène une soixantaine d'objets de l'ethnie Coniaguis vivant en Guinée dont il fait don au musée de la Faculté de médecine de Bordeaux en avril 1904. Il effectue les 30 mois suivants en Nouvelle-Calédonie où il est médecin du bagne de l'Ile des Pins.
De retour en France, il démissionne de l'armée le 30 avril 1909 et reprend aussitôt le cabinet d'un ORL à Grenoble (Isère) où il réside avec sa famille 1, boulevard Gambetta.
Du 2 août 1914 au 5 octobre 1916, Eugène Pistre est mobilisé au Front comme chirurgien à l'ambulance 8/22 du 1er corps d'armée colonial, d'abord à Villers-Bretonneux (Somme, Picardie) et puis à Suippes (Marne, Champagne-Ardenne).
Du 6 octobre 1916 au 25 février 1917, il est chef de service au Dépôt du 6e régiment d'infanterie coloniale (6e RIC) à Lyon (Rhône, Rhône-Alpes). Du 26 février au 2 novembre 1917, il est chef de service au 72e bataillon de tirailleurs sénégalais (72e BTS) au camp du Courneau (Gironde, Aquitaine) et au camp de Saint-Raphaël (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur). Enfin, du 3 novembre 1917 au 17 mars 1919, il exerce à l'Hôpital sénégalais 66 à Fréjus (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur).
Il est fait chevalier de la Légion d'Honneur le 11 janvier 1919.
Eugène Pistre décède à Grenoble le 27 mars 1950.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Scènes de laparotomie, d'énucléations, d'amputations, de craniotomie consécutives à des blessures par balle et éclats d'obus, scène d'inhumation.

L'original appartient à M. François Berruyer.

Maurice Berruyer est originaire de Dieulefit (Drôme).

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. François Berruyer.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Souvenirs transcrits par Bernard Voindrot, petit-fils de Charles Theulot, et illustrés de photographies et documents personnels.

Charles Theulot est appelé au service en janvier 1916, puis il effectue ses classes dans l'Oise (Picardie), notamment à Monneville, Forfry, Marqueglise, Monthyon, Villers-Cotterêts [vues n° 5-12]. Il passe en première ligne en juin 1917 à Vauclair, Hoffenburg et Hurtebise (Bouconville-Vauclair, Marne, Champagne-Ardenne) [vue n°13].
Il retourne en première ligne en janvier 1918 dans la Marne, à Saint Thomas. En juillet 1918, il est à Flirey, Mont Cornillet et dans la forêt de Parroy (Meurthe-et-Moselle, Lorraine). Après une période de repos à l'arrière, il est à nouveau envoyé au Front en septembre 1918 à Tahure, dans la Marne [vues n° 14-17], où il est blessé par un obus à gaz.

L'original appartient à M. Bernard Voindrot.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Bernard Voindrot.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Correspondance adressée à ses parents (18 janvier 1916 - 17 juillet 1919) [vues n° 1-102].

- Portraits photographiques et photographies de groupes (1916-1919) [vues n° 103-132].

L'original appartient à M. Bernard Voindrot.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Bernard Voindrot.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

A noter : photographie de Charles Gueugnier en uniforme de zouave (1e à gauche) sur la vue n° 2.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Comprend 3 cartes photos représentant une scène de théâtre et le public [vue n° 2].

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Comprend 2 cartes postales représentant des zouaves [vues n° 2-3].

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Charles Gueugnier est né le 5 novembre 1878 à Sétif (Algérie) de François Gueugnier et Carmen Calleya. A 20 ans, il part en Angleterre où il est cuisinier. En 1900-1901, il effectue son service militaire au 4e régiment de marche de zouaves (matricule n° 586, recrutement d'Alger). La guerre le surprend alors qu'il est chef de cuisine de l'amiral anglais Berkeley-Milne, commandant en chef de l'escadre britannique en Méditerranée. Ce dernier lui propose d'être incorporé dans les forces britanniques mais il décline la proposition et rejoint son régiment, le 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ), le 3 août 1914. Charles Gueugnier part aux armées le 17 septembre 1914, mais est fait prisonnier le 12 octobre 1914 au Chemin des Dames (Craonne), est interné au camp de Merseburg (Allemagne, Saxe). En mai 1918, bénéficiant des accords de Berne, il est libéré du camp et transféré en Suisse, en semi-liberté. Il est rapatrié le 23 novembre 1918 et rentre en Algérie à la fin de l'année 1918 ; il est alors affecté au 3e RMZ et définitivement démobilisé le 3 mars 1919. Après la guerre 1914-1918, il regagne Londres (Grande-Bretagne) où il réside désormais au 38, Milson road.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Luc Elmlinger.

Le journal de captivité de Charles Gueugnier a fait l'objet d'une publication partielle :

Gueugnier, Charles, Les carnets de captivité de Charles Gueugnier 1914-1918, présentés par Nicole Dabernat-Poitevin, Accord édition, Toulouse, 1998, 239 p.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Il combat aux alentours de Nancy (Meurthe-et-Moselle, Lorraine), passe par Blainville-sur-l'Eau, Mont-sur-Meurthe, Lunéville (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) [vues n° 5-7]. Après un passage sur le Front de la Marne, il est cantonné à Bremencourt (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) [vue n° 13], puis dans les tranchées à Xermaménil (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) [vue n° 22]. Avant de passer par Valhey, puis Nancy (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) [vue n° 29].

L'original appartient à M. Norbert Simon.

Léon Tourre est un écrivain et poète héraultais, né le 11 février 1884 à Béziers et décédé dans sa ville natale le 26 février 1969.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Serge Caminade.

Léon Tourre est un écrivain et poète héraultais, né le 11 février 1884 à Béziers et décédé dans sa ville natale le 26 février 1969.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

En 1917, départ pour la 6e section d'infirmiers à Châlons-sur-Marne (Marne, Champagne-Ardenne).

L'original appartient à M. Serge Caminade.

George Henry, originaire de Saône-et-Loire, est séminariste au grand séminaire de Nice lorsqu'il est envoyé au Front. Il est mobilisé comme brancardier au 58e régiment d'infanterie (58e RI).

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

En février 1915 [vues n° 1-40], George Henry fait étape à Marre, à Forges (Meuse, Lorraine) dans les tranchées, puis à Courtémont (Marne, Champagne-Ardenne).

En 1916 [vues n° 41-100], il est au Front dans l'Aisne (Picardie), dans les environs de Verdun (Meuse, Lorraine), puis en août vers Soissons (Aisne, Picardie) [vues n° 71-100].

En 1917, il est en Grèce à Salonique, puis aux alentours de Larissa et Athènes en juin [vues n° 101-230].

De retour en France, en octobre 1918, il passe à Gerbévillers (Meurthe-et-Moselle, Lorraine).

En 1919, il est en Alsace et passe notamment par les villes de Muntzenheim (Haut-Rhin, Alsace) et de Ebersheim (Bas-Rhin, Alsace) [vues n° 231-271].

L'original appartient à M. Paul Cottalorda.

George Henry, originaire de Saône-et-Loire, est séminariste au grand séminaire de Nice lorsqu'il est envoyé au Front. Il est mobilisé comme brancardier au 58e régiment d'infanterie (58e RI).

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à M. Paul Cottalorda.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Emille Boutonnet monte au Front en août 1914 en Alsace dans le 133e régiment d'infanterie (133e RI). A partir de février 1915 et jusqu'en février 1917, il se bat dans les Vosges, notamment autour de Saint-Dié et à Saint-Jean-d'Ormont (Vosges, Lorraine). Au milieu de l'année 1917, il est envoyé à l'hôpital de Carcassonne (Aude, Languedoc Roussillon) pour une blessure au bras et y reste jusqu'en août ; il est ensuite soigné à l'hôpital de Montpellier. En novembre 1917, il part en convalescence à Belley (Ain, Rhône-Alpes), puis à Bourg-en-Bresse (Ain, Rhône-Alpes). En janvier 1918, Émile Boutonnet rejoint le 63e régiment d'artillerie (63e RA), puis en avril, il est envoyé au dépôt de Reuil (Marne, Champagne-Ardenne), près de Reims.

La correspondance comprend également quelques lettres reçues par Émile Boutonnet.

L'original appartient à M. Claude Boutonnet.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Marie-Jeanne Graffeuille.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Paul Honorat monte au Front en août 1914, passe par le Territoire de Belfort (Franche-Comté) et arrive en octobre 1914 à Sailly-Laurette (Somme, Picardie), puis à Montdidier (Somme, Picardie) et à Plainfaing (Vosges, Lorraine) [vues n° 1-28].

En janvier 1915, il est à Hazebrouk (Nord, Nord-Pas-de-Calais), à proximité de Dunkerque, ainsi qu'à Sus-Saint-Léger (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais). Il passe ensuite à Reims (Marne, Champagne-Ardenne), avant d'aller à Dixmude (Belgique). A partir de mars 1915, Paul Honorat est dans les tranchées de deuxième ligne à Mazingarbe, Vermelles, Ourton, Bully-Grenay, Neuvilles-Saint-Vaast, Maroeuil (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais) [vues n° 29-102].

Il retourne à Hazebrouck (Nord, Nord-Pas-de-Calais) en janvier 1916, puis est dirigé à Cayeux-en-Santerre (Somme, Picardie) en juillet 1916 [vues n° 103-114]. En juin 1917, Paul Honorat est à Soppe-le-Bas (Haut-Rhin, Alsace), en juillet à Dounoux, Arches (Vosges, Lorraine), en août à Lusse (Vosges, Lorraine) [vues n° 115-134].

En mars 1918, il cantonne à Neuville-au-Pont (Marne, Champagne-Ardenne) [vues n° 135-144].

L'original appartient à Mme Marie-Jeanne Graffeuille.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Marie-Jeanne Graffeuille.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Marie-Jeanne Graffeuille.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Gabriel Fiat est mobilisé à Lyon en août 1914. Le 5 août, il gagne les Vosges où il cantonne à Dounoux, puis Cheniménil (Vosges, Lorraine). Il participe ensuite à la Campagne d'Alsace, dans la vallée de la Bruche, puis passe notamment à Saint-Marie-aux-Mines (Haut-Rhin, Alsace), Bourg-Bruche, Saâles (Bas-Rhin, Alsace). Il se replie ensuite avec son unité dans les Vosges et combat autour de Saint-Dié, Saint-Michel-sur-Meurthe, Nompatelize, Taintrux, La Salle (Vosges, Lorraine) dans la seconde quinzaine du mois d'août 1914. En septembre 1914, Gabriel Fiat participe à la libération de Saint-Dié. Après la bataille de la trouée de Charmes, à la fin du mois de septembre 1914, Gabriel Fiat gagne le Front de la Somme en passant par La Salle, près de Rambervillers (Vosges, Lorraine), puis par Charmes (Vosges, Lorraine). De fin septembre 1914 à février 1915, il prend position dans les tranchées à Proyart et Cappy (Somme, Picardie).

L'original appartient à M. Dominique Giorgi.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

En août 1915, Gabriel Fiat quitte le Front de Cappy (Somme, Picardie). Il combat aux alentours de Sainte-Menehould (Marne, Champagne-Ardenne) à partir d'avril 1916 et, en mai, près de Verdun (Meuse, Lorraine). De juin à juillet 1916, il est sur le plateau du Barrois, près de Saint-Dizier (Haute-Marne, Champagne-Ardenne). En décembre, il participe à la reprise du fort de Douaumont (Meuse, Lorraine). En 1917, il se bat en Picardie, d'abord dans la Somme notamment vers Montdidier et Roye, puis dans l'Aisne et l'Oise (Picardie), près de Compiègne. En 1918, après un passage aux alentours de Belfort (Territoire de Belfort, Franche-Comté), il est sur le Front de Belgique avant de revenir dans la Marne (Champagne-Ardenne), près de Reims.

L'original appartient à M. Dominique Giorgi.

Joseph Dominique Casimir François Arribat, voyageur de commerce, naît le 12 mars 1890 à Villeneuve-lès-Béziers, fils de Dominique Emmanuel Léon Arribat et de Marguerite Guilhermin Roque. Conscrit de la classe 1910 (matricule n° 735 au recrutement de Béziers), il effectue son service militaire au 1er régiment de hussards (1er RH) d'octobre 1911 à novembre 1913, dont il sort avec le grade de maréchal des logis. En août 1914, il est mobilisé au 1er RH où il effectue toute la guerre 1914-1918. Le 3 octobre 1917, Joseph Arribat est cité à l'ordre du régiment, puis, le 22 octobre 1918, il est nommé sous-lieutenant à titre temporaire. Joseph Arribat est démobilisé à Castres le 20 août 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Après une période d'entraînement en janvier 1916 à Aiguizy (Aisne, Picardie), le maréchal des logis Joseph Arribat occupe avec son unité des positions en premières lignes qu'il dénomme "ouvrage Charraux" et des positions de secondes lignes. Régulièrement, il cantonne également à Nanteuil-Notre-Dame (Aisne, Picardie). En juillet 1916, il change de cantonnement pour Trélou-sur-Marne (Aisne, Picardie).

L'original appartient à M. Roger Petit.

Joseph Dominique Casimir François Arribat, voyageur de commerce, naît le 12 mars 1890 à Villeneuve-lès-Béziers, fils de Dominique Emmanuel Léon Arribat et de Marguerite Guilhermin Roque. Conscrit de la classe 1910 (matricule n° 735 au recrutement de Béziers), il effectue son service militaire au 1er régiment de hussards (1er RH) d'octobre 1911 à novembre 1913, dont il sort avec le grade de maréchal des logis. En août 1914, il est mobilisé au 1er RH où il effectue toute la guerre 1914-1918. Le 3 octobre 1917, Joseph Arribat est cité à l'ordre du régiment, puis, le 22 octobre 1918, il est nommé sous-lieutenant à titre temporaire. Joseph Arribat est démobilisé à Castres le 20 août 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

En septembre 1917, Joseph Arribat est en ligne de soutien (secondes lignes) à Regnéville, puis au repos à Louppy-le-Château (Meuse, Lorraine). Relevé le 1er octobre, son régiment arrive le 12 à Villers-le-Sec, au sud-est de Vesoul et Dampierre-sur-Linotte (Haute-Saône, Franche-Comté). Après une permission, Joseph Arribat prend position le 18 novembre 1917 jusqu'au 30 mars 1918 à Lepuix et Rougegoutte (Territoire de Belfort, France-Comté). Le 9 décembre, il est à Bourbach-le-Haut (Haut-Rhin, Alsace) pour l'organisation et la défense d'un ligne de repli.

En avril 1918, il cantonne à Lassigny, Pronleroy, Foulangues, Mouy et Fontenay-Torcy (Oise, Picardie). Le 1er régiment de hussards remonte ensuite à l'ouest d'Amiens (Somme, Picardie), s'installe à Breilly (Somme, Picardie), puis continue vers le Front belge et cantonne à Sautricourt, Coyecques (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais). Le 4 mai 1918, à Poperinghe (Belgique), près de Ypres, Joseph Arribat participe au service de liaison. Il est envoyé en repos près de Dunkerque, à Rexpoëde (Nord, Nord-Pas-de-Calais), puis à Villers-les-Nancy (Meurthe-et-Moselle, Lorraine). De juin à août 1918, il séjourne à coté de Nancy, à Bouxières-aux-Dames (Meurthe-et-Moselle, Lorraine), puis est envoyé en octobre vers Pont-Saint-Maxence, près de Soissons (Aisne, Picardie).

L'original appartient à M. Roger Petit.

Arthur Alfred Leboube est né le 17 mai 1890 à Senones (Vosges) et décédé à Vieux-Moulin (Vosges) le 14 janvier 1969.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Fascicule dactylographié intitulé "Prise d'un drapeau allemand par le premier bataillon de chasseurs à pied - 14 août 1914", par le colonel Tabouis (février 1948). Récit d'une contre-attaque française en août 1914 à Saint-Blaise (Bas-Rhin, Alsace) [vues n° 1-15], 5 photographies d'une cérémonie commémorative de la prise du premier drapeau allemand par le chasseur Leboube, organisée à l'Hôtel de Ville de Senones (Vosges, Lorraine) en 1964 [vues n° 1-2, 15-18 ], copie d'un article de presse relatant la prise du premier drapeau allemand en 1914 (1930) [vue n° 19].

A noter : Alfred Arthur Leboube (1890-1969) est le 2e à gauche sur la vue n° 18.

L'original appartient à M. Gaston Leboube.