Frédéric François Esquirol, employé aux Contributions indirectes à Niort (en 1913), naît le 22 septembre 1892 à Tarascon-sur-Ariège (Ariège). Conscrit de la classe 1912 (matricule n° 581, recrutement de Foix), il est incorporé au 59e régiment d'infanterie (59e RI) le 10 octobre 1913. Frédéric Esquirol, promu caporal le 18 décembre 1914, est blessé, le 2 février 1915 au combat de la côte 200 à l'ouest de Perthes, par un éclat d'obus à l'humérus gauche et réformé par la commission de réforme de Tarbes le 2 juin 1915. Revenu à la vie civile, il poursuit sa carrière professionnelle dans l'administration des Contributions indirectes à Chartres, Paris, Montpellier.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

Mobilisé en août 1914, Frédéric Esquirol est envoyé sur le Front belge vers Bouillon (Ardenne, Champagne-Ardenne). Son régiment lourdement touché se replie dans les environs de Reims (Marne, Champagne-Ardenne). A la fin de l'année 1914, après une permission, il est en première et en troisième ligne dans le secteur de Somme-Suippe, Sainte-Menehould, puis Souain-Perthes-lès-Hurlus (Marne, Champagne-Ardenne). Le 2 février 1915, Frédéric Esquirol est blessé par un éclat d'obus dans le biceps, et évacué à l'hôpital de Troyes (Aube, Champagne-Ardenne), avant d'être soigné à Pau (Pyrénées-Atlantiques, Aquitaine) et à Lourdes (Haute-Pyrénées, Midi-Pyrénées).
A noter : liste de mots et d'expression d'argot employés par les poilus, avec leur explication [vue n° 23].

L'original appartient à Mmes Françoise Guiral, Christine Mogarra et Anne Cousteau.

Frédéric François Esquirol, employé aux Contributions indirectes à Niort (en 1913), naît le 22 septembre 1892 à Tarascon-sur-Ariège (Ariège). Conscrit de la classe 1912 (matricule n° 581, recrutement de Foix), il est incorporé au 59e régiment d'infanterie (59e RI) le 10 octobre 1913. Frédéric Esquirol, promu caporal le 18 décembre 1914, est blessé, le 2 février 1915 au combat de la côte 200 à l'ouest de Perthes, par un éclat d'obus à l'humérus gauche et réformé par la commission de réforme de Tarbes le 2 juin 1915. Revenu à la vie civile, il poursuit sa carrière professionnelle dans l'administration des Contributions indirectes à Chartres, Paris, Montpellier.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Groupes de soldats du 59e RI à la caserne ; Frédéric Esquirol est identifié par une croix (1914) [vues n° 1-4].

- "L'église de Suippes défoncée par les obus, 1er novembre 1914" [vues n° 5-6].

- Canon de 75 en batterie à proximité des positions du 59e RI (19 décembre 1914) et légende manuscrite de la photographie [vues n° 7-8].

- Vue d'une tranchée creusée et occupée par le 59e RI (19 décembre 1914) et légende manuscrite de la photographie [vues n° 9-10].

- Soldats du 59e RI devant un fort, sous la neige (hiver 1914-1915) [vue n° 11].

- Portrait en pied de Frédéric Esquirol, blessé par éclat d'obus au bras gauche le 2 février 1915 à Perthes-les-Hurlus (Marne) [vue n° 12].

- Hôpital militaire de Troyes (Aube). Vue de la chambrée de Frédéric Esquirol et groupe de blessés ; Frédéric Esquirol est identifié par une croix [4 février - 26 mars 1914] [vues n° 13-14].

- Hôpital militaire de Lourdes (Hautes-Pyrénées). Groupe de blessés ; Frédéric Esquirol est identifié par une croix (24 mai 1915) [vue n° 15].

L'original appartient à Mmes Françoise Guiral, Christine Mogarra et Anne Cousteau.