Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Vues n° 1-9 : livret militaire (1902-1919). Le livret militaire mentionne qu'Étienne Soulier est cité à l'ordre du régiment (citation n° 211, du 8 mai 1917) : "Lors du coup de main du 28 avril 1917, chargé du commandement d'un groupe de protection du flanc, a dirigé ce groupe avec calme et sang-froid et assuré le retour du détachement". Décoré de la Croix de guerre avec étoile de bronze.

- Vues n° 10-20 : carnet individuel de tireur (1905).

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Le journal comprend les notes quotidiennes d'Étienne Soulier au cours de son service militaire au 97e des lignes 16e compagnie au fort Barraux (Isère) [vues n° 1-30], ainsi que son certificat de bonne conduite après sa nomination en tant que caporal le 17 septembre 1904 à Chambéry (Savoie) [vues n° 31].

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Le carnet comprend la copie manuscrite d'un article du journal "Le Midi socialiste" du 15 décembre 1915, intitulé "Le Poilu, qu'est-ce-que le Poilu?" [vues n° 2-6], des notes variées et un journal personnel (20 septembre - 25 novembre 1914) [vues n° 10-32].

Étienne Soulier arrive au Front en octobre 1914, il participe au combat et au siège de Vermelles (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais).

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Après une permission en janvier 1916, Étienne Soulier effectue des exercices d'approche de l'ennemi à Spycker (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais). Il cantonne à Bambecque (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais), puis Westvleteren, Boezinge (Ypres) et Poperinghe (Belgique) (22 avril - 3 mai 1916). Le régiment d'Étienne Soulier descend ensuite vers Bailleul (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais) pour des exercices militaires, puis combat en premières lignes à Vrély (Somme, Picardie) (juin 1916). Le 281e régiment d'infanterie (281e RI) avance en première ligne vers Péronne (Somme, Picardie) (5 juillet 1916) ; il quitte ensuite le secteur pour se postionner en secondes lignes à Rosières-en-Santerre (Somme, Picardie), puis dans le secteur calme de Guerbigny (Somme, Picardie) (août 1916), pour effectuer du repérage. En septembre 1916, le régiment prend position dans le village de L'Échelle-Saint-Aurin (Somme, Picardie).

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Étienne Soulier suit des cours d'instruction et de tirs dans le secteur d'Andechy (Somme, Picardie) en septembre 1916. En novembre, il cantonne à Erches (Somme, Picardie), puis occupe le secteur de Chaulnes (Somme, Picardie) (12 décembre 1916 - 10 janvier 1917).

Le carnet comprend la copie manuscrite de deux chansons : "Tout le long de la Tamise" [vues n° 22-24], "Quand Madelon..." [vues n° 24-25]

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Journal sur feuillets isolés.

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Imprimé à Montpellier chez Firmin et Montane en 1920, 44 pages.

Comprend outre l'historique du régiment de 1914 à 1918, la liste nominative des officiers, sous-officiers, caporaux et soldats du régiments tués ou décédés [vues n° 16-21], ainsi que celle des disparus pendant la guerre [vues n° 22-23].

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

La correspondance d'Étienne Soulier est adressée à son épouse Rose.

Hormis une lettre courrier du 25 août 1909 [vues n° 1-3], elle couvre les périodes du 3-21 avril 1915 [vues n° 4-9], 13 mars - 31 août 1916 [vues n° 10-34], 18 avril - 3 mai 1917 [vues n° 35-3], 10 juin - 10 décembre 1918 [vues n° 35-40]. Elle reprend ensuite pendant la captivité d'Étienne Soulier, puis lors de son séjour en Allemagne avant le raptriement définitif en France (8 juillet - 10 décembre 1918) [vues n° 41-63].

Des feuilles séchées sont insérées dans de nombreuses lettres.

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

La correspondance d'Étienne Soulier est adressée à sa fille Jeanne, depuis le Front (7 décembre 1914 - 31 octobre 1917) [vues n° 1-91], puis depuis le camp de prisonniers de guerre de Cassel, en Allemagne (20 octobre 1918) [vues n° 92-93], et enfin depuis Metz, en Moselle (Lorraine) (17 janvier 1919) [vues n° 94-95].

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Poème dédié à Rosa Durand, son épouse, intitulé "Rose est la reine des fleurs" (25 mai 1917), chansons "Amour délaissé", "Demain", "Rosa".

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Plantes séchées : "bouton d'or cueilli sur le bord de la tranchée massacrée sur le plateau de l'Artois en face le plateau de Calone", "brin de bruyère cueilli dans le parc du château de Coupigny - souvenir" (s.d.) [vues n° 1-3].

- Dessins du front : plan des tranchées le long de la route de Lens (s.d), vue cavalière du hameau de Bollezeele adressée à sa fille Jeanne Soulier (14 septembre 1915) [vues n° 4-6].

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Portrait d'Étienne Soulier [vues n° 1-2].

- Photographies de groupes de soldats (1914-1916) [vues n° 3, 6-7, 10-11].

- Popotte des sous-officiers de la 17e compagnie du 281e RI, située à Saint-Pol [vues n° 4-5].

- "Panorama du village [détruit] de Boesinghe et de ses abords Belgique" [vues n° 8-9].

- Poste de commandement du commandant du 281e RI (28 septembre 1916) [vues n° 12-13].

- Portraits Piétri et Kirscher, camarades du 281e RI (1916-1918) [vues n° 14-16].

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Portraits d'Auguste Soulier et photographies de groupe de soldats (1914-1918) [vues n° 1-8].

- Ordre général n° 148 du général commandant la 36e DI et citant Auguste Soulier (20 août 1917) [vue n° 9].

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.

Étienne Soulier est né le 7 février 1882 à Aigues-Mortes (Gard) ; il réside ensuite à Montpellier et décède en 1958.

Lors de son service militaire, il devient caporal le 17 septembre 1904. Il est mobilisé le 4 août 1914, comme sergent au 281e régiment d'infanterie et gagne le Front le 10 octobre 1914. Fait prisonnier le 9 juin 1918 à Cuvilly (Oise), Étienne Soulier est détenu en captivité au camp de Cassel (Allemagne) à partir du 9 juin 1918. Rapatrié le 15 janvier 1919, il est démobilisé le 10 mai 1919.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Trois bagues en aluminium et cuivre [dont une portant les initiales d'Etienne Soulier, l'autre de Rose Soulier], deux coupe-papier en aluminium portant l'inscrition "Iser" et "Belgique, 1916".

L'original appartient à Mme Colette Fauquier.