227 lettres.

- 21 lettres de Max de Ginestet, son fils (1898).
- 2 lettres de Guy et Henry de Ginestet, ses fils.
- 4 lettres de Jacques de Ginestet, son fils.
- 8 lettres de François de Puivert et May Berlioz, son frère et sa belle-sSur(1880-1881).
- 4 lettres de François de Ginestet, son mari.
- 18 lettres d'autres parents et amis (Antoinette de Bony, Jacqueline Larivière Mauléon, Montmarin, madame Ginestet, Marguerite-Marie, Grojean...) (1891-1903).

- Lettres adressées à Guy de Ginestet : 3 lettres de Catherine de Puivert, sa grand-mère (1910-1921), 7 cartes postales de Jacques Raindre (1903-1905), 1 carte postale de Jacques de Ginestet, son frère (1914), 3 lettres de Maxime Clérisse (1917-1918), 1 lettre de Jean (1922), 1 lettre de José Bernal, notaire au sujet d’une exploitation forestière (1923), 2 lettres d'Henry de Ginestet, son frère jumeau, 9 lettres d'Ida de Ginestet, sa soeur, lettres du Cercle de la loge et lettres relatives à des cours de piano.

- Lettres adressées à Antoinette de Palaminy, épouse de Guy de Ginestet : 6 lettres d'Ida de Ginestet, sa belle-soeur.

- Lettres adressées à Max de Ginestet, fils de Guy de Ginestet : 15 lettres d'Ida de Ginestet, sa tante (1962-1978).

- Lettres adressées à Henry de Ginestet : 7 cartes postales de Jacques Raindre (1903), 19 lettres de Philippe de Ginestet,son fils (1922-1940), 9 lettres d'Ida de Ginestet, sa sœur (1929-1944), 27 lettres de Diane de Ginestet, sa fille (1934-1944), 2 lettres de Guy de Ginestet, son frère jumeau (1942-1943), 1 lettre signée Art.

- Lettres adressées à Elie de Rambourg, épouse d’Henry de Ginestet : 1 lettre d'Ida de Ginestet, sa belle-soeur.

- Lettres adressées à Philippe de Ginestet, fils d’Henry et d’Elie de Ginestet : 6 lettres d'Henry de Ginestet, son père (1936-1940).

- Lettres adressées à Diane de Ginestet, fille d’Henry et d’Elie de Ginestet : 5 lettres d'Henry de Ginestet, son père (1937-1940), 4 lettres d'Ida de Ginestet, sa tante.

- Lettres adressées à Jacques de Ginestet : 4 lettres de Catherine de Puivert [dont une lettre provenant du diocèse de Paris concernat un incident causé par Jacques au lycée] (1904), 2 lettres d'Ida de Ginestet, 2 lettres d'Henry de Ginestet concernant la tombe de leur frère Max, à Mailly-sur-Seille (1918-1920), 1 lettre d'Henry de Rodez-Bénavent (1903).

- Lettres adressées à Geneviève du Lac, épouse de Jacques de Ginestet : 1 lettre d'Elie de Ginestet, sa belle-soeur (1922), 1 lettre d'Henriette Pons, 2 lettres d'Ida de Ginestet, sa belle-soeur.

- Lettres adressées à François de Ginestet, fils de Jacques dit "Fafa" : 6 lettres d'Ida de Ginestet, sa tante et marraine.

- Lettres adressées à Jeanne Marie Gaujal, dite "Misela", épouse de François de Ginestet : 2 lettres d'Ida de Ginestet.

- Lettres adressées à Georges de Ginestet, fils de François et de Jeanne Marie Gaujal : 64 lettres d'Ida de Ginestet, sa grand-tante (1976-1980), lettres de condoléances consécutives au décès d’Ida de Ginestet.

Max de Ginestet (1892-1917) est né le 1er septembre 1892 à Laussou (Lot-et-Garonne). Conscrit de la classe 1912, il est inscrit sous le matricule n° 582 au recrutement de Béziers-Saint-Pons).
Incorporé à compter du 1er octobre 1913, comme soldat de 2e classe au 10e régiment de dragons (10e RD), il gagne le Front en août 1914 dans le secteur de Lunéville (Meurthe-et-Moselle), puis d'Epernay (Marne) en septembre. Son unité assure la protection de la retraite de l'armée française et stationne dans l'Aisne, puis dans le Pas-de-Calais, notamment à Arras et Vermelles. Le régiment est ensuite affecté en renfort dans le zone de Merville (Nord, Nord-Pas-de-Calais) en octobre 1914. Puis, le 10e RD passe en Alsace et cantonne notamment à Aspach-le-Haut, Felon et Saint-Germain-le-Châtelet (Haut-Rhin, Alsace) de décembre 1914 à décembre 1915. Max de Ginestet est nommé brigadier le 8 mai 1915. Il passe ensuite dans le 1er groupe d'aviation, comme élève-pilote, le 30 décembre 1915. Affecté à l'école d'aviation militaire de Tours le 30 janvier 1916, il y obtient son brevet de pilote militaire (n° 3915) le 12 juillet 1916. Max de Ginestet effectue ensuite un stage de spécialisation "Avions rapides" à l'école d'aviation militaire d'Avord (Cher, Centre) du 14 juillet au 16 septembre 1916, puis un stage de tir à l'école du tir aérien de Cazaux (Gironde, Aquitaine) du 18 au 28 septembre 1916 et enfin un stage de Haute-Ecole (voltige) à l'école d'aviation militaire de Pau du 2 octobre au 8 décembre 1916. Il gagne ensuite le Groupement des Divisions d'Entrainement (GDE) du 8 décembre 1916 au 14 janvier 1917. Max de Ginestet est alors affecté en Lorraine comme pilote à l'escadrille N 77 du 16 janvier au 29 juillet 1917. Il est nommé maréchal des logis le 21 mai 1917. Max de Ginestet est tué au cours d'un combat aérien aux commandes du Nieuport 23 n° 534, dans les environs de Mailly-sur-Seille (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) le 29 juillet 1917. Son adversaire était probablement l'Uffz Max Kahlow du Jasta 34 b. Max de Ginestet est inhumé avec les honneurs militaires par les Allemands dans le cimetière de Mailly-sur-Seille. Après guerre, le corps du pilote est inhumé sous le monument aux morts de Mailly.

Lettres de :

- François de Ginestet, son père (1914) [vues n° 2-10] ;
- Urbain de Mailly, un ami (1915) [vues n° 11-32] ;
- Pierre d'Aiguevives, un ami (1914) [vues n° 33-47] ;
- Emmanuel de Dreux-Brezé, un ami (1915) [vues n° 48-57] ;
- M. de Mauléon (1911) [vues n° 58-59] ;
- Catherine de Puivert, sa grand-mère (1898-1914) [vues n° 60-103] ;
- Gabrielle de Ginestet, sa mère (1898-1903) [vues n° 104-166] ;
- Ida de Ginestet, sa soeur (1914) [vues n° 167, 180-186, 190-228] ;
- Henry de Ginestet, son frère [vue n° 168] ;
- Jacques de Ginestet, son frère (1905- 1915) [vues n° 169-179] ;
- Jeanne de Ginestet, sa cousine [vues n° 186-187] ;
- Jacques Lasserre, Beauté, René, Ricaud, Marciano Laprida Villanova, des amis (1904-1915) [vues n° 229-230, 236-257].

A noter : carte-photo de Max de Ginestet sur un cheval [vue n° 56], photographie de Max de Ginestet [vue n° 210].

Numérisé en 2014 par les Archives départementales de l'Hérault.

Condoléances pour les décès de :

- François de Ginestet, son père (1919-1922) : 51 lettres.
- Catherine Françoise Josèphe de Bony, marquise de Puivert, sa grand-mère (1934) : 77 lettres.
- Henry de Ginestet, son frère (1944) : 9 lettres.
- François de Ginestet, son neveu (1955) : 47 lettres.

Lettres signées BM, Bonne maman.

Lettres signées BM, Bonne maman.

Les lettres de Catherine de Puivert sont signées BM, Bonne maman.

51 lettres.

2 lettres de François de Puivert (1916-1917) et 6 lettres de May Berlioz (1932-1933).

200 lettres, signées "Toinette".

51 lettres de Max de Ginestet (1933-1980), 15 lettres de Charles de Ginestet (1947-1979).

130 lettres.

52 lettres (comprend aussi des lettres de Michelle Treille de Grandsaigne, épouse de Philippe de Ginestet).

115 lettres.

70 lettres (Geneviève du Lac signe régulièrement ses lettres "Vévette").

22 lettres de François de Ginestet, dit "Fafa" (1942-1954), 75 lettres de Jeanne Marie Gaujal, dite "Misela" (1955-1979).

46 lettres.

48 lettres.

Max de Ginestet (1892-1917) est né le 1er septembre 1892 à Laussou (Lot-et-Garonne). Conscrit de la classe 1912, il est inscrit sous le matricule n° 582 au recrutement de Béziers-Saint-Pons).
Incorporé à compter du 1er octobre 1913, comme soldat de 2e classe au 10e régiment de dragons (10e RD), il gagne le Front en août 1914 dans le secteur de Lunéville (Meurthe-et-Moselle), puis d'Epernay (Marne) en septembre. Son unité assure la protection de la retraite de l'armée française et stationne dans l'Aisne, puis dans le Pas-de-Calais, notamment à Arras et Vermelles. Le régiment est ensuite affecté en renfort dans le zone de Merville (Nord, Nord-Pas-de-Calais) en octobre 1914. Puis, le 10e RD passe en Alsace et cantonne notamment à Aspach-le-Haut, Felon et Saint-Germain-le-Châtelet (Haut-Rhin, Alsace) de décembre 1914 à décembre 1915. Max de Ginestet est nommé brigadier le 8 mai 1915. Il passe ensuite dans le 1er groupe d'aviation, comme élève-pilote, le 30 décembre 1915. Affecté à l'école d'aviation militaire de Tours le 30 janvier 1916, il y obtient son brevet de pilote militaire (n° 3915) le 12 juillet 1916. Max de Ginestet effectue ensuite un stage de spécialisation "Avions rapides" à l'école d'aviation militaire d'Avord (Cher, Centre) du 14 juillet au 16 septembre 1916, puis un stage de tir à l'école du tir aérien de Cazaux (Gironde, Aquitaine) du 18 au 28 septembre 1916 et enfin un stage de Haute-Ecole (voltige) à l'école d'aviation militaire de Pau du 2 octobre au 8 décembre 1916. Il gagne ensuite le Groupement des Divisions d'Entrainement (GDE) du 8 décembre 1916 au 14 janvier 1917. Max de Ginestet est alors affecté en Lorraine comme pilote à l'escadrille N 77 du 16 janvier au 29 juillet 1917. Il est nommé maréchal des logis le 21 mai 1917. Max de Ginestet est tué au cours d'un combat aérien aux commandes du Nieuport 23 n° 534, dans les environs de Mailly-sur-Seille (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) le 29 juillet 1917. Son adversaire était probablement l'Uffz Max Kahlow du Jasta 34 b. Max de Ginestet est inhumé avec les honneurs militaires par les Allemands dans le cimetière de Mailly-sur-Seille. Après guerre, le corps du pilote est inhumé sous le monument aux morts de Mailly.

Cartes postales et correspondance de Max de Ginestet :
- 1908-1913 [vues n° 1-56]
- Janvier à décembre 1914 [vues n° 57-101].
- Janvier à décembre 1915 [vues n° 102-260].
- Janvier à décembre 1916 [vues n° 261-350].
- Janvier à juillet 1917 [vues n° 351-406].
A noter : photographie d'un groupe d'aviateurs (Max de Ginestet à droite) [vue n° 227].

Numérisé en 2014 par les Archives départementales de l'Hérault.

7 lettres de Roger Germain d'Espic de Ginestet (1912-1926) et 130 lettres de Blanche de Comminges (1908-1960).

[A la suite du décès de sa mère en 1905, Ida de Ginestet vit une partie de son enfance chez son oncle Germain et sa tante Blanche de Ginestet. Ida de Ginestet grandit avec ses cousines Marguerite, Marie-Germaine et Jeanne de Ginestet dont elle reste très proche par la suite.]

90 lettres de Marguerite de Ginestet-d'Espagnat (1912-1954) et 12 lettres de Bernard d'Espagnat et de son épouse Marie (1955-1980).

[A la suite du décès de sa mère en 1905, Ida de Ginestet vit une partie de son enfance chez son oncle Germain et sa tante Blanche de Ginestet. Ida de Ginestet grandit avec ses cousines Marguerite, Marie-Germaine et Jeanne de Ginestet dont elle reste très proche par la suite.]

44 lettres de Marie-Germaine de Ginestet-Huteau (1908-1960) et 7 lettres de Jacques Huteau et de son épouse Christine (1967-1978).

[A la suite du décès de sa mère en 1905, Ida de Ginestet vit une partie de son enfance chez son oncle Germain et sa tante Blanche de Ginestet. Ida de Ginestet grandit avec ses cousines Marguerite, Marie-Germaine et Jeanne de Ginestet dont elle reste très proche par la suite.]

90 lettres de Jeanne de Ginestet, dite "Nano".

[A la suite du décès de sa mère en 1905, Ida de Ginestet vit une partie de son enfance chez son oncle Germain et sa tante Blanche de Ginestet. Ida de Ginestet grandit avec ses cousines Marguerite, Marie-Germaine et Jeanne de Ginestet dont elle reste très proche par la suite.]

190 lettres de Jeanne de Ginestet, dite "Nano".

[A la suite du décès de sa mère en 1905, Ida de Ginestet vit une partie de son enfance chez son oncle Germain et sa tante Blanche de Ginestet. Ida de Ginestet grandit avec ses cousines Marguerite, Marie-Germaine et Jeanne de Ginestet dont elle reste très proche par la suite.]

92 lettres de Jeanne de Ginestet, dite "Nano".

[A la suite du décès de sa mère en 1905, Ida de Ginestet vit une partie de son enfance chez son oncle Germain et sa tante Blanche de Ginestet. Ida de Ginestet grandit avec ses cousines Marguerite, Marie-Germaine et Jeanne de Ginestet dont elle reste très proche par la suite.]

- 7 lettres de Jeanne de Gevigney, née Suarez (1917-1955).
- 2 lettres de Germaine de Chiffreville, née Suarez (1934-1935).
- 15 lettres de Marguerite de Carayon Talpeyrac, née Suarez (1913-1955).
- 53 lettres de Marthe de Lingua de Saint-Blanquat, née Suarez (1910-1944).
- 1 lettre de Patrice de Parades (1927).
- 2 lettres de Guy de Cordon (1916).
- 1 lettre de Chantal de Suarez d'Almeida, née Loriol (1934).

- Branche d'Orléans : 2 lettres signées Puivert d’Orléans (1927), 2 lettres signées d’Orléans-Poncins (1934-1935).
- Branche de Pons : 3 lettres de Fortunée de Pons (1918-1919), 31 lettres d'Henriette d’Argoubet, née de Pons (1918-1951), 18 lettres de Catherine Bastart de Villeuneuve, née d’Argoubet (1911-1952), 1 lettre d'Ernest d’Argoubet et de son épouse Marie de Limairac (1955), 11 lettres de Joseph de Pons (1918-1952), 2 lettres de Gabrielle de Montgremier, née de Pons (1917-1934), 1 lettre de François de Montgremier (1961), 2 lettres de Simone de Pons (1944-1953).
- Branche de Champvallins : lettres de Marie-Lucie La loge de Champvallins, lettres de Marie-Josèphe Burot de l’Isle Challons.
- Branche de Montmarin (1933-1974) : 11 lettres de Louise de Montmarin, Henri de Montmarin, Gabrielle Vauzelle, Marie-Madeleine Patas d’Iliers, née de Montmarin, Yvonne de Montmarin.

- Branche Chastenet de Puységur : 2 lettres de Jacques et Henriette de Puységur (1924-1934).
- Branche d’Auberjon : 3 lettres de Marguerite-Marie Civelli de Bosh, née des Cordes (1922-1931), 11 lettres de Marie-Madeleine Desrez, dite "Mimi" (1922-1980), 7 lettres de Nicole de Brignac (1929-1976), 2 lettres de Charlotte de Moismont, née d’Auberjon (1944), 1 lettre de Françoise Bastard, née d'Auberjon (1934).
- Branche Rodez-Bénavent : 2 lettres de Josette de Rodez-Bénavent (1934-1955), 8 lettres d'Yvonne de Rodez-Bénavent, née de Lauriston, dite "Nanette" (1917-1953), 2 lettres de Jehan de Rodez-Bénavent (1944-1953).

3 lettres d'Antoine de Mauléon-Narbonne (1924-1932) et 16 lettres de son épouse Marie-Thérèse de Mauléon-Narbonne, née Castelbon de Beauxhostes (1924-1936).

56 lettres d'Alfred de Mauléon-Narbonne (1908-1947), 76 lettres d'Hélène de Mauléon-Narbonne, née Biellosselski (1934-1980), 20 lettres de Jacqueline Chabanes de la Palice, née Mauléon-Narbonne (1932-1980), 1 lettre de Jean Chabanes de la Palice (1978), 12 lettres d'Antoine de Mauléon-Narbonne (1940-1978), 5 lettres de Marie-Louise Ferrier de Montal, née de Barrin (1937-1943), 1 lettre de Marie-Thérèse de Barrin (1964).

23 lettres de Georges de Mauléon-Narbonne, dit "Toutoune" (1927-1978), 37 lettres d'Hélène de Mauléon-Narbonne, née Durand de Gérard (1932-1978), 5 lettres de Jean-François de Mauléon-Narbonne (1969-1976), 17 lettres d'Anne Jacquelot de Chantemerle de Villette, née de Mauléon-Narbonne, dite "Poupée" (1942-1980), 3 lettres de Jean et Stanislas Jacquelot de Chantemerle de Villette (1979-1980), 18 lettres de Marie-France Desjardin, née Mauléon-Narbonne, dite "Babichon" (1968-1979), 5 lettres de Gilles de Mauléon-Narbonne, dit "Chouchou" (1954-1976).

33 lettres de François de Mauléon-Narbonne (1913-1977), 29 lettres de Nicole de Mauléon-Narbonne, née de la Croix de Saint Cyprien (1943-1980).