Marcel Théophile Mercoiret, agent d'assurances à Alès (Gard), fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 20 juin 1894 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). Conscrit de la classe 1914 (matricule n° 1084, au bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé comme chasseur le 6 septembre 1914 au 6e bataillon de chasseurs à pied (6e BCP), puis promu caporal le 1er novembre, et sergent le 17 décembre 1914. Marcel Mercoiret est versé au 18e bataillon de chasseurs à pied (18e BCP) le 14 février 1915, puis blessé par balle au bras et à la cuisse gauche, au Mesnil-lès-Hurlus (Marne) le 5 mars 1915. Le 28 août 1915, il intègre le 116e régiment d'infanterie (116e RI), puis, le 11 octobre 1915, le 118e régiment d'infanterie (118e RI) avec lequel il part en renfort aux armées. Marcel Mercoiret est tué en allant porter un pli au Fort de Vaux (Meuse) le 31 octobre 1916.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Marcel Mercoiret cantonne à Nice (Alpes-Maritimes) du 8 septembre 1914 au 6 février 1915 [vues n° 1-131], passe par Chasse (Isère), Roanne (Loire), Moulin (Allier), Bourges (Cher), Angers (Maine-et-Loire) en février 1915, puis stationne en Argonne à Lachalade (Meuse) et dans la Marne, à Rapsécourt et Herpont du 26 février au 5 mars 1915 [vues n° 132-203]. Blessé le 5 mars 1915 à Ménil-lès-Hurlus (Marne), Marcel Mercoiret est ensuite envoyé en convalescence à l'hôpital temporaire de l'Hôtel du palais, à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) [vues n° 204-402 ; voir également 123 PRI 3, vues n° 167-169, 177-180].

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.

Marcel Théophile Mercoiret, agent d'assurances à Alès (Gard), fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 20 juin 1894 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). Conscrit de la classe 1914 (matricule n° 1084, au bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé comme chasseur le 6 septembre 1914 au 6e bataillon de chasseurs à pied (6e BCP), puis promu caporal le 1er novembre, et sergent le 17 décembre 1914. Marcel Mercoiret est versé au 18e bataillon de chasseurs à pied (18e BCP) le 14 février 1915, puis blessé par balle au bras et à la cuisse gauche, au Mesnil-lès-Hurlus (Marne) le 5 mars 1915. Le 28 août 1915, il intègre le 116e régiment d'infanterie (116e RI), puis, le 11 octobre 1915, le 118e régiment d'infanterie (118e RI) avec lequel il part en renfort aux armées. Marcel Mercoiret est tué en allant porter un pli au Fort de Vaux (Meuse) le 31 octobre 1916.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Marcel Mercoiret stationne au dépôt du 18e bataillon de chasseurs à Fontenay-le-Comte (Vendée) du 3 juin au 30 juillet 1915 [vues n° 1-110]. Il cantonne ensuite à la Pissotte (Vendée) du 3 au 18 août 1915 [vues n° 111-143]. Enfin, à partir du 3 octobre 1915 jusqu'en octobre 1916), il ne localise plus ses lettres, se contentant d'écrire "Aux tranchées" [vues n° 144-226].

A noter : portrait photographique en pied de Marcel Mercoiret dans sa lettre du 28 juin 1916. [vue n° 294]

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.

Jean René Théophile Mercoiret, fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 15 septembre 1897 à Alès (Gard). Conscrit de la classe 1917 (bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé en 1914 comme artilleur à la 72e batterie du 19e régiment d'artillerie de campagne (19e RAC) à Nîmes. René Mercoiret est promu brigadier en décembre 1914 et passe à la 66e batterie. En avril 1915, il est nommé maréchal des logis, puis intègre, comme chef artificier, en mai 1915, le 2e régiment mixte de marche. En août 1915, il passe au 52e régiment d'infanterie coloniale (52e RIC), où il reste jusqu'à la fin du conflit. René Mercoiret est intoxiqué par les gaz lors des combats. Après la guerre, il exerce, avec son père, la profession d'agent d'assurances à Alès (Gard). René Mercoiret décède à Alès (Gard) le 8 février 1971.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

René Mercoiret stationne à Nîmes (Gard) du 4 septembre 1914 au 19 avril 1915 [vues n° 1-117, 123-162], à Fréjus (Var) le 9 mai 1915 [vues n° 163-164], à Puget-sur-Argens (Var) du 9 au 30 mai 1915 [vues n° 119-120, 165-166, 170-176, 182-205 ; voir aussi 123 PRI 1, vues n° 384-385], à Troyes (Aube) et au camp de Mailly en juin 1915 [vues n° 210-215, voir aussi 123 PRI 4, vues n° 76-77], puis au Front (sans localisation précise) du 10 juin au 28 décembre 1915 [vues n° 216-275].

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.

Jean René Théophile Mercoiret, fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 15 septembre 1897 à Alès (Gard). Conscrit de la classe 1917 (bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé en 1914 comme artilleur à la 72e batterie du 19e régiment d'artillerie de campagne (19e RAC) à Nîmes. René Mercoiret est promu brigadier en décembre 1914 et passe à la 66e batterie. En avril 1915, il est nommé maréchal des logis, puis intègre, comme chef artificier, en mai 1915, le 2e régiment mixte de marche. En août 1915, il passe au 52e régiment d'infanterie coloniale (52e RIC), où il reste jusqu'à la fin du conflit. René Mercoiret est intoxiqué par les gaz lors des combats. Après la guerre, il exerce, avec son père, la profession d'agent d'assurances à Alès (Gard). René Mercoiret décède à Alès (Gard) le 8 février 1971.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Comprend également 4 photographies, insérées dans la lettre du 19 décembre 1916. [vues n° 288-289]

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.

Jean René Théophile Mercoiret, fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 15 septembre 1897 à Alès (Gard). Conscrit de la classe 1917 (bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé en 1914 comme artilleur à la 72e batterie du 19e régiment d'artillerie de campagne (19e RAC) à Nîmes. René Mercoiret est promu brigadier en décembre 1914 et passe à la 66e batterie. En avril 1915, il est nommé maréchal des logis, puis intègre, comme chef artificier, en mai 1915, le 2e régiment mixte de marche. En août 1915, il passe au 52e régiment d'infanterie coloniale (52e RIC), où il reste jusqu'à la fin du conflit. René Mercoiret est intoxiqué par les gaz lors des combats. Après la guerre, il exerce, avec son père, la profession d'agent d'assurances à Alès (Gard). René Mercoiret décède à Alès (Gard) le 8 février 1971.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.

Jean René Théophile Mercoiret, fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 15 septembre 1897 à Alès (Gard). Conscrit de la classe 1917 (bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé en 1914 comme artilleur à la 72e batterie du 19e régiment d'artillerie de campagne (19e RAC) à Nîmes. René Mercoiret est promu brigadier en décembre 1914 et passe à la 66e batterie. En avril 1915, il est nommé maréchal des logis, puis intègre, comme chef artificier, en mai 1915, le 2e régiment mixte de marche. En août 1915, il passe au 52e régiment d'infanterie coloniale (52e RIC), où il reste jusqu'à la fin du conflit. René Mercoiret est intoxiqué par les gaz lors des combats. Après la guerre, il exerce, avec son père, la profession d'agent d'assurances à Alès (Gard). René Mercoiret décède à Alès (Gard) le 8 février 1971.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Comprend également des lettres non datées, ainsi qu'un portrait de profil de René Mercoiret, dessiné par le lieutenant Cagnieux, intitulé : "tête d'un chef artificier" (sd) [vue n° 221].

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.

Louis Gaston Paul Mercoiret, agent d'assurances à Alès (Gard), naît le 31 mars 1871 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). Il épouse Léa Marie Manoël (1871-1970), tailleuse d'habits, le 16 juin 1893 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). De leur union naissent deux fils (Marcel Théophile et Jean René Mercoiret) et trois filles (Lucie, Marguerite, dite Guitte, et Henriette Mercoiret). En 1914-1915, Paul Mercoiret est mobilisé comme sergent au 5e bataillon de chasseurs à pied (5e BCP). Paul Mercoiret décède le 22 août 1943 à Alès.

Marcel Théophile Mercoiret, agent d'assurances à Alès (Gard), fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 20 juin 1894 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). Conscrit de la classe 1914 (matricule n° 1084, au bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé comme chasseur le 6 septembre 1914 au 6e bataillon de chasseurs à pied (6e BCP), puis promu caporal le 1er novembre, et sergent le 17 décembre 1914. Marcel Mercoiret est versé au 18e bataillon de chasseurs à pied (18e BCP) le 14 février 1915, puis blessé par balle au bras et à la cuisse gauche, au Mesnil-lès-Hurlus (Marne) le 5 mars 1915. Le 28 août 1915, il intègre le 116e régiment d'infanterie (116e RI), puis, le 11 octobre 1915, le 118e régiment d'infanterie (118e RI) avec lequel il part en renfort aux armées. Marcel Mercoiret est tué en allant porter un pli au Fort de Vaux (Meuse) le 31 octobre 1916.

Jean René Théophile Mercoiret, fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 15 septembre 1897 à Alès (Gard). Conscrit de la classe 1917 (bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé en 1914 comme artilleur à la 72e batterie du 19e régiment d'artillerie de campagne (19e RAC) à Nîmes. René Mercoiret est promu brigadier en décembre 1914 et passe à la 66e batterie. En avril 1915, il est nommé maréchal des logis, puis intègre, comme chef artificier, en mai 1915, le 2e régiment mixte de marche. En août 1915, il passe au 52e régiment d'infanterie coloniale (52e RIC), où il reste jusqu'à la fin du conflit. René Mercoiret est intoxiqué par les gaz lors des combats. Après la guerre, il exerce, avec son père, la profession d'agent d'assurances à Alès (Gard). René Mercoiret décède à Alès (Gard) le 8 février 1971.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Correspondance passive de Paul Mercoiret et de son épouse Marie (3 octobre 1914 - 2 décembre 1916), comprenant notamment des lettres de l'adjudant-chef Petit donnant des nouvelles régulière de leur fils René Mercoiret en 1916. [vues n° 1-72]
- Correspondance passive de Lucie Mercoiret (29 octobre 1915 - 22 juillet 1919), comprenant également de la correspondance relative à un séjour en Angleterre, et une copie corrigée de philosophie de Lucie Mercoiret pour la licence de philosophie (1918). [vues n° 73-113]
- Correspondance passive de Marcel Mercoiret (16 juin 1914 - 19 juin 1915). [vues n° 114-122]
- Correspondance passive de René Mercoiret (3 septembre 1914 - 5 mai 1917). [vues n° 123-159]

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.

Louis Gaston Paul Mercoiret, agent d'assurances à Alès (Gard), naît le 31 mars 1871 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). Il épouse Léa Marie Manoël (1871-1970), tailleuse d'habits, le 16 juin 1893 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). De leur union naissent deux fils (Marcel Théophile et Jean René Mercoiret) et trois filles (Lucie, Marguerite, dite Guitte, et Henriette Mercoiret). En 1914-1915, Paul Mercoiret est mobilisé comme sergent au 5e bataillon de chasseurs à pied (5e BCP). Paul Mercoiret décède le 22 août 1943 à Alès.

Marcel Théophile Mercoiret, agent d'assurances à Alès (Gard), fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 20 juin 1894 à Saint-Jean-du-Gard (Gard). Conscrit de la classe 1914 (matricule n° 1084, au bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé comme chasseur le 6 septembre 1914 au 6e bataillon de chasseurs à pied (6e BCP), puis promu caporal le 1er novembre, et sergent le 17 décembre 1914. Marcel Mercoiret est versé au 18e bataillon de chasseurs à pied (18e BCP) le 14 février 1915, puis blessé par balle au bras et à la cuisse gauche, au Mesnil-lès-Hurlus (Marne) le 5 mars 1915. Le 28 août 1915, il intègre le 116e régiment d'infanterie (116e RI), puis, le 11 octobre 1915, le 118e régiment d'infanterie (118e RI) avec lequel il part en renfort aux armées. Marcel Mercoiret est tué en allant porter un pli au Fort de Vaux (Meuse) le 31 octobre 1916.

Jean René Théophile Mercoiret, fils de Louis Gaston Paul Mercoiret (1871-1943) et de Léa Marie Manoël (1871-1970), naît le 15 septembre 1897 à Alès (Gard). Conscrit de la classe 1917 (bureau de recrutement de Nîmes), il est incorporé en 1914 comme artilleur à la 72e batterie du 19e régiment d'artillerie de campagne (19e RAC) à Nîmes. René Mercoiret est promu brigadier en décembre 1914 et passe à la 66e batterie. En avril 1915, il est nommé maréchal des logis, puis intègre, comme chef artificier, en mai 1915, le 2e régiment mixte de marche. En août 1915, il passe au 52e régiment d'infanterie coloniale (52e RIC), où il reste jusqu'à la fin du conflit. René Mercoiret est intoxiqué par les gaz lors des combats. Après la guerre, il exerce, avec son père, la profession d'agent d'assurances à Alès (Gard). René Mercoiret décède à Alès (Gard) le 8 février 1971.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Portraits en famille : maison familiale, dite "Villa Bel-Air", à Alès (1913), portrait en pied de Paul Mercoiret et de ses deux fils en tenue militaires (sd, [1914-1915]), portrait de René Mercoiret en permission, avec ses sœurs et sa mère (1915), plusieurs portraits en pied des deux frères Mercoiret (sd), portrait de René Mercoiret, décoré et portant un brassard de deuil, à côté de son père (sd [1918]).

- Portraits et photographies de campagne : portrait en groupe devant une tente à Mailly-Champagne (13 juin 1915), Les cuistots du 52e colonial (12 septembre 1915), régiment d'artillerie dans la ville de S& en ruine (12-15 septembre 1915), artillerie en position dans la Somme, Décauville (23 mars 1916), artificiers et sapeurs du 52e régiment colonial (25 mars 1916), portrait à côté de son cheval (7 juin 1916), portait en groupe devant le ravitaillement (20 décembre 1916), plusieurs portraits de membres de la famile portant un brassard noir de deuil (décembre 1916), deux caissons de munitions (4 février 1917), La soupe. Ravitaillement par Décauville ; 1e ligne : observation, nettoyage de boyau, marmites, et le vétérinaire (4 février 1917), deux soldats africains dont un clairon à un poste de garde et posant sur une route (8 juin 1917), ruines d'Ogévillers (Meurthe-et-Moselle) en Lorraine (2 août 1917), portrait à cheval (10 octobre 1917), portrait en groupe pendant une permission (1er novembre 1917), orchestre du 52e colonial (1914-1917).

- Photographies du Front et portraits non identifiés ni datés : scènes de ravitaillement, revue à Villecourt dans la Somme et entraînement équestre.

L'original appartient à Mme Catherine Poudevigne.