Noël Henri Gard, menuisier à Nîmes (Gard), naît le 24 décembre 1869 à Saint-Julien-de-Valgalgues (Saint-Julien-les-Rosiers, Gard). Conscrit de la classe 1889 (matricule n° 2307, au recrutement de Nîmes), il est exempté de service militaire pour affection organique du coeur. Le 18 août 1899, il épouse, à Laval (Gard), Adeline Sophie Roux (1878-1971), avec laquelle il a deux filles. Classé dans le service armé par le conseil de révision du Gard le 24 décembre 1914, Henri Gard est affecté le 2 mai 1915 au 117e régiment d'infanterie terriroriale (117e RIT). Il est envoyé à Harol, dans les Vosges, et intègre le poste n° 5 du Groupe n° 1 de la Section B de la Garde des Voies de Communication (GVC) de la 2e subdivision de la 21e région militaire et assure jusqu'en avril 1916 la garde des voies ferrées et du Canal de l'Est à Harol et Girancourt. Le 22 avril 1916, il est détaché comme menuisier aux Établissements de Diétrich et compagnie, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Henri Gard est versé au 156e régiment d'infanterie territoriale (156e RIT) le 1er juillet 1917, puis placé en sursis d'appel à Nîmes, du 22 novembre 1917 au 30 novembre 1918. Il est libéré des obligations militaires et démobilisé le 13 décembre 1918. Henri Gard décède à Nîmes le 20 novembre 1927.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Livret militaire de Noël Henri Gard (1914-1918). [vues n° 1-6]

- Affectation aux Établissements de Diétrich et compagnie, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) de 1916 à 1918 : mises en sursis d'appel [vues n° 7-9]

- Démobilisation : pièces individuelles (1918). [vues n° 10-13]

- Photographie de groupe des "Poilus d'Harol (Vosges) Classe 1889 GVC Section B Groupe 1 Poste 5 - Campagne 1914-1915" (1915) : Henri Gard est le 5e à gauche au 2e rang. [vues n° 14-15]

- Simulation d'une position de combat par les poilus d'Harol : cate photographique [1915]. [vues n° 16-17]

- Autoportrait d'Henri Gard, à Lunéville (6 mai 1917). [vues n° 18-19]

- Carte du Front et des opéraions militaires dans la région Vosges - Lorraine [1915]. [vues n° 20-22]

- 2 factures vierges de l'entreprise de menuiserie d'Henri Gard, à Nîmes [1900-1920]. [vues n° 23-24]

L'original appartient à M. Alain Cruvier.

Noël Henri Gard, menuisier à Nîmes (Gard), naît le 24 décembre 1869 à Saint-Julien-de-Valgalgues (Saint-Julien-les-Rosiers, Gard). Conscrit de la classe 1889 (matricule n° 2307, au recrutement de Nîmes), il est exempté de service militaire pour affection organique du coeur. Le 18 août 1899, il épouse, à Laval (Gard), Adeline Sophie Roux (1878-1971), avec laquelle il a deux filles. Classé dans le service armé par le conseil de révision du Gard le 24 décembre 1914, Henri Gard est affecté le 2 mai 1915 au 117e régiment d'infanterie terriroriale (117e RIT). Il est envoyé à Harol, dans les Vosges, et intègre le poste n° 5 du Groupe n° 1 de la Section B de la Garde des Voies de Communication (GVC) de la 2e subdivision de la 21e région militaire et assure jusqu'en avril 1916 la garde des voies ferrées et du Canal de l'Est à Harol et Girancourt. Le 22 avril 1916, il est détaché comme menuisier aux Établissements de Diétrich et compagnie, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Henri Gard est versé au 156e régiment d'infanterie territoriale (156e RIT) le 1er juillet 1917, puis placé en sursis d'appel à Nîmes, du 22 novembre 1917 au 30 novembre 1918. Il est libéré des obligations militaires et démobilisé le 13 décembre 1918. Henri Gard décède à Nîmes le 20 novembre 1927.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Légendes des croquis et dessins :

- Guérite de la barrière. [vue n° 2]

- Route de Darney - Vosges. [vue n° 3]

- Sous-bois. [vue n° 4]

- Pâturages des Vosges. [vue n° 5]

- Intérieur d'un abri ou guérite. [vue n° 6]

- Un coin de la chambrée. [vue n° 7]

- La barrière. [vue n° 8]

- Route de La Rue [écart d'Harol]. [vue n° 9]

- Le pont. [vue n° 10]

- Ferme à Longeroye [écart d'Harol]. [vue n° 11]

- Longeroye - le disque. [vue n° 12]

- Le pont du Chanot. [vue n° 13]

- La Planchotte [écart d'Harol]. [vue n° 14]

- Harol - le village. [vue n° 15]

L'original appartient à M. Alain Cruvier.

Noël Henri Gard, menuisier à Nîmes (Gard), naît le 24 décembre 1869 à Saint-Julien-de-Valgalgues (Saint-Julien-les-Rosiers, Gard). Conscrit de la classe 1889 (matricule n° 2307, au recrutement de Nîmes), il est exempté de service militaire pour affection organique du coeur. Le 18 août 1899, il épouse, à Laval (Gard), Adeline Sophie Roux (1878-1971), avec laquelle il a deux filles. Classé dans le service armé par le conseil de révision du Gard le 24 décembre 1914, Henri Gard est affecté le 2 mai 1915 au 117e régiment d'infanterie terriroriale (117e RIT). Il est envoyé à Harol, dans les Vosges, et intègre le poste n° 5 du Groupe n° 1 de la Section B de la Garde des Voies de Communication (GVC) de la 2e subdivision de la 21e région militaire et assure jusqu'en avril 1916 la garde des voies ferrées et du Canal de l'Est à Harol et Girancourt. Le 22 avril 1916, il est détaché comme menuisier aux Établissements de Diétrich et compagnie, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Henri Gard est versé au 156e régiment d'infanterie territoriale (156e RIT) le 1er juillet 1917, puis placé en sursis d'appel à Nîmes, du 22 novembre 1917 au 30 novembre 1918. Il est libéré des obligations militaires et démobilisé le 13 décembre 1918. Henri Gard décède à Nîmes le 20 novembre 1927.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Légendes des croquis et dessins :

- En lisière de la forêt - Vosges. [vue n° 2]

- Chemin de fer en forêt. [vue n° 3]

- Un pont sur la voie. [vue n° 4]

- Cantonnement à Harol - Vosges. [vue n° 5]

- Projecteur d'un fort [il s'agit du fort d'Uxegney]. [vue n° 6]

- Salle de billard au cantonnement d'Harol. [vue n° 7]

- Scierie du Void de Girancourt. [vue n° 8]

- Chalet de Mme Même - Girancourt. [vue n° 9]

- Pont sur la canal de l'Est - Girancourt. [vue n° 10]

- Canal de l'Est. [vue n° 11]

- La chambrée. [vue n° 12]

- Maset d'Henri Gard, dans le Gard. [vue n° 13]

L'original appartient à M. Alain Cruvier.

Noël Henri Gard, menuisier à Nîmes (Gard), naît le 24 décembre 1869 à Saint-Julien-de-Valgalgues (Saint-Julien-les-Rosiers, Gard). Conscrit de la classe 1889 (matricule n° 2307, au recrutement de Nîmes), il est exempté de service militaire pour affection organique du coeur. Le 18 août 1899, il épouse, à Laval (Gard), Adeline Sophie Roux (1878-1971), avec laquelle il a deux filles. Classé dans le service armé par le conseil de révision du Gard le 24 décembre 1914, Henri Gard est affecté le 2 mai 1915 au 117e régiment d'infanterie terriroriale (117e RIT). Il est envoyé à Harol, dans les Vosges, et intègre le poste n° 5 du Groupe n° 1 de la Section B de la Garde des Voies de Communication (GVC) de la 2e subdivision de la 21e région militaire et assure jusqu'en avril 1916 la garde des voies ferrées et du Canal de l'Est à Harol et Girancourt. Le 22 avril 1916, il est détaché comme menuisier aux Établissements de Diétrich et compagnie, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Henri Gard est versé au 156e régiment d'infanterie territoriale (156e RIT) le 1er juillet 1917, puis placé en sursis d'appel à Nîmes, du 22 novembre 1917 au 30 novembre 1918. Il est libéré des obligations militaires et démobilisé le 13 décembre 1918. Henri Gard décède à Nîmes le 20 novembre 1927.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Correspondance adressée depuis Harol, Girancourt et Uxegney (18 mai 1915 - 23 mars 1916), puis depuis Lunéville (30 avril 1916 - 15 novembre 1917).

Cartes postales illustrées :

- des Vosges : d'Harol, Girancourt, des cols des Vosges (Rudlin, Plainfaing), Epinal, Ville-sur-Illon, Thaon-les-Vosges, Bussang, Gérardmer, Saint-Remy, Saint-Benoît, Rambervillers, Taintrux, Raon-l'Etape, Remiremont

- de Meurthe-et-Moselle : Gerbéviller, Lunéville, Blainville, Nancy, Vitrimont, Hériménil

- du Haut-Rhin : Husseren-Wesserling

L'original appartient à M. Alain Cruvier.

Noël Henri Gard, menuisier à Nîmes (Gard), naît le 24 décembre 1869 à Saint-Julien-de-Valgalgues (Saint-Julien-les-Rosiers, Gard). Conscrit de la classe 1889 (matricule n° 2307, au recrutement de Nîmes), il est exempté de service militaire pour affection organique du coeur. Le 18 août 1899, il épouse, à Laval (Gard), Adeline Sophie Roux (1878-1971), avec laquelle il a deux filles. Classé dans le service armé par le conseil de révision du Gard le 24 décembre 1914, Henri Gard est affecté le 2 mai 1915 au 117e régiment d'infanterie terriroriale (117e RIT). Il est envoyé à Harol, dans les Vosges, et intègre le poste n° 5 du Groupe n° 1 de la Section B de la Garde des Voies de Communication (GVC) de la 2e subdivision de la 21e région militaire et assure jusqu'en avril 1916 la garde des voies ferrées et du Canal de l'Est à Harol et Girancourt. Le 22 avril 1916, il est détaché comme menuisier aux Établissements de Diétrich et compagnie, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Henri Gard est versé au 156e régiment d'infanterie territoriale (156e RIT) le 1er juillet 1917, puis placé en sursis d'appel à Nîmes, du 22 novembre 1917 au 30 novembre 1918. Il est libéré des obligations militaires et démobilisé le 13 décembre 1918. Henri Gard décède à Nîmes le 20 novembre 1927.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Petit livre en buis, sculpté et pyrogravé par Henri Gard, portant l'inscription "Souvenir des Vosges - 1914, 1915-1916" et illustré d'une hirondelle.

L'original appartient à M. Alain Cruvier.