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Documents isolés et petits fonds d'origine privée (819-2022)

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    1 J 831 Fonds Emilien Joseph Alengrin (1884-....), soldat au 80e régiment d'infanterie (80e RI), prisonnier de guerre à Hameln-Alfeld (Allemagne). 1916-1918
    Description physique : 123 pièces papier, 38 enveloppes.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Emilien Joseph Alengrin, menuisier à Béziers, est né le 18 avril 1884 au Moulin Mage, à Murat (Tarn). Conscrit de la classe 1904 (matricule n° 1343, recrutement d'Albi), il effectue son service militaire en 1905-1906 au 15e régiment d'infanterie (15e RI). Mobilisé le 3 août 1914, Emilien Alengrin est blessé par balle au combat de Lesseux (Vosges) le 30 mars 1915. Il passe au 80e régiment d'infanterie (80e RI) le 3 octobre 1915 et est fait prisonnier le 30 octobre 1915 à Tahure (Marne). Emilien Alengrin est interné comme prisonnier de guerre au camp de Hameln-Alfeld (Allemagne) ; il est rapatrié en France le 31 décembre 1918 et affecté au 96e régiment d'infanterie le 10 février 1919. Emilien Alengrin est démobilisé le 20 mars 1919.

    Nom du producteur : Alengrin, Emilien Joseph (1884-....)
    Modalités d’entrée :

    Achat Compagnons d'Emmaüs à Béziers (entrée n° 1230, janvier 1974) ; document anciennement coté 1 F 514.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Lettres et cartes adressées par Emilien Alengrin, de Béziers, durant sa captivité à Hameln-Alfeld (Allemagne) pendant la guerre 1914-1918 à sa femme Augustine.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Allemagne ; Murat-sur-Vèbre (Tarn, France) ; Tarn (Occitanie, France ; département) ; Sommepy-Tahure (Marne, France) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    1 J 1719 Fonds Paul Bascoul (1893-1915), soldat puis caporal au 122e régiment d'infanterie (122e RI) : archives personnelles et familiales. [1910-1928]
    Description physique : Pièces papier et registre.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Paul Benjamin Charles Bascoul, né le 16 janvier 1893 à Béziers, est le fils de Benjamin Bascoul, négociant en bois et charbon, et de Marcelle Cros, institutrice. Bachelier de l'enseignement secondaire en 1910, il poursuit des études en classe préparatoire scientifique au Lycée de Montpellier, en vue d'intégrer l'Ecole Polytechnique ; il est également maître-répétiteur au collège de Clermont-l'Hérault.

    Mobilisé en juillet 1914, il est incorporé au 122e régiment d'infanterie (122e RI), comme soldat, puis devient caporal. En mars 1915, son régiment combat en première ligne dans la commune de Minaucourt (Marne), au fortin de Beauséjour, théâtre de violents affrontements (février - mars 1915). Le 17 mars 1915, Paul Bascoul est tué dans les tranchées de Beauséjour.

    Au cours de ces mois de campagne, Paul Bascoul entretient une correspondance soutenue et émouvante avec sa mère et sa sœur Juliette.

    Nom du producteur : Bascoul, Paul (1893-1915)
    Modalités d’entrée :

    Don Claude Lefert-Bascoul (entrée n° 5698, 22 février 2014).

    Fonds entré et numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Archives personnelles de Paul Bascoul : diplôme de bachelier de l'enseignement secondaire (1910), menu du "boulot taupinal" préparé par Paul Bascoul, étudiant en classe préparatoire scientifique au lycée de Montpellier (5 avril 1914), carte de visite de Benjamin Bascoul, négociant en bois à Béziers, comprenant au verso l'adresse postale militaire de son fils Paul [1914-1915], extrait d'attribution de la médaille militaire (30 janvier 1922), discours prononcé le 11 novembre 1928 au collège de Clermont-l'Hérault, où Paul Bascoul était maître-répétiteur, à l'occasion du dixième anniversaire de l'Armistice (1928) [vues n° 1-9].

    - Ouvrage imprimé ayant appartenu à Paul Bascoul : Oeuvres de Paul-Louis Courier (Paris, Garnier frères, s.d) [Document non numérisé].

    - Archives familiales : certificat de résidence de madame Bascoul (1915), reçu de versement d'or pour la Défense nationale par Juliette Bascoul (1916), bon alimentaire (s.d) [vues n° 10-12].

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    1 J 1720 Fonds Paul Bascoul (1893-1915), soldat puis caporal au 122e régiment d'infanterie (122e RI) : correspondance. 1914-1932
    Description physique : Pièces papier.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Paul Benjamin Charles Bascoul, né le 16 janvier 1893 à Béziers, est le fils de Benjamin Bascoul, négociant en bois et charbon, et de Marcelle Cros, institutrice. Bachelier de l'enseignement secondaire en 1910, il poursuit des études en classe préparatoire scientifique au Lycée de Montpellier, en vue d'intégrer l'Ecole Polytechnique ; il est également maître-répétiteur au collège de Clermont-l'Hérault.

    Mobilisé en juillet 1914, il est incorporé au 122e régiment d'infanterie (122e RI), comme soldat, puis devient caporal. En mars 1915, son régiment combat en première ligne dans la commune de Minaucourt (Marne), au fortin de Beauséjour, théâtre de violents affrontements (février - mars 1915). Le 17 mars 1915, Paul Bascoul est tué dans les tranchées de Beauséjour (Marne).

    Au cours de ces mois de campagne, Paul Bascoul entretient une correspondance soutenue et émouvante avec sa mère et sa sœur Juliette.

    Nom du producteur : Bascoul, Paul (1893-1915)
    Modalités d’entrée :

    Don Claude Lefert-Bascoul (entrée n° 5698, 22 février 2014).

    Fonds entré et numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Correspondance active de Paul Bascoul : lettres et cartes originales adressées à sa mère et à sa soeur Juliette (12 juillet 1914 - 15 mars 1915) [vues n° 1-204].

    - Cahier de transcription par madame Bascoul de la correspondance active de son fils Paul, de ses propres lettres revenues du Front après la mort de son fils, des témoignages de condoléances et d'hommages reçus de parents, proches et relations (21 juillet 1914 - 11 novembre 1932) ; contient également des portraits photographiques de Paul Bascoul [vues n° 205-323].

    - Correspondance active de madame Bascoul : lettre et cartes revenues du Front avec la mention "le destinataire n'a pu être atteint" (16 mars - 3 avril 1915) [vues n° 324-335].

    - Lettres et cartes de condoléances et d'hommages [contient également des coupures de presse annonçant le décès de Paul Bascoul] (16 avril - 9 juillet 1915) [vues n° 336-72].

    - Correspondance active et passive d'Étienne Bascoul, frère de Paul (1915-1918) [vues n° 373-376].

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Marne (Grand Est, France ; département)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    1 J 1725 Fonds Emile Jean-Pierre Poujol (1884-1915), soldat au 96e régiment d'infanterie (96e RI), tué à Beauséjour (Marne) le 19 mai 1915 : livret militaire, journaux, correspondance. 1905-1918
    Description physique : Pièces papier.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Emile Jean-Pierre Poujol naît le 26 novembre 1884 à Béziers. Il effectue son service militaire au 17e régiment d'infanterie (17e RI) du 8 octobre 1905 au 18 septembre 1906. Classé dans le service auxiliaire en 1913, il est rappelé au service actif à Béziers le 29 octobre 1914 et gagne le 96e régiment d'infanterie (96e RI) en janvier 1915. En mars 1915, il monte au Front en Champagne et décède de ses blessures à Beauséjour (Minaucourt, Marne) le 19 mai 1915 en cherchant à dégager des camarades ensevelis dans une tranchée.

    Nom du producteur : Poujol, Emile Jean-Pierre (1884-1915)
    Modalités d’entrée :

    Don Jean-Pierre Ferrand en novembre 2013 (entrée n° 5858, 6 novembre 2014).

    Fonds entré et numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Livret militaire (1905-1914). [vues n° 1-30]

    - Cahier comprenant la copie des lettres adressées par Emile Poujol à son épouse Maria (2 avril - 11 mai 1915). [vues n° 31-42]

    - Correspondance adressée à Emile Poujol, puis à sa veuve (1909-1918). [vues n° 43-206]

    - Numéro de l'Eclair avec le portrait d'Emile Poujol (8 août 1915). [vues n° 207-210]

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Marne (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus (Marne, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    1 J 1978 Fonds André Désiré Joseph Marie Simonnet (1896-1981), aspirant au 16e régiment d'infanterie (16e RI), au 121e régiment d'infanterie (121e RI), au 105e régiment d'infanterie (105e RI), au 26e régiment d'infanterie (26e RI), puis sous-lieutenant au 133e régiment d'infanterie (133e RI) : archives militaires personnelles. 1839-1975
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    André Désiré Joseph Marie Simonnet naît le 22 septembre 1896 à Montpellier, fils de Léon Désiré Simonnet, avocat, et de Marie Emilie Justine Canet. Il effectue sa scolarité à Montpellier, puis poursuit des études supérieures de droit. Conscrit de la classe 1916 (n° 858 au recrutement de Montpellier), André Simonnet est incorporé le 6 avril 1915 comme soldat de 2e classe au 16e régiment d'infanterie (16e RI). Elève officier au centre d'instruction de Saint-Cyr, il est promu aspirant le 11 avril 1915 et versé le 20 octobre suivant au 121e régiment d'infanterie (121e RI). Le 20 décembre 1915, il est affecté au 105e régiment d'infanterie (105e RI), puis passe au 26e régiment d'infanterie (26e RI) le 18 juillet 1916, avant d'être versé au 133e régiment d'infanterie (133e RI) le 9 juillet 1917. André Simonnet est promu sous-lieutenant à titre temporaire le 6 août 1917. Grièvement blessé par éclats d'obus le 18 juillet 1918 à Hautevesnes (Aisne), alors qu'il dirige l'assaut de la 1e compagnie de mitrailleuses de son régiment, André Simonnet est amputé de l'annulaire et l'auriculaire droits (citation avec croix de guerre à 2 palmes et étoile de bronze). Il est démobilisé le 20 octobre 1919 et se retire à Montpellier, où il épouse le 9 novembre 1920 Adrienne Léoncy Marie Antoinette Jeanjean.

    André Simonnet effectue une carrière civile à la Cour des comptes, à Paris, où il est conseiller référendaire. Dans la réserve de l'armée, il est versé dès 1920 dans l'Intendance où il est mobilisé à nouveau de septembre 1939 à juillet 1940.

    André Simonnet est chevalier de la Légion d'honneur en 1923, puis officier en 1950. Il décède le 28 février 1981 à Béziers.

    Nom du producteur : Simonnet, André Désiré Joseph Marie (1896-1981)
    Modalités d’entrée :

    Don Frédéric et Anne Eschapasse (entrée n° 7130, 14 décembre 2020).

    Fonds entré dans le cadre de la Grande Collecte 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Livret militaire (1915-1919) [vues n° 1-32], nominations et avancements de grade (1917-1936) [vues n° 33-58], citations (1917-1918) [vues n° 59-89], chevalier (1920), puis officier (1950) de la légion d'honneur [vues n° 90-95], blessures, visites médicales et pensions (1918-1921) [vues n° 96-111], portrait dessiné d'André Simonnet [1918] [vues n° 112-113], livret illustré du centre d'instruction d'élèves-aspirants de Saint-Cyr (1915) [vues n° 114-140], cartes photos, cartes postales et cartes dessinées de Saint-Cyr et du Front (1915-1917) [vues n° 141-156], citations [vues n° 157-162], cartes postales et portrait du chef de corps du 133e RI (1917-1918) [vues n° 163-168, 171-172], carte topographique britannique des tranchées dans le secteur de Cappy, Suzanne, Frise et Vaux, sur la Somme (échelle 1/10000e, 1916) [vues n° 169-170], mobilisation dans le contrôle de l'armée et l'Intendance (1939-1940) [vues n° 173-264], photographies de Léon Simonnet, père d'André Simonnet [vues n° 265-270], de Marie Canet, mère d'André Simonnet [vues n° 271-272], photographies de familles et portraits d'André Simonnet [1900-1975] [vues n° 273-282], 2 cartes postales de la Cour des comptes et de la Bastille [vues n° 283-286], dessin à la plume d'une aiguière [fin XIXe siècle] [vues n° 287-288], contrat de mariage passé à Sommières entre Antoine Frédéric Savary, négociant à Lunel, et Marie Elisabeth Emilie Poussigue (1839) [vues n° 289-298].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Numérisé en 300 Dpi par les Archives départementales de l'Hérault en 2021 sur un Digibook I2s. Couleur. 298 vues.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Montpellier (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Hautevesnes (Aisne, France) ; Aisne (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Sommières (Gard, France) ; Lunel (Hérault, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


Lieuran-lès-Béziers - Dossiers d'administration communale (1818-1941)

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    2 O 139/6/1 Monuments aux morts pour la Patrie : élévation. [1923]
    Description physique : 1 plan papier 51 x 48 cm en couleur
    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Document numérisé consultable en ligne

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Lieuran-lès-Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Biens communaux ; Propriété publique ; Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte et plan


Murviel-lès-Béziers - Dossiers d'administration communale (an XII-1941)

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    2 O 178/1/1 Monument aux morts à ériger au cimetière, projet : élévation et profil du socle / dressé par le directeur des travaux soussigné [signature illisible]. 1921
    Description physique : 1 plan papier 31 x 61 cm en noir et blanc
    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Document numérisé consultable en ligne

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Murviel-lès-Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Biens communaux ; Propriété publique ; Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte et plan


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    2 O 178/1/2 Monument à la mémoire des morts à ériger, projet : vue d'ensemble / [dressé par] l'architecte soussigné [signature illisible]. 1921
    Description physique : 1 plan papier 61 x 44 cm en noir et blanc
    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Document numérisé consultable en ligne

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Murviel-lès-Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Biens communaux ; Propriété publique ; Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte et plan


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    2 O 178/1/3 Monument à la mémoire des morts à ériger, projet : plan général / dressé par le directeur des travaux soussigné [signature illisible]. 1921
    Description physique : 1 plan papier 31 x 21 cm en couleur
    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Document numérisé consultable en ligne

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Murviel-lès-Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Biens communaux ; Propriété publique ; Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte et plan


Thézan-lès-Béziers - Dossiers d'administration communale (1807-1942)

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    2 O 310/1/2 [Monument aux morts]. Acquisition du terrain nécessaire pour érection d'un monument aux enfants de Thézan Morts pour la France : plan général [de la ville] / dressé par l'expert soussigné [signature illisible]. 1919
    Description physique : 1 plan papier 31 x 41 cm en couleur
    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Document numérisé consultable en ligne

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Thézan-lès-Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Biens communaux ; Propriété publique ; Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte et plan


Archives numérisées de complément

  • 98 vues consultable(s) uniquement en accès réservé
    17 PRI 3 Fonds des familles Fabre et Viste : correspondance active d'Ernest Viste, soldat au 121e régiment d'infanterie territoriale (121e RIT), puis au 308e régiment d'infanterie (308e RI), adressée à son épouse, Marie Marguerite Viste, et à sa fille, Elise Viste, à son beau-frère, Pierre Fabre, et à sa belle-soeur Marie Fabre, du moulin de Vergouniac (Le Soulié) (9 septembre 1914 - 15 septembre 1916). 1914-1916
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un EPSON Expression 11000XL. 300 dpi. Couleur. 98 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    François Marie "Ernest" Viste (1879-1916) est mort pour la France le 3 novembre 1916 à Ablancourt

    Nom du producteur : Viste, François Marie "Ernest" (1879-1916)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Ernest Viste part de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon) en novembre 1914 [vues n° 1-8], puis rejoint le Front de la Somme, vers Amiens (Somme, Picardie) [vues n° 26-96] où il est cuisiner pour les troupes dans les tranchées jusqu'en novembre 1916.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Stéphanie Fonvielle.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Le Soulié (Hérault, France) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Béziers (Hérault, France) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Amiens (Somme, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


  • 62 vues consultable(s) uniquement en accès réservé
    23 PRI 1 Fonds Léon Tourre (1884-1969), infirmier à la 16e Section militaire, vaguemestre de l'Hôpital 29bis à Béziers : carnet manuscrit de notes et informations (27 août 1911 - 22 janvier 1916). [Le carnet comprend des notes sur les événements militaires, sur la vie à l'arrière, sur les rumeurs...]. 1911-1916
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 63 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Léon Tourre est un écrivain et poète héraultais, né le 11 février 1884 à Béziers et décédé dans sa ville natale le 26 février 1969.

    Nom du producteur : Tourre, Léon (1884-1969)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Serge Caminade.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


  • 78 vues consultable(s) uniquement en accès réservé
    23 PRI 2 Fonds Léon Tourre (1884-1969), infirmier à la 16e Section militaire, vaguemestre de l'Hôpital 29bis à Béziers, puis infirmier à la 6e section d'infirmiers : carnet manuscrit de notes et informations (23 janvier 1916 - 22 avril 1920). [Le carnet comprend des notes sur les événements militaires, sur la vie à l'arrière, sur les rumeurs...]. 1916-1920
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 79 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Léon Tourre est un écrivain et poète héraultais, né le 11 février 1884 à Béziers et décédé dans sa ville natale le 26 février 1969.

    Nom du producteur : Tourre, Léon (1884-1969)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    En 1917, départ pour la 6e section d'infirmiers à Châlons-sur-Marne (Marne, Champagne-Ardenne).

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Serge Caminade.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Châlons-en-Champagne (Marne, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


  • 50 vues consultable(s) uniquement en accès réservé
    28 PRI 1 Fonds Joseph Arribat (1890-....), maréchal des logis au 1er régiment de Hussards : carnet de guerre manuscrit (20 janvier - 10 juillet 1916). 1916
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 50 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Joseph Dominique Casimir François Arribat, voyageur de commerce, naît le 12 mars 1890 à Villeneuve-lès-Béziers, fils de Dominique Emmanuel Léon Arribat et de Marguerite Guilhermin Roque. Conscrit de la classe 1910 (matricule n° 735 au recrutement de Béziers), il effectue son service militaire au 1er régiment de hussards (1er RH) d'octobre 1911 à novembre 1913, dont il sort avec le grade de maréchal des logis. En août 1914, il est mobilisé au 1er RH où il effectue toute la guerre 1914-1918. Le 3 octobre 1917, Joseph Arribat est cité à l'ordre du régiment, puis, le 22 octobre 1918, il est nommé sous-lieutenant à titre temporaire. Joseph Arribat est démobilisé à Castres le 20 août 1919.

    Nom du producteur : Arribat, Joseph Dominique Casimir François (1890-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Après une période d'entraînement en janvier 1916 à Aiguizy (Aisne, Picardie), le maréchal des logis Joseph Arribat occupe avec son unité des positions en premières lignes qu'il dénomme "ouvrage Charraux" et des positions de secondes lignes. Régulièrement, il cantonne également à Nanteuil-Notre-Dame (Aisne, Picardie). En juillet 1916, il change de cantonnement pour Trélou-sur-Marne (Aisne, Picardie).

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Roger Petit.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Aisne (Hauts-de-France, France ; département) ; Nanteuil-Notre-Dame (Aisne, France) ; Trélou-sur-Marne (Aisne, France) ; Villers-Agron-Aiguizy (Aisne, France) ; Villeneuve-lès-Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    28 PRI 2 Fonds Joseph Arribat (1890-....), maréchal des logis au 1er régiment de Hussards : carnet de guerre manuscrit (8 septembre 1917 - 11 novembre 1918). 1917-1918
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 78 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Joseph Dominique Casimir François Arribat, voyageur de commerce, naît le 12 mars 1890 à Villeneuve-lès-Béziers, fils de Dominique Emmanuel Léon Arribat et de Marguerite Guilhermin Roque. Conscrit de la classe 1910 (matricule n° 735 au recrutement de Béziers), il effectue son service militaire au 1er régiment de hussards (1er RH) d'octobre 1911 à novembre 1913, dont il sort avec le grade de maréchal des logis. En août 1914, il est mobilisé au 1er RH où il effectue toute la guerre 1914-1918. Le 3 octobre 1917, Joseph Arribat est cité à l'ordre du régiment, puis, le 22 octobre 1918, il est nommé sous-lieutenant à titre temporaire. Joseph Arribat est démobilisé à Castres le 20 août 1919.

    Nom du producteur : Arribat, Joseph Dominique Casimir François (1890-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    En septembre 1917, Joseph Arribat est en ligne de soutien (secondes lignes) à Regnéville, puis au repos à Louppy-le-Château (Meuse, Lorraine). Relevé le 1er octobre, son régiment arrive le 12 à Villers-le-Sec, au sud-est de Vesoul et Dampierre-sur-Linotte (Haute-Saône, Franche-Comté). Après une permission, Joseph Arribat prend position le 18 novembre 1917 jusqu'au 30 mars 1918 à Lepuix et Rougegoutte (Territoire de Belfort, France-Comté). Le 9 décembre, il est à Bourbach-le-Haut (Haut-Rhin, Alsace) pour l'organisation et la défense d'un ligne de repli.

    En avril 1918, il cantonne à Lassigny, Pronleroy, Foulangues, Mouy et Fontenay-Torcy (Oise, Picardie). Le 1er régiment de hussards remonte ensuite à l'ouest d'Amiens (Somme, Picardie), s'installe à Breilly (Somme, Picardie), puis continue vers le Front belge et cantonne à Sautricourt, Coyecques (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais). Le 4 mai 1918, à Poperinghe (Belgique), près de Ypres, Joseph Arribat participe au service de liaison. Il est envoyé en repos près de Dunkerque, à Rexpoëde (Nord, Nord-Pas-de-Calais), puis à Villers-les-Nancy (Meurthe-et-Moselle, Lorraine). De juin à août 1918, il séjourne à coté de Nancy, à Bouxières-aux-Dames (Meurthe-et-Moselle, Lorraine), puis est envoyé en octobre vers Pont-Saint-Maxence, près de Soissons (Aisne, Picardie).

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Roger Petit.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Grand Est (France ; région administrative) ; Meuse (Grand Est, France ; département) ; Bourgogne-Franche-Comté (France ; région administrative) ; Haute-Saône (Bourgogne-Franche-Comté, France ; département) ; Territoire-de-Belfort (Bourgogne-Franche-Comté, France ; département) ; Haut-Rhin (Grand Est, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Oise (Hauts-de-France, France ; département) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Pas-de-Calais (Hauts-de-France, France ; département) ; Belgique ; Nord (Hauts-de-France, France ; département) ; Meurthe-et-Moselle (Grand Est, France ; département) ; Aisne (Hauts-de-France, France ; département) ; Louppy-le-Château (Meuse, France) ; Rougegoutte (Territoire-de-Belfort, France) ; Bourbach-le-Haut (Haut-Rhin, France) ; Fontenay-Torcy (Oise, France) ; Foulangues (Oise, France) ; Lassigny (Oise, France) ; Mouy (Oise, France) ; Pronleroy (Oise, France) ; Breilly (Somme, France) ; Amiens (Somme, France) ; Coyecques (Pas-de-Calais, France) ; Rexpoëde (Nord, France) ; Bouxières-aux-Dames (Meurthe-et-Moselle, France) ; Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle, France) ; Soissons (Aisne, France) ; Villeneuve-lès-Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    41 PRI 1 Fonds Jean Carrère (1893-....), soldat au 38e régiment d'infanterie coloniale (38e RIC) : journal de guerre manuscrit (31 octobre 1915 - 25 novembre 1916). 1915-1916
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 192 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Jean Carrère est né à Pézilla-la-Rivière (Pyrénées-Orientales) le 23 février 1893. Il a effectué un service actif sous les drapeaux du 3 juillet 1913 au 23 août 1919. Il sert dans les rangs de la 22e compagnie du 38e régiment d'infanterie coloniale (38e RIC) sur le Front français du 13 octobre 1915 au 18 décembre 1916, sur le Front d'Orient du 18 décembre 1916 au 6 juillet 1918, et dans les armées d'occupation du 25 février au 10 juillet 1919.

    Nom du producteur : Carrère, Jean (1893-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Claire Carrère.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Pézilla-la-Rivière (Pyrénées-Orientales, France) ; Pyrénées-Orientales (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Aisne (Hauts-de-France, France ; département) ; Oise (Hauts-de-France, France ; département) ; Toulon (Var, France) ; Sivry-Ante (Marne, France) ; Ville-sur-Tourbe (Marne, France) ; Courtémont (Marne, France) ; Menucourt (Val-d'Oise, France) ; Pin (Seine-et-Marne, France) ; Épense (Marne, France) ; Troyes (Aube, France) ; Auve (Marne, France) ; Givry-en-Argonne (Marne, France) ; Meaux (Seine-et-Marne, France) ; Velennes (Somme, France) ; Grandvillers-aux-Bois (Oise, France) ; Fouquerolles (Oise, France) ; Bresles (Oise, France) ; Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne, France) ; Maffrécourt (Marne, France) ; Neuville-au-Pont (Marne, France) ; Erquinvillers (Oise, France) ; Hem (Nord, France) ; Lihus (Oise, France) ; Neuville-en-Hez (Oise, France) ; Cressonsacq (Oise, France) ; Massiges (Marne, France) ; Saint-Just-en-Chaussée (Oise, France) ; Rivesaltes (Pyrénées-Orientales, France) ; Rotangy (Oise, France) ; Maisoncelle-Saint-Pierre (Oise, France) ; Crèvecœur-le-Grand (Oise, France) ; Gallet (Oise, France) ; Doméliers (Oise, France) ; Bonneuil-en-France (Val-d'Oise, France) ; Lawarde-Mauger-l'Hortoy (Somme, France) ; Chaussoy-Epagny (Somme, France) ; Mailly-Raineval (Somme, France) ; Caix (Somme, France) ; Beaucourt (Territoire-de-Belfort, France) ; Lihons (Somme, France) ; Crépey (Meurthe-et-Moselle, France) ; Rosières-en-Santerre (Somme, France) ; Villers-aux-Érables (Somme, France) ; Villers-Bretonneux (Somme, France) ; Longueau (Somme, France) ; Ailly-sur-Somme (Somme, France) ; Orléans (Loiret, France) ; Toulouse (Haute-Garonne, France) ; Montauban (Tarn-et-Garonne, France) ; Narbonne (Aude, France) ; Cahors (Lot, France) ; Limoges (Haute-Vienne, France) ; Cayeux-en-Santerre (Somme, France) ; Ignaucourt (Somme, France) ; Aubercourt (Somme, France) ; Gentelles (Somme, France) ; Oresmaux (Somme, France) ; Cachy (Somme, France) ; Thézy-Glimont (Somme, France) ; Rouvrel (Somme, France) ; Ailly-sur-Noye (Somme, France) ; Grattepanche (Somme, France) ; Boves (Somme, France) ; Lamotte-Warfusée (Somme, France) ; Proyart (Somme, France) ; Cappy (Somme, France) ; Cerisy (Somme, France) ; Flaucourt (Somme, France) ; Biaches (Somme, France) ; Barleux (Somme, France) ; Herbécourt (Somme, France) ; Marcelcave (Somme, France) ; Péronne (Somme, France) ; Montdidier (Somme, France) ; Abbeville (Somme, France) ; Chantilly (Oise, France) ; Creil (Oise, France) ; Fayel (Oise, France) ; Estrées-Saint-Denis (Oise, France) ; Hartennes-et-Taux (Aisne, France) ; Longueil-Sainte-Marie (Oise, France) ; Soissons (Aisne, France) ; Tigny-Noyelle (Pas-de-Calais, France) ; Perpignan (Pyrénées-Orientales, France) ; Amiens (Somme, France) ; Silly-la-Poterie (Aisne, France) ; Verzy (Marne, France) ; Ferté-Milon (Aisne, France) ; Abancourt (Oise, France) ; Haute-Épine (Oise, France) ; Sète (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Agde (Hérault, France) ; Montpellier (Hérault, France) ; Vias (Hérault, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    41 PRI 2 Fonds Jean Carrère (1893-....), soldat au 38e régiment d'infanterie coloniale (38e RIC) : journal de guerre manuscrit, intitulé "Carnet de route d'Orient" (24 novembre 1916 - 1er août 1918). 1916-1918
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 26 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Jean Carrère est né à Pézilla-la-Rivière (Pyrénées-Orientales) le 23 février 1893. Il a effectué un service actif sous les drapeaux du 3 juillet 1913 au 23 août 1919. Il sert dans les rangs de la 22e compagnie du 38e régiment d'infanterie coloniale (38e RIC) sur le Front français du 13 octobre 1915 au 18 décembre 1916, sur le Front d'Orient du 18 décembre 1916 au 6 juillet 1918, et dans les armées d'occupation du 25 février au 10 juillet 1919.

    Nom du producteur : Carrère, Jean (1893-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    A noter particulièrement : "Emploi du temps d'une journée passée en premières lignes de minuit à minuit" (25 juin 1917) [vues n° 10-13].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Claire Carrère.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Pézilla-la-Rivière (Pyrénées-Orientales, France) ; Grèce ; Bulgarie ; Pyrénées-Orientales (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; République de Macédoine ; Montpellier (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Agde (Hérault, France) ; Narbonne (Aude, France) ; Nîmes (Gard, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    51 PRI 2 Fonds Marius Joseph Ulysse Vidal (1876-1915), soldat au 121e régiment d'infanterie territoriale (121e RIT), puis au 296e régiment d'infanterie (296e RI), décédé le 11 octobre 1915 à Maroeuil (Pas-de-Calais) : correspondance active de Marius Joseph Ulysse Vidal (14 août 1914 - 9 octobre 1915), correspondance relative à sa disparition, puis son décès. 1914-1915
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 189 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Marius Joseph Ulysse Vidal est né le 20 février 1876 à Nézignan-l'Evêque. Boulanger à Nézignan-l'Evêque, il effectue son service militaire au 122e régiment d'infanterie (122e RI) de 1897 à 1900. En 1908, il est boulanger à Mèze. Epoux de Zoé Vidal, il a deux filles, Reine et Odette. En août 1914, il est mobilisé à la 15e compagnie du 121e régiment d'infanterie territoriale (121e RIT), puis passe à la 16e compagnie, avant d'être transféré en janvier 1915 à la 17e compagnie du 296e régiment d'infanterie (296e RI). En octobre 1915, il est porté disparu à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais), puis signalé mort pour la France le 11 octobre 1915 à Maroeuil (Pas-de-Calais).

    Nom du producteur : Vidal, Marius Joseph Ulysse Vidal (1876-1915)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Correspondance active de Marius Joseph Ulysse Vidal, adressée à sa femme Zoé Vidal et à ses filles Reine et Odette Vidal (14 août 1914 9 octobre 1915) [vues n° 1-159].

    - Correspondance adressée à la famille Vidal après le décès de Marius Joseph Ulysse Vidal [vues n° 160-189] ; comprend notamment la description des circonstances de disparition d'Ulysse Vidal par l'un de ses camarades [vues n° 160-165], ainsi que la dernière lettre adressée à Ulysse Vidal par ses filles, retournée à la famille après le disparition d'Ulysse Vidal le 11 octobre 1915 [vues n° 166-169].

    [Parcours de Marius Joseph Ulysse Vidal pendant la guerre : de l'été 1914 à juin 1915, Marius Joseph Ulysse Vidal cantonne dans le secteur de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon) et Mazamet (Tarn, Midi-Pyrénées) [vues n° 2-65]. Il est ensuite en formation au centre d'instruction des mitrailleurs de Clermont-Ferrand, situé au camp militaire de La Fontaine-du-Berger (Orcines, Puy-de-Dôme, Auvergne) jusqu'en juillet 1915 [vues n° 66-89]. Après avoir regagné le 296e RI, Marius Joseph Ulysse Vidal est en secondes lignes dans le secteur d'Arras [vues n° 90-126] (juillet- août 1915). Il passe ensuite en premières lignes vers Ypres, puis au dépôt régimentaire jusqu'en septembre 1915, et stationne avec son unité dans le Pas-de-Calais [vues n° 127-159].]

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Huguette Blayac.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Mèze (Hérault, France) ; Nézignan-l'Évêque (Hérault, France) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Pas-de-Calais (Hauts-de-France, France ; département) ; Puy-de-Dôme (Auvergne-Rhône-Alpes, France ; département) ; Auvergne-Rhône-Alpes (France ; région administrative) ; Belgique ; Béziers (Hérault, France) ; Mazamet (Tarn, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    64 PRI 1 Fonds Émile Calas, instituteur à Béziers : correspondance passive reçue de son beau-frère Raymond Gastal, soldat au 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT) en 1914-1915, caporal fourrier, sergent fourrier, puis sergent major au 3e régiment d'infanterie (3e RI) en 1915-1917, et enfin sergent major au 58e régiment d'infanterie (58e RI) en 1918 (11 septembre 1914 - 26 septembre 1918) ; correspondance passive reçue du lieutenant, puis capitaine Marcouire, du 104e régiment d'infanterie (104e RI) (1915-1917). 1914-1918
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 141 vues.
    CONTEXTE :
    Nom du producteur : Gastal, Raymond
    Marcouire
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Correspondance de Raymond Gastal adressée à son beau-frère Émile Calas, instituteur à Béziers, à sa belle-sœur Félicie et à son épouse Jeanne, institutrice à Saint-Géniès-le-Bas et domiciliée chez Émile Calas (septembre 1914 septembre 1918) [vues n° 1-131].

    - Correspondance du lieutenant, puis capitaine, Marcouire, de la 7e Compagnie du 104e régiment d'infanterie (104e RI), adressée à la famille Calas (avril 1915- février 1917) [vues n° 132-142].

    En septembre 1914, Raymond Gastal est au 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT) à Revest près de Toulon (Var), puis il est envoyé à Digne (Alpes-de-Haute-Provence) au dépôt du 3e de ligne (3e RI), 28e compagnie [vues n° 1-10]. En octobre 1914, il part pour le Front, avec le 3e régiment d'infanterie (3e RI). Il est adjoint vaguemestre dans la forêt de Hesse (secteur de Verdun), cantonne au "Rendez-vous de Chasse" (Meuse, Lorraine) [vues n° 11-23], puis dans les secteurs de Parois (Clermont-en-Argonne) et de Vauquois (Meuse, Lorraine). Le 26 février 1915, son régiment subit une violente attaque des Allemands et Raymond Gastal reste le seul homme "sain et sauf" de sa tranchée [vues n° 43-45]. Il rejoint les premières lignes dans le secteur d'Avocourt (Meuse, Lorraine), puis stationne dans un secteur plus calme, le bois de Hesse (mars janvier 1916) [vues n° 46-80]. Raymond Gastal est nommé sergent-fourrier à la 2e compagnie de mitrailleurs du 3e régiment d'infanterie (3e RI) en février 1916 [vue n° 83]. Il reste en réserve dans le secteur de Brémoncourt (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) (mars 1917), puis sur le Front belge près de Nieuport (avril-septembre 1916) [vues n° 84-99]. Le régiment est envoyé dans un nouveau cantonnement à Crévecoeur, puis Lihus (Oise, Picardie) (octobre- décembre 1916) [vues n° 99-114], avant de s'installer dans le secteur de Daméraucourt (Oise, Picardie). En 1917, le 3e RI combat notamment sur le Front belge, dans l'Aisne et le Nord. En septembre 1918, Raymond Gastal, qui est passé au 58e régiment d'infanterie (58e RI), cantonne dans l'Yonne [vues n° 115-129].

    A noter : transcription d'un message de soutien aux armées françaises, signé du général Joffre, lors de l'offensive allemande sur Verdun (15 mars 1916) [vues n° 89-90], billet de 1 franc, émis par la Trésorerie aux Armées [vues n° 130-131].

    Le lieutenant, puis capitaine, Marcouire stationne dans le secteur de Bernécourt (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) (avril 1915), et participe ensuite aux offensives de Champagne (septembre 1916). [vues n° 132-142].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Mauricette Sauvaire.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Var (Provence-Alpes-Côte d'Azur, France ; département) ; Provence-Alpes-Côte d'Azur (France ; région administrative) ; Meuse (Grand Est, France ; département) ; Meurthe-et-Moselle (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Belgique ; Alpes-de-Haute-Provence (Provence-Alpes-Côte d'Azur, France ; département) ; Oise (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Yonne (Bourgogne-Franche-Comté, France ; département) ; Bourgogne-Franche-Comté (France ; région administrative) ; Saint-Geniès-de-Fontedit (Hérault, France) ; Clermont-en-Argonne (Meuse, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    80 PRI 1 Fonds du couvent des sœurs du Sacré Cœur de Marie (Béziers) - Orphelinat de Béziers, transformé en hôpital militaire pendant la guerre 1914-1918 : album photographique légendé. 1914-1918
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 6 vues.
    CONTEXTE :
    Nom du producteur : Congrégation des sœurs du Sacré Cœur de Marie.
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - "Béziers. L'orphelinat durant la guerre 1914-1918" et en pied de page "L'orphelinat a accueilli 12 000 blessés pendant la guerre". Photographies : "Septembre 1914 : la chapelle" ; [Carte postale du] Couvent du Sacré-Cœur de Marie, Chapelle de l'orphelinat ou "Chapelle de l'ambulance", "Sept. 14, l'aumônier de l'hôpital militaire", "Le Père Barthélémy", "Le Père Barthélémy, avec les responsables ?" [vue n° 1].

    - "Mai 1915. Dans la salle d'opération de l'hôpital du Sacré-Cœur de Marie". Photographies : "Un blessé", "Une opération simulée", "Une partie de cartes", "Un temps de repos : au milieu du 2e rang, le Père Barthélémy ; à droite au 1er rang, l'abbé Planès ?" [vue n° 2].

    - "Dans les locaux de l'orphelinat : le personnel de l'hôpital avec des blessés", "Sur la 2e photo, l'abbé Marc au 1er rang à droite", "Derrière la 3eme photo, une correspondance : "A Madame Aloysius, Sacré Cœur de Marie, Béziers, Hérault. Chère Madame, que pensez-vous de ce groupe, avec les trois cousines. Nous avons l'air très malheureux, n'est-ce pas ? Avec mes meilleurs souvenirs, recevez, chère Madame, mes meilleures amitiés. Simon" [5 militaires en train de déjeuner dehors] [vue n° 3].

    - "Dans le parc, l'abbé Barthélémy avec quelques infirmières", "Quelques blessés" [2 photographies], "Un moment de détente" [pratique musicale] [vue n° 4].

    - "Durant la guerre de 1914-1918" [5 photographies de militaires et d'infirmières posant en extérieur] [vue n° 5].

    - 3 photographies : "Photo détachée d'un support cartonné portant cette inscription : "A ma Mère Eustelle (du Sacré Cœur) en reconnaissance des bons soins qu'elle m'a donnés. Émile Léret (?). Et tout en me permettant de me recommander pour qu'elle prie le Bon Dieu pour moi. 8 février 1915. Émile Léret.", "L'orphelinat, photo prise pendant la guerre 1914-1918" [toutes les infirmières qui posent] [vue n° 6].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à la Congrégation des sœurs du Sacré Cœur de Marie.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Photographie


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    89 PRI 1 Fonds Albert Alexis Azam (1883-....), caporal télégraphiste au 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des télégraphistes du 3e corps d'armée : carnet de guerre manuscrit, prenant la suite d'un carnet journalier personnel (6 mai - 14 novembre 1914). 1914
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 68 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Albert Alexis Azam, fils de Jean-Pierre Alexis Azam et Anne Adélaïde Guibal, naît le 9 septembre 1883 à Brindisi (Italie).
    Alors qu'il est bijoutier, Albert Azam contracte un engagement volontaire le 28 janvier 1902 à la mairie de Béziers (Hérault) ; il est alors intégré au 5e régiment du génie (5e RG) en tant que sapeur télégraphiste (matricule n° 276, classe 1903 au recrutement de Béziers-Saint-Pons), puis devient caporal télégraphiste le 21 septembre 1902. Réformé temporaire le 7 septembre 1903 pour "otite moyenne chronique", maintenu en réforme le 28 septembre 1905 pour "otite moyenne double", il est finalement reconnu apte au service auxiliaire le 17 octobre 1906 où il intègre alors le 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée. Il quitte l'armée à l'issue de son engagement et passe dans la réserve de l'armée active le 7 novembre 1906.
    Albert Azam est alors classé sans affectation de guerre (NA) à la Compagnie du Midi comme électricien à Fontpedrouze (Pyrénées-Orientales) du 13 novembre 1909 au 12 octobre 1912.
    Devenu voyageur de commerce de la Maison Charles Monternier, à Montpellier, il est rappelé à l'activité par la mobilisation générale le 1er août 1914, est affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée et arrive au corps le 3 août 1914. Il gagne le Front de Champagne autour de Reims.
    La commission de réforme d'Angoulême maintient Albert Azam en service auxiliaire le 8 février 1916, à la suite d'une blessure de guerre (otite consécutive à un éclatement d'obus) ; ce dernier est promu caporal-fourrier le 24 mars 1916, puis renvoyé dans ses foyers le 4 juin 1916. Albert Azam est affecté au 7e Régiment du Génie (7e RG) le 15 novembre 1918, puis démobilisé le 16 mars 1919 ; il est décoré de la médaille de la Victoire et de la médaille commémorative de la Grande Guerre.
    Après la guerre, Albert Azam devient chef de gare à Olette (Pyrénées-Orientales) ; marié, il est père de trois enfants, dont l'un né après la guerre.

    Nom du producteur : Azam, Albert Alexis (1883-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Nicole Ducamp.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Italie ; Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Reims (Marne, France) ; Montpellier (Hérault, France) ; Amagne (Ardennes, France) ; Ardennes (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Belgique ; Fismes (Marne, France) ; Bouchy-Saint-Genest (Marne, France) ; Saint-Bon (Marne, France) ; Louan-Villegruis-Fontaine (Seine-et-Marne, France) ; Montmirail (Marne, France) ; Seine-et-Marne (Île-de-France, France ; département) ; Île-de-France (France ; région administrative) ; Neuvy (Marne, France) ; Igny-Comblizy (Marne, France) ; Janvilliers (Marne, France) ; Passy-Grigny (Marne, France) ; Rosnay (Marne, France) ; Saint-Thierry (Marne, France) ; Châlons-sur-Vesle (Marne, France) ; Brimont (Marne, France) ; Muizon (Marne, France) ; Villers-Franqueux (Marne, France) ; Trigny (Marne, France) ; Merfy (Marne, France) ; Chenay (Marne, France) ; Chambry (Aisne, France) ; Bouteille (Aisne, France) ; Berry-au-Bac (Aisne, France) ; Roucy (Aisne, France) ; Cormicy (Marne, France) ; Aisne (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    89 PRI 2 Fonds Albert Alexis Azam (1883-....), caporal télégraphiste au 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des télégraphistes du 3e corps d'armée : carnet de guerre manuscrit (15 novembre 1914 - 25 avril 1915). 1914-1915
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 62 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Albert Alexis Azam, fils de Jean-Pierre Alexis Azam et Anne Adélaïde Guibal, naît le 9 septembre 1883 à Brindisi (Italie).
    Alors qu'il est bijoutier, Albert Azam contracte un engagement volontaire le 28 janvier 1902 à la mairie de Béziers (Hérault) ; il est alors intégré au 5e régiment du génie (5e RG) en tant que sapeur télégraphiste (matricule n° 276, classe 1903 au recrutement de Béziers-Saint-Pons), puis devient caporal télégraphiste le 21 septembre 1902. Réformé temporaire le 7 septembre 1903 pour "otite moyenne chronique", maintenu en réforme le 28 septembre 1905 pour "otite moyenne double", il est finalement reconnu apte au service auxiliaire le 17 octobre 1906 où il intègre alors le 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée. Il quitte l'armée à l'issue de son engagement et passe dans la réserve de l'armée active le 7 novembre 1906.
    Albert Azam est alors classé sans affectation de guerre (NA) à la Compagnie du Midi comme électricien à Fontpedrouze (Pyrénées-Orientales) du 13 novembre 1909 au 12 octobre 1912.
    Devenu voyageur de commerce de la Maison Charles Monternier, à Montpellier, il est rappelé à l'activité par la mobilisation générale le 1er août 1914, est affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée et arrive au corps le 3 août 1914. Il gagne le Front de Champagne autour de Reims.
    La commission de réforme d'Angoulême maintient Albert Azam en service auxiliaire le 8 février 1916, à la suite d'une blessure de guerre (otite consécutive à un éclatement d'obus) ; ce dernier est promu caporal-fourrier le 24 mars 1916, puis renvoyé dans ses foyers le 4 juin 1916. Albert Azam est affecté au 7e Régiment du Génie (7e RG) le 15 novembre 1918, puis démobilisé le 16 mars 1919 ; il est décoré de la médaille de la Victoire et de la médaille commémorative de la Grande Guerre.
    Après la guerre, Albert Azam devient chef de gare à Olette (Pyrénées-Orientales) ; marié, il est père de trois enfants, dont l'un né après la guerre.

    Nom du producteur : Azam, Albert Alexis (1883-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Nicole Ducamp.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Italie ; Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Reims (Marne, France) ; Montpellier (Hérault, France) ; Trigny (Marne, France) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Merfy (Marne, France) ; Villers-Franqueux (Marne, France) ; Brimont (Marne, France) ; Hermonville (Marne, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    89 PRI 3 Fonds Albert Alexis Azam (1883-....), caporal télégraphiste au 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des télégraphistes du 3e corps d'armée : carnet de guerre manuscrit (27 avril - 31 juillet 1915). 1915
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 18 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Albert Alexis Azam, fils de Jean-Pierre Alexis Azam et Anne Adélaïde Guibal, naît le 9 septembre 1883 à Brindisi (Italie).
    Alors qu'il est bijoutier, Albert Azam contracte un engagement volontaire le 28 janvier 1902 à la mairie de Béziers (Hérault) ; il est alors intégré au 5e régiment du génie (5e RG) en tant que sapeur télégraphiste (matricule n° 276, classe 1903 au recrutement de Béziers-Saint-Pons), puis devient caporal télégraphiste le 21 septembre 1902. Réformé temporaire le 7 septembre 1903 pour "otite moyenne chronique", maintenu en réforme le 28 septembre 1905 pour "otite moyenne double", il est finalement reconnu apte au service auxiliaire le 17 octobre 1906 où il intègre alors le 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée. Il quitte l'armée à l'issue de son engagement et passe dans la réserve de l'armée active le 7 novembre 1906.
    Albert Azam est alors classé sans affectation de guerre (NA) à la Compagnie du Midi comme électricien à Fontpedrouze (Pyrénées-Orientales) du 13 novembre 1909 au 12 octobre 1912.
    Devenu voyageur de commerce de la Maison Charles Monternier, à Montpellier, il est rappelé à l'activité par la mobilisation générale le 1er août 1914, est affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée et arrive au corps le 3 août 1914. Il gagne le Front de Champagne autour de Reims.
    La commission de réforme d'Angoulême maintient Albert Azam en service auxiliaire le 8 février 1916, à la suite d'une blessure de guerre (otite consécutive à un éclatement d'obus) ; ce dernier est promu caporal-fourrier le 24 mars 1916, puis renvoyé dans ses foyers le 4 juin 1916. Albert Azam est affecté au 7e Régiment du Génie (7e RG) le 15 novembre 1918, puis démobilisé le 16 mars 1919 ; il est décoré de la médaille de la Victoire et de la médaille commémorative de la Grande Guerre.
    Après la guerre, Albert Azam devient chef de gare à Olette (Pyrénées-Orientales) ; marié, il est père de trois enfants, dont l'un né après la guerre.

    Nom du producteur : Azam, Albert Alexis (1883-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    [vue n° 2] : Traduction de l'alphabet allemand en gothique manuscrit suivi d'une liste de noms

    [vues n° 2-3] : Liste de mots français traduits en allemand

    [vue n° 4] :
    - Jules Azam, Section Auto TM 444 par Paris
    - Confié pour me l'expédier un paquet à M. Carles Receveur des postes à Merfy. 2 doubles de 75, 3 paires gants, 1 cache-nez, 2 porte-photo. Le 26 Avril 1915

    Mardi 27 Avril 1915. 271ème jour de Campagne
    Voir pour le commencement de la Campagne les carnets n° 1 et 2.

    Enfin nous sommes partis de la région Trigny pour une direction inconnue. 1re étape Branscourt.
    Départ Trigny sac au dos à 10h1/2 du matin par une chaleur étouffante. L'étape nous paraît d'autant plus pénible qu'elle nous est aigrie par l'obligation de porter le sac ce qui ne s'était jamais produit de mémoire de télégraphiste. En arrivant à 2h histoire de nous reposer nous partons en construction de ligne jusqu'à Rosnay.
    L'intelligence de certains chefs se manifeste là. Rentrés le soir au cantonnement complètement vidés, le lendemain (&)

    [vue n° 5] :
    (&) pas de changement notable sinon que tous les jours, jusqu'à Aujourd'hui non compris (Dimanche 2 mai) nous faisons de la construction de ligne de campagne pour nous apprendre (oh ironie) sous la haute direction du Sergent Blanquet.
    Quel métier.
    Lendemain Lundi, j'entre en fonctions au fourgon comme faisant fonction Caporal-fourrier ce que faisait Beauchêne avant sa nomination au grade de Sergent Fourrier.
    Nous verrons ce que fera ce métier.

    Lundi 3 mai 1915. 277ème jour

    Lundi 10 mai- 1915
    Nous voilà partis de Branscourt pour une région inconnue. Bicyclette jusqu'à Fismes où nous attendons de 6h30 à 11h15 soir que le train parte. 12 heures de chemin de fer et nous débarquons à Longau [Longueau] à 4 kilomètres d'Amiens. A 2 heures départ de Longau pour Sombrin où nous arrivons à 7h20 du soir après une ballade de 47 kilomètres en vélo avec un vent debout formidable, une route en montagnes russes agrémentée de côtes plus terribles les unes que les autres et une poussière aveuglante par suite du grand nombre d'automobiles transportant les hommes de l'infanterie. Quelle belle chute que je me suis payé, c'est (&)

    [vue n° 6] :
    (&) miracle que je n'aie pas été écrasé par un autobus. Mon vélo a eu sa roue avant complètement pliée en 8. Nous avons réussi avec Pelerin à la redresser et j'ai pu continuer à rouler avec peine jusqu'à Doullens et Sombrin (Pas-de-Calais).
    Soupé au café avec Chausson et allé dormir au poste de la mairie.
    Ce matin 6h départ pour Avesne-le-Comte à 4h50 de Sombrin. Il fait excessivement chaud. Heureusement que la bière ne manque pas, et bonne et pas chère.
    D'énormes quantités de blessés sont passées par 3 trains et ambulances automobiles.
    Ca tape très dur dans cette région mais nous faisons une avance notable.

    Mardi 11 Mercredi 12 Jeudi 13 Mai 1915
    Avesnes-le-Comte (Pas-de-Calais)
    Rien de notable à signaler.
    Aujourd'hui Mercredi temps mauvais (pluie).
    Ce matin au rassemblement, Blanquet nous a lu un délicieux motif de littérature pondu par Castelet qui a réussi après plusieurs heures d'efforts intellectuels à accoucher d'une de ses conneries habituelles. C'est douloureux de se voir commander par des officiers pareils qui au sujet de repas chauds viennent vous parler des commentaires de Jules César, oh connerie sans limite. J'ai découvert ce matin que l'adjudant Levêque est un copain à Sidobre. Si jamais je le retrouve à Montpellier, il faudra que je lui en cause.

    [vue n° 7] :
    La situation est sans changement et nous sommes toujours à Avesnes-Le-Comte aujourd'hui

    Lundi 17 Mai 1915
    Toujours mauvais temps avec quelques éclaircies de soleil. Les communiqués qui paraissent nous apprennent que nous réalisons d'importants progrès au nord d'Arras, mais ils doivent nous coûter rudement cher car il passe sans cesse des blessés.

    Jusqu'à aujourd'hui Samedi 22 Mai, il ne se passe rien d'intéressant du point de vue général. Nous ne considérons pas nos petites avances comme des succès, et les Russes non plus.
    L'Italie joue toujours avec les tours en passe-passe et n'a pas déclaré la guerre. On attend impatiemment que quelque chose se déclenche. L'Amérique aussi semble bien vouloir entrer en jeu à la suite du torpillage de la Lusitania, le plus beau paquebot anglais qui existait dans quelques jours nous serons fixés.
    Hier soir à l'est d'Arras, il y a eu une terrible canonnade. Elle avait duré toute la journée avec des variations d'intensité mais à 9h du soir le grand branle-bas a commencé. On aurait dit le roulement de fourgons sur le pavé. A plus de dix kilomètres où nous étions le bruit se distinguait parfaitement et nous assourdissait. Le duel d'Artillerie a duré presque toute la nuit et continue ce matin par les grosses pièces. Hier soir, c'était le 75 qui donnait. Encore des malheureux qui n'auront pas vu le soleil de ce beau jour qui s'est levé ce matin.

    [vue n° 8] :
    Jeudi 21 Mai 1915
    Nous sommes à Barly, Pas-de-Calais depuis mardi, à 4 kilomètres de Avesnes-Le-Comte, installés dans le parc du château. Nous faisons la popote en plein air et nous couchons sous la tente installée sous les grands arbres, et n'y sommes pas du tout mal. La bataille d'artillerie cogne dur sur Arras, depuis 3 jours et trois nuits sans interruption le canon gronde. Nous ne connaissons aucun résultat.
    Le séjour sous nos arbres est délicieux. Depuis le commencement de la Campagne, nous n'avons été si bien comme lieu au grand air dans un endroit merveilleux. Que demander de plus. La classe oh oui, car depuis le 2 Août ça commence à être terriblement long et pénible, sans compter que les ruines s'accumulent aussi bien dans les régions envahies que partout ailleurs. L'Italie s'est décidée à entrer en jeu ; depuis le 23 Mai, elle a déclaré la guerre à l'Autriche. Nous avons tous l'espoir que ce fait écourtera un peu la campagne. Au moment où j'écris ces lignes, la bataille, ou plutôt le duel d'Artillerie, fait rage. C'est épouvantable. Malgré ce, on ne voit pas passer trop de blessés. Il est vrai que l'infanterie ne donne pas. Attendons avec impatience d'avoir des précisions. Il semble que la canonnade soit du côté de Carency ou de Notre-Dame-de-Lorette.

    Mardi 1er Juin 1915
    302ème jour de campagne
    Au train dont nous y allons, il ne faut pas désespérer de doubler de bien loin le cap des 365 et plus. Rien de nouveau à signaler. Toujours à Barly (&)

    [vue n° 9] :
    (&) où il débarque toujours des quantités de troupes. Peu ou pas de canonnade dans notre secteur.
    Ce matin on a donné la chasse à un Aviatick. Deux obus non éclatés sont venus nous tomber à à peu près cinquante mètres du cantonnement. L'Aviatik faisait vite, très vite même pour s'en aller.
    Hier soir Grande nouba. Souper au champagne pour recevoir l'ami Housser qui de Sergent est passé Adjudant au 28ème. Ce matin nous avions tous un peu la gueule de bois.

    Mardi 9 Juin. 310ème jour.
    C'est à la formation sanitaire de Doullens que j'écris ces lignes. Je suis malade dans le dos et dans les reins. Le major de Barly m'a évacué pour Bronchite chronique et Sommet du poumon droit suspect. J'attends d'être évacué sur un hôpital depuis déjà longtemps je traînais et décidément ne pouvant plus tenir je me suis fait porter malade. Ca n'a pas traîné. A 10 heures je passais la visite et à midi je partais en auto pour l'hôpital. Je souffre toujours, mais j'ai surtout le cafard pour ma famille.
    J'ai pu avoir hier soir par un fantassin malade une relation très exacte du combat de Souchez Aix Houlette Ablain St Mazaire du 23 mai au (&)

    [vue n° 10] :
    (&) 3 juin. Les combats dans les maisons, dans les caves à coup de grenades, de couteaux, de crosses de fusil et surtout à coups de pieds. C'était un véritable combat de sauvages. Aussitôt qu'un Boche mettait le nez à un soupirail, il recevait un coup de crosse ou un coup de soulier ; nous avons eu de grosses pertes mais les Boches ont beaucoup plus trinqués que nous. On leur lançait des grenades dans les caves où ils étaient réfugiés par 30 et 40. Pas un n'en est sorti.
    Il serait puéril de nier que nous avons vu des mitrailleurs Allemands enchaînés à leurs pièces. Quand on leur tombait dessus, ces malheureux étaient hagards et absolument affolés. On les tuait sans pitié car ce sont les mitrailleurs qui nous ont toujours fait le plus de mal. Nous ne craignons pas leurs canons comme leurs mitrailleuses dont ils sont abondamment pourvus 25 par régiment et nous 6.
    Depuis 3 jours, la canonnade est ininterrompue du côté d'Arras. Avant-hier, Blanquat l'a évité de bien près. Ils ont été heureux de flanquer la canonnade et de se mettre à l'abri d'un mur. Ils se sont laissés repérer et plus de 50 obus de 75 et 105 leur sont tombés aux alentours, sans leur causer aucun dommage, mais ils avaient chaud.
    L'Infirmier de la salle où je suis à Doullens est prêtre Breton. D'ailleurs tous les infirmiers ou presque tous ceux qu'il y a ici sont (&)

    [vue n° 11] :
    (&) prêtres aussi. Orage très violent après midi pendant une bonne heure, on aurait cru le déluge. Après un moment d'arrêt ça se remet à tomber.

    Dimanche 13 Juin 1915
    Depuis vendredi soir changé d'hôpital suis allé au beffroi le 36 étant plein.
    Rien d'important à signaler sinon que malgré qu'en disent les journaux, le moral des troupes est bien mauvais. S'il faut recommencer une campagne d'hiver, nous ne la tiendrons pas car nous sommes tous dégoûtés et découragés. Il y en a assez de cette vie de faire détruire des milliers d'hommes pour arriver à un résultat presque négatif. On ne recule pas c'est vrai, mais on n'avance guère non plus, qu'au prix des plus grands sacrifices en hommes et en munitions c'est terrible cette guerre.
    Neuville St Vaoust est pris mais ce que ça nous a coûté est indicible. Nous avons laissé de 3 à 400 morts et 1500 blessés sont passés ici à Doullens.
    C'est toujours le combat de sauvages, même à coups de couteaux à virole qui a décidé de la prise des quelques dernières maisons de ce patelin en ruines. Ils sont forts et tenaces les Boches. Nous avons commencé depuis quelques jours l'emploi des gaz asphyxiants qui ont fait leur effet. Et nous disons que nous sommes civilisés !! Il est vrai qu'il faut répondre du tac au tac à ces brutes.

    [vue n° 12] :
    Vendredi 18 Juin 1915
    Résumé de quelques journées.
    Départ de Doullens le 14 juin à 7h10 passés par Fienvillers Candas Amiens Creil Le Bourget Mantes Vernon Gasny Gisors où nous arrivons le 15 à 15 heures.
    Le voyage nous a laissé de charmants souvenirs. D'abord au départ de Doullens deux infirmières Anglaises nous servent du café, pain blanc, cigarettes, allumettes, cartes postales ; les infirmières du train nous donnent Pain, fromage blanc, lait, thé. Passé une nuit assez confortable au moyen des brassières du wagon de 2ème classe que j'occupe avec 7 autres. Ces brassières convenablement disposées sous les bras me permettent de passer une bonne nuit. Les dames de la Croix Rouge sont très dévouées pour les blessés. L'une, je l'ai vue mettre un chausson au pied blessé d'un poilu et à l'autre pied lui enlever une chaussette sale et y mettre une propre en laine.
    Aubervilliers - La Courneuve où nous arrivons à 4 heures du matin distribution de bouillon chaud, puis café au lait au cacao. Je prends du cacao avec du pain et des cigarettes ; nous en avons tant que nous ne savons plus où les mettre. Rien ne nous manque.
    Nulle part cependant comme à Gasny la réception n'a été chaleureuse. On nous a fleuri le train, les femmes, hommes et jeunes gens du pays (cette fois-ci rien de la Croix Rouge), se cotisaient pour nous offrir des douceurs chocolat, bouchés, vin, cidre, bière, vin blanc, cigarettes, enfin tout. C'est une réception (&)

    [vue n° 13] :
    (&) inoubliable. Nous aurions été un train de vainqueurs qu'on ne nous aurait pas mieux reçus. Les braves gens.
    Arrivés à Gisors à 15 heures où je suis dirigé sur la Croix Rouge Hôpital auxiliaire n°28 route de Dieppe.
    Hôpital entièrement civil monté par notabilités du pays. Le Docteur nous passe une méticuleuse visite dès notre arrivée et me trouve une bronchite avec localisation légère au sommet droit. Je sais ce que ça veut dire.
    Comme chambres, nourriture etc on ne peut être mieux que là.
    Sortie deux fois par semaine, le jeudi et le dimanche.
    Les dames de ma salle n° 28 sont Mme Lecomte et Patrouillard, deux excellentes personnes dont j'emporte un excellent souvenir à mon départ pour Rouen le 28 juin après 14 jours à Gisors.
    J'arrive à l'hôpital complémentaire n°47 de Mont-Saint-Aignan à Rouen pour me faire soigner mon oreille.
    Je me rase consciencieusement car j'ai hâte d'aller faire un tour vers chez moi. Depuis 11 mois c'est long et d'autant mieux que nous sommes moins bien ici qu'à Gisors.

    Mercredi 20 Juillet 1915
    Depuis le 28 juin me voici à Mont-Saint-Aignan. Il m'a fallu inquiéter pour pouvoir être porté sortant.
    Si l'on n'est pas malade (&)

    [vue n° 14] :
    (&) on n'a qu'à venir ici pour y être bien soigné. Enfin. Peu importe puisque mon oreille n'a besoin d'aucun soin étant incurable. J'ai trouvé le moyen de me mettre très bien avec le vieux capitaine gestionnaire. J'ai fait toutes sortes de petits travaux, sonnerie, peinture, et j'ai remplacé le coiffeur en permission de huit jours, ce qui m'a rapporté quelques sous.
    Mon séjour à Mont-Saint-Aignan m'aura toujours procuré l'occasion de connaître Rouen qui est une très jolie ville, mais il y pleut trop souvent. On y a tous les jours de l'eau. On se lève le matin avec le soleil et à 10 heures il pleut.
    Enfin, je m'en vais. J'ai obtenu de pouvoir filer d'ici et c'est après demain matin vendredi 30 juillet que je vais pouvoir aller voir tous les miens que je n'ai pas vus depuis un an.
    La guerre n'est pas près d'être finie.
    Les nouvelles que nous connaissons par les journaux ne sont pas mauvaises mais n'annoncent pas une marche bien rapide. Depuis le mois de septembre nous sommes tous sur les mêmes positions ou à peu près.

    Samedi 31 Juillet 1915
    Parti enfin hier de Mont-Saint-Aignan pour Lisieux au dépôt de convalescents. Hier.
    Aujourd'hui départ de Lisieux pour Montpellier directement. Permission jusqu'au 12 inclus. Traversé Paris en vitesse pour attraper le rapide (&)

    [vue n° 15] :
    (&) qui me laissera chez moi ce soir à 5h24. (Dimanche)

    [vue n° 16] : Trajet de Lisieux à Paris avec nom des villes indiquées, et heures de passage.

    [vue n° 17] : dessin au crayon d'une tête

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Nicole Ducamp.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Italie ; Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Montpellier (Hérault, France) ; Avesnes-le-Comte (Pas-de-Calais, France) ; Pas-de-Calais (Hauts-de-France, France ; département) ; Barly (Pas-de-Calais, France) ; Doullens (Somme, France) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Normandie (France ; région administrative) ; Eure (Normandie, France ; département)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    100 PRI 2 Fonds Paul Marius Durand (1882-....), soldat au 4e régiment d'infanterie coloniale (4e RIC), puis au 34e régiment d'infanterie coloniale (34e RIC) : correspondance active de Paul Durand adressée à son épouse Ernestine et à sa famille (18 août 1914 - 2 janvier 1919). 1914-1919
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 54 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Paul Marius Durand, fils de Jean-Baptiste Durand et de Julie Marguerite Guizard, beau-frère d'Augustin Durand, naît le 20 novembre 1882 à Combaillaux (Hérault, Languedoc-Roussillon). Conscrit de la classe 1902, Paul Durand est inscrit sous le matricule n° 349 au recrutement de Montpellier. Il est incorporé dans le 97e régiment d'infanterie (97e RI), où il effectue son service militaire du 16 novembre 1903 au 18 septembre 1906. Paul Durand est marié à Ernestine Durand, et père de Jean Durand, qui naît en 1912. A la Mobilisation, il est rappelé à l'activité le 4 août 1914 pour servir dans le 4e régiment d'infanterie coloniale (4e RIC) à Toulon (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur). Du 21 novembre 1914 au 5 juillet 1915, Paul Durand sert dans la 5e compagnie du 34e régiment d'infanterie coloniale (34e RIC) ; il est alors blessé dans la région de Toul (Meurthe-et-Moselle, Lorraine) à la jambe droite, évacué à l'hôpital Saint-Charles de Toul, puis à l'hôpital du Lycée de Gap (Hautes-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur). Paul Durand reste à l'hôpital de Gap jusqu'en août 1915. Du 1er décembre 1916 au 20 août 1918, il sert dans l'Armée d'Orient et participe, en avril et mai 1917, à la bataille de la Boucle de la Cerna (Macédoine) comme soldat au 4e régiment d'infanterie coloniale (4e RIC). Le 8 mars 1919, il est démobilisé et définitivement libéré de ses obligations militaires en 1928. Pendant la guerre, Paul Durand est cité à l'ordre du régiment ; il est décoré de la médaille de la victoire, de la médaille commémorative de la Grande Guerre, de la croix de guerre avec étoile de bronze. Le 12 mars 1932, Paul Durand est décoré de la médaille commémorative serbe.

    Nom du producteur : Durand, Paul Marius (1882-....)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Cantonnements de Paul Durand mentionnés dans la correspondance :
    - 1914 [vues n° 1-10] : Toulon (Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur) ;
    - 1915 [vues n° 11-38] : Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon), Lamalou-les-Bains (Hérault, Languedoc-Roussillon), Toul (Meurthe-et-Moselle, Lorraine), Gap (Hautes-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur) ;
    - 1916 [vues n° 39-44] : Boucle de la Cerna (Macédoine) ;
    - 1917 [vues n° 45-50] : Boucle de la Cerna (Macédoine), Montpellier (Hérault, Languedoc-Roussillon) ;
    - 1918 [vues n° 51-52] : Lamalou-les-Bains (Hérault, Languedoc-Roussillon) ;
    - 1919 [vues n° 53-54] : Alzonne (Aude, Languedoc-Roussillon).

    Comprend également quelques lettres d'Ernestine Durand, adressées à sa belle-sœur Albertine Durand, épouse d'Augustin Durand [vues n° 19-20, 23-24, 27-30].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Bernard Cournut.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Les Matelles (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Grèce ; Var (Provence-Alpes-Côte d'Azur, France ; département) ; Provence-Alpes-Côte d'Azur (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Lamalou-les-Bains (Hérault, France) ; Toul (Meurthe-et-Moselle, France) ; Meurthe-et-Moselle (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Hautes-Alpes (Provence-Alpes-Côte d'Azur, France ; département) ; Montpellier (Hérault, France) ; Alzonne (Aude, France) ; Aude (Occitanie, France ; département)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


  • 11 vues consultable(s) uniquement en accès réservé
    103 PRI 1 Fonds Albert Charles Eugène Barthès (1895-1918), soldat au 16e régiment d'infanterie (16e RI), caporal, puis sergent au 413e régiment d'infanterie (413e RI) : archives personnelles des parents de Charles Barthès. 1894-1920
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 11 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Albert Charles Eugène Barthès, fils d'Eugène Marie Barthès et d'Eugénie Nathalie Bernard, naît le 19 août 1895 à Mazamet (Tarn, Midi-Pyrénées). Conscrit de la classe 1915, il est inscrit sous le matricule n° 1370 au recrutement de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon). Charles Barthès (soutien de famille) est mobilisé à Béziers le 19 décembre 1914 comme soldat de 2e classe au 16e régiment d'infanterie (16e RI). Il est versé au 413e régiment d'infanterie (413e RI) le 21 mars 1915, et nommé caporal le 11 février 1917. Charles Barthès est promu sergent le 5 juin 1917. Il est tué à l'ennemi (mort pour la France) le 26 avril 1918 à Locre (Belgique) où il est enterré (tombe n° 8). Charles Barthès est décoré à la médaille militaire à titre posthume le 15 décembre 1920.

    Nom du producteur : Barthès, Albert Charles Eugène (1895-1918)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Livret de famille d'Eugène Marie Barthès et d'Eugénie Nathalie Bernard (1894-1959). [vues n° 1-5]
    - Correspondance passive des parents (20 février 1916 8 avril 1916), comprenant des lettres de Charles Barthès et de proches. [vues n° 6-9]
    - Lettre de V. Delestrade, camarade de Charles Barthès, adressée à ses parents après son décès (29 septembre 1920). [vues n° 10-11]

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Patrick Cavailles.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Béziers (Hérault, France) ; Belgique ; Mazamet (Tarn, France) ; Tarn (Occitanie, France ; département)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    103 PRI 2 Fonds Albert Charles Eugène Barthès (1895-1918), soldat au 16e régiment d'infanterie (16e RI), caporal, puis sergent au 413e régiment d'infanterie (413e RI) : carnet de guerre manuscrit (1er juillet - 23 octobre 1915), photographies (1916-1920), diplôme (1920). 1916-1920
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 46 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Albert Charles Eugène Barthès, fils d'Eugène Marie Barthès et d'Eugénie Nathalie Bernard, naît le 19 août 1895 à Mazamet (Tarn, Midi-Pyrénées). Conscrit de la classe 1915, il est inscrit sous le matricule n° 1370 au recrutement de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon). Charles Barthès (soutien de famille) est mobilisé à Béziers le 19 décembre 1914 comme soldat de 2e classe au 16e régiment d'infanterie (16e RI). Il est versé au 413e régiment d'infanterie (413e RI) le 21 mars 1915, et nommé caporal le 11 février 1917. Charles Barthès est promu sergent le 5 juin 1917. Il est tué à l'ennemi (mort pour la France) le 26 avril 1918 à Locre (Belgique) où il est enterré (tombe n° 8). Charles Barthès est décoré à la médaille militaire à titre posthume le 15 décembre 1920.

    Nom du producteur : Barthès, Albert Charles Eugène (1895-1918)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Carnet de guerre (1er juillet - 23 octobre 1915). [vues n° 1-23]
    Pendant le mois de juillet 1915, Charles Barthès cantonne à Harbonnières (Somme, Picardie), puis gagne les tranchées de Foucaucourt-en-Santerre (Somme) où il assiste à des combats aériens le 29 juillet. En août 1915, il stationne dans les environs de Cappy (Somme) jusqu'au milieu du mois de septembre où il part cantonner autour d'Abbeville (Somme), Conteville (Somme) et Barly (Somme). Le 24 septembre 1915, il subit les assauts ennemis dans les tranchées d'Arras (Pas-de-Calais, Nord- Pas-de-Calais) et de Fosseux (Pas-de-Calais). Le 30 septembre, il est en 4e ligne sur les plateaux de Lorette (Pas-de-Calais,) près de Liévin (Pas-de-Calais) ; puis en première ligne du 1er au 9 octobre 1915. Il cantonne ensuite dans les environs d'Houdain (Pas-de-Calais) et de Bours (Pas-de-Calais), puis dans les tranchées d'Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais) du 14 au 23 octobre 1915.


    - Cartes photographiques : portrait de Charles Barthès (sergent) avec sa sœur Eugénie [vues n° 24-25], photographies de groupes de soldats avec Charles Barthès [vues n° 26-39]

    - Carte photographique avec Charles Barthès et cinq soldats, légendée "Méridionaux en Argonne" (1916). [vues n° 40-41]

    - Carte reçue de son père (27 août 1916). [vues n° 42-43]

    - Carte photographie de la tombe n° 8 de Charles Barthès au cimetière n° 10 de Locre (Belgique). [vues n° 44-45]

    - Diplôme de la médaille militaire, décernée à titre posthume (15 décembre 1920). [vue n° 46]

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Patrick Cavailles.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Béziers (Hérault, France) ; Belgique ; Mazamet (Tarn, France) ; Tarn (Occitanie, France ; département) ; Harbonnières (Somme, France) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Foucaucourt-en-Santerre (Somme, France) ; Cappy (Somme, France) ; Abbeville (Somme, France) ; Conteville (Somme, France) ; Pas-de-Calais (Hauts-de-France, France ; département) ; Barly (Somme, France) ; Arras (Pas-de-Calais, France) ; Fosseux (Pas-de-Calais, France) ; Bours (Pas-de-Calais, France) ; Liévin (Pas-de-Calais, France) ; Houdain (Pas-de-Calais, France) ; Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    122 PRI 1 Fonds Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971), soldat au 16e régiment d'infanterie (16e RI), caporal fourrier au 201e régiment d'infanterie (201e RI), puis au 63e régiment d'infanterie (63e RI) : papiers d'identité militaires, billets d'hôpitaux, certificats médicaux, fiches d'instruction militaire. 1914-1934
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 89 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Eugène Achille Paul Bastide, instituteur, naît à Caux (Hérault, Languedoc-Roussillon) le 5 juillet 1895, fils de François Bastide, instituteur, et de Joséphine Clotilde Carcenac. Conscrit de la classe 1915, il est inscrit sous le matricule n° 325 au recrutement de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon). Résidant à Pézenas, Eugène Bastide est incorporé le 19 décembre 1914, comme soldat de 2e classe dans le bataillon de marche de la 25e compagnie du 16e régiment d'infanterie (16e RI) ; il suit le peloton des élèves caporaux du 1er janvier au 1er mars 1915. Eugène Bastide est versé au 4e bataillon du 201e régiment d'infanterie (201e RI) le 1er juillet 1915. Il est blessé le 14 septembre 1915 à Sapigneul (Marne, Champagne-Ardenne) par un éclat d'obus à la tête, puis évacué et hospitalisé à Meaux. Eugène Bastide est nommé caporal le 21 septembre 1915, puis caporal fourrier le 12 novembre 1915, alors qu'il réintègre le 201e RI. Le 6 février 1917, il est évacué à l'hôpital de Saint-Hilaire (Marne, Champagne-Ardenne) pour cas de gale, envoyé en permission à titre de convalescence, puis de retour au Front le 5 mars 1917. Eugène Bastide est alors affecté à la 16e compagnie du 201e RI, puis à la 13e compagnie, le 1er mai 1917. Le 10 juillet 1917, il a droit au port du ruban des blessés de guerre avec étoile émaillée rouge. Le 27 juillet 1917, il entre à l'hôpital mixte d'Abbeville (Somme, Picardie), venant de Boesinghe (Belgique). Il y reste jusqu'au 10 août 1917, date à laquelle il est transféré à l'hôpital n° 29 de Fougères (Ille-et-Vilaine, Bretagne), puis à l'hôpital de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine, Bretagne) où il séjourne du 18 août au 13 décembre 1917, avant d'être aiguillé vers l'hôpital de Vihé (Ille-et-Vilaine, Bretagne) jusqu'au 16 décembre 1917. Le 15 janvier 1918, Eugène Bastide est désigné comme fourrier d'une compagnie d'entraînement de la classe 1919, puis détaché au Centre Régional d'Instruction Physique (CRIP) le 14 février 1918 à Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne). Le 28 août 1918, il est versé au 63e régiment d'infanterie (63e RI). Eugène Bastide est alors instructeur à la 25e compagnie. Le 23 février 1919, il effectue un stage d'éducation physique à l'École normale de gymnastique de Joinville (Marne, Champagne-Ardenne). Eugène Bastide est démobilisé le 14 septembre 1919 et rentre à Castries (Hérault, Languedoc-Roussillon). Eugène Bastide est décoré de la médaille interalliée de la Victoire. Il épouse Jeanne Antoinette Prévôt le 2 août 1921 à Pézenas et décède à Montpellier le 15 janvier 1971.

    Nom du producteur : Bastide, Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Livret militaire d'Eugène Bastide, de la classe 1915 (1914-1934). [vues n° 1-21]
    - Liste des effets du caporal fourrier Eugène Bastide le 11 juillet 1919. [vues n° 22-23]
    - Fiche individuelle de recensement (mars 1919). [vue n° 24]
    - Etat signalétique et des services (24 novembre 1919). [vues n° 25-26 et n° 41]
    - Ordonnance médicale pour le caporal-fourrier Eugène Bastide (14 octobre 1917). [vue n° 27]
    - Certificats médicaux consécutifs à sa blessure par un éclat d'obus (5-6 novembre 1915). [vues n° 28-30]
    - Billet d'hôpital à coupons datés (octobre 1915, février et juillet 1917). [vues n° 31-35]
    - Fiche de sortie de l'hôpital général d'Abbeville (août 1917). [vue n° 36]
    - Certificats de visite à l'hôpital de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine, Bretagne) (18 août et 8 décembre 1917). [vues n° 37-39]
    - Sauf-conduit temporaire (8 décembre 1917). [vue n° 40]
    - Certificat d'autorisation du port du ruban avec étoile émaillée rouge des blessés de guerre (10 juillet 1918). [vue n° 43]
    - Laissez-passer pour Eugène Bastide en date du 21 juillet 1915 l'autorisant à aller chercher du matériel au cantonnement des sapeurs du 201e régiment d'infanterie (201e RI). [vue n° 44]
    - Bulletin indiquant les différentes affectations du caporal fourrier Eugène Bastide de 1914 à 1918 (11 juillet 1919). [vue n° 45]
    - Fiches d'examens de gymnastique (avril-juin 1918). [vues n° 46-63]
    - Carnet d'inspection des jeunes recrues. [vues n° 64-89]

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Yvon Bastide.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Caux (Hérault, France) ; Ille-et-Vilaine (Bretagne, France ; département) ; Bretagne (France ; région administrative) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Pézenas (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Meaux (Seine-et-Marne, France) ; Abbeville (Somme, France) ; Joinville (Haute-Marne, France) ; Castries (Hérault, France) ; Montpellier (Hérault, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    122 PRI 2 Fonds Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971), soldat au 16e régiment d'infanterie (16e RI), caporal fourrier au 201e régiment d'infanterie (201e RI), puis au 63e régiment d'infanterie (63e RI) : carnets de guerre, agendas, carnets de chansons et croquis. 1915-1917
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 264 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Eugène Achille Paul Bastide, instituteur, naît à Caux (Hérault, Languedoc-Roussillon) le 5 juillet 1895, fils de François Bastide, instituteur, et de Joséphine Clotilde Carcenac. Conscrit de la classe 1915, il est inscrit sous le matricule n° 325 au recrutement de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon). Résidant à Pézenas, Eugène Bastide est incorporé le 19 décembre 1914, comme soldat de 2e classe dans le bataillon de marche de la 25e compagnie du 16e régiment d'infanterie (16e RI) ; il suit le peloton des élèves caporaux du 1er janvier au 1er mars 1915. Eugène Bastide est versé au 4e bataillon du 201e régiment d'infanterie (201e RI) le 1er juillet 1915. Il est blessé le 14 septembre 1915 à Sapigneul (Marne, Champagne-Ardenne) par un éclat d'obus à la tête, puis évacué et hospitalisé à Meaux. Eugène Bastide est nommé caporal le 21 septembre 1915, puis caporal fourrier le 12 novembre 1915, alors qu'il réintègre le 201e RI. Le 6 février 1917, il est évacué à l'hôpital de Saint-Hilaire (Marne, Champagne-Ardenne) pour cas de gale, envoyé en permission à titre de convalescence, puis de retour au Front le 5 mars 1917. Eugène Bastide est alors affecté à la 16e compagnie du 201e RI, puis à la 13e compagnie, le 1er mai 1917. Le 10 juillet 1917, il a droit au port du ruban des blessés de guerre avec étoile émaillée rouge. Le 27 juillet 1917, il entre à l'hôpital mixte d'Abbeville (Somme, Picardie), venant de Boesinghe (Belgique). Il y reste jusqu'au 10 août 1917, date à laquelle il est transféré à l'hôpital n° 29 de Fougères (Ille-et-Vilaine, Bretagne), puis à l'hôpital de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine, Bretagne) où il séjourne du 18 août au 13 décembre 1917, avant d'être aiguillé vers l'hôpital de Vihé (Ille-et-Vilaine, Bretagne) jusqu'au 16 décembre 1917. Le 15 janvier 1918, Eugène Bastide est désigné comme fourrier d'une compagnie d'entraînement de la classe 1919, puis détaché au Centre Régional d'Instruction Physique (CRIP) le 14 février 1918 à Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne). Le 28 août 1918, il est versé au 63e régiment d'infanterie (63e RI). Eugène Bastide est alors instructeur à la 25e compagnie. Le 23 février 1919, il effectue un stage d'éducation physique à l'Ecole normale de gymnastique de Joinville (Marne, Champagne-Ardenne). Eugène Bastide est démobilisé le 14 septembre 1919 et rentre à Castries (Hérault, Languedoc-Roussillon). Eugène Bastide est décoré de la médaille interalliée de la Victoire. Il épouse Jeanne Antoinette Prévôt le 2 août 1921 à Pézenas et décède à Montpellier le 15 janvier 1971.

    Nom du producteur : Bastide, Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Carnet manuscrit de souvenirs de campagne (6 mai 1915 -19 septembre 1915). [vues n° 1-30]
    A noter : dernières volontés d'Eugène Bastide écrites le 11 mai 1915 à Récourt (Meuse, Lorraine) [vue n° 4] ; hygiènes et notes sur les soins à donner aux blessés [vues n° 6-7] ; notes sur les gaz asphyxiants [vue n° 8] ; croquis des lignes entre Verdun et Saint-Mihiel [vue n° 14] ; descriptifs et modes d'emploi des bombes à pétrole [vue n° 29], des petites grenades, de la bombe Cellerier et de la Cheddite [vue n° 30].

    - Croquis du Front entre Craonne et Reims. [vue n° 31]

    - Agenda 1914, réutilisé comme agenda manuscrit pour l'année 1916 (1er février -30 octobre) [vues n° 32-115]
    A noter : mention de plusieurs soldats de l'armée d'Orient [vue n° 40] ; croquis des lignes autour de Verdun (28 février 1916) [vue n° 46]

    - Agenda 1917, servant de carnet de notes journalier (18 janvier - 27 décembre). [vues n° 116-219]

    - Carnet de chansons. [vues n° 220-246]

    - Carnet de croquis [vues n° 247-262]
    A noter : vue du château de Fougères [vue n° 248], portraits, vues de Monthorin [vues n° 251, 253], inscription d'un oratoire sur la route de Louvigné-du-Désert à Saint-Hilaire de Harcourt [vue n° 252], vue de Jumilhac-le-Grand [vue n° 259].

    - Carte postale "1380. Roman-ar-Guyader. Le Vieux Tisserand de Mecrenan", comprenant au verso un croquis des localités situées autour de Fougères. [vues n° 263-264]

    Le 11 mai 1915, Eugène Bastide cantonne à Récourt-le-Creux (Meuse, Lorraine). Le 13 mai, il part pour Rupt-en-Woëvre (Meuse, Lorraine), en passant par Villers-sur-Meuse (Meuse, Lorraine), Génicourt-sur-Meuse (Meuse, Lorraine) et Troyon (Meuse, Lorraine). Le 14 mai 1915, Eugène Bastide est en poste sur les lignes aux alentours de Rupt, et sa compagnie subit un bombardement par obus allemands de 77. Le 15 mai, il passe devant le cimetière de Mouilly (Meuse, Lorraine) "couvert de plus de 200 petites croix blanches" [vue n° 12]. Eugène Bastide est employé au bureau de l'unité du 22 mai au 31 mai 1915. Le 9 juin, après avoir traversé le bois des Paroches (Meuse, Lorraine), il stationne dans le secteur de Villotte-sur-Aire (Meuse). Le 17 juin 1915, après vaoir gagné le Front de Champagne, Eugène Bastide cantonne dans le village bombardé de Cormicy (Marne, Champagne-Ardenne), où il visite l'école où pendent "encore quelques tableaux, quelques cartes, un boulier compteur" [vue n° 18]. Le lendemain, il part pour les premières lignes au bord du canal de la Marne à l'Aisne, où il subit les bombardements allemands. Le 30 juin 1915, Eugène Bastide reçoit l'écusson du 201e régiment d'infanterie (201e RI) et part pour les tranchées de Sapigneul (Marne, Champagne-Ardenne) le soir même [vue n° 21]. Le 15 juillet, il arrive à Vrigny (Marne, Champagne-Ardenne). Le 9 août, il repart pour Cormicy. Du 28 août au 1er septembre, la compagnie d'Eugène Bastide creuse des tranchées à la Maison bleue, près du moulin de Cormicy. Le 7 septembre, Eugène Bastide est en 2e ligne dans les environs de Sapigneul, où il subit un bombardement allemand [vues n° 25-27]. Il est alors blessé par un éclat d'obus ou de grenade derrière l'oreille, reçoit un pansement sommaire, puis est évacué par l'ambulance 16/18. Le 19 septembre 1915, il est dirigé sur Meaux (Seine-et-Marne, Ile-de-France) où il est transporté à l'hôpital auxiliaire n° 21 [fin du carnet journalier de l'année 1915].
    Le récit d'Eugène Bastide reprend le mardi 15 février 1916, sur un agenda de 1914 [vue n° 42]. Le 18 février, Eugène Bastide relève les premières lignes, puis se rend à Bouvancourt (Marne, Champagne-Ardenne). Le 22 février, il cantonne à Nanteuil-la-Forêt, et, le lendemain, reçoit l'ordre de se rendre à Epernay (Marne, Champagne-Ardenne), puis à Haussignémont (Marne, Champagne-Ardenne), près de Blesme (Marne, Champagne-Ardenne). Ayant quitté le Front de Champagne, Eugène Bastide arrive à Verdun (Meuse, Lorraine) le 26 février 1916, et loge dans les bâtiments de la Manutention militaire, puis au parc d'aviation (2 mars 1916) ; il essuie des bombardements allemands. Le 10 mars, sa compagnie cantonne avec la 15e compagnie et loge dans des abris cavernes. En mars 1916, Eugène Bastide occupe le village de Bras-sur-Meuse (Meuse, Lorraine) et le dimanche 26, il monte en 1e ligne. Le 8 avril, Eugène Bastide, quitte le Front, arrive à Valcourt (Haute-Marne, Champagne-Ardenne), part pour Saint-Dizier (Haute-Marne, Champagne-Ardenne) le 12 avril, puis cantonne à Boursault (Marne, Champagne-Ardenne), près d'Epernay. Le 18 mai, il est relevé de Paissy (Aisne, Picardie) pour aller à Pargnan (Aisne, Picardie), puis change régulièrement de cantonnements dans le même secteur. Du 20 au 22 juillet, il quitte Paissy pour Fismes [vue n° 84], Violaines, puis Cumières (Marne, Champagne-Ardenne). Le 25 juillet, Eugène Bastide embarque à Epernay (Marne, Champagne-Ardenne), se rend à Crèvecœur-le-Grand (Oise, Picardie), puis arrive à Rotangy (Oise, Picardie). Du 1er au 9 août, il manœuvre avec son régiment (passé plusieurs fois en revue). Le 19 août, il monte en première ligne à Maurepas (Somme) ; les 28-29 août, il passe en 3e ligne, puis en 2e ligne. Le 13 septembre 1916, Eugène Bastide est dans les tranchées du Mamelon. Le 17 septembre, il cantonne à Hardecourt (Somme). En octobre 1916, Eugène Bastide est à Loeuilly (Somme), Crèvecoeur-le-Grand, Dampierre-au-Temple (Marne). Du 18 au 30 octobre, Eugène Bastide est en permission[fin du carnet journalier de l'année 1916].
    Au début de l'année 1917, Eugène Bastide part en permission pour 7 jours ; il y retrouve son père, également permissionnaire. Il rejoint sa compagnie, le 2 février 1917 à Bussy-le-château (Marne, Champagne-Ardenne). Eugène Bastide relate les conditions climatiques extrêmes (froid) dans le cantonnement [vue n° 128]. Le 4 mars 1917, il stationne à Condé-en-Brie (Aisne, Picardie). Le 18 mars, il apprend le début de la retraite des Allemands et l'entrée des Anglais à Bapaume (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais). Dès lors, Eugène Bastide précise sur l'agenda les lettres qu'il reçoit sur le Front. Le 26 mars, il est puni de six jours d'arrêts pour n'être pas allé au-devant de la colonne à son arrivée ; il cantonne à Verneuil-sur-Seine (Oise, Picardie). Le 15 avril, il est à Bouvancourt (Marne, Champagne-Ardenne) ; son bataillon subit les bombardements allemands. Le 3 mai 1917, Eugène Bastide passe à la 13e compagnie. Le 7 juillet, Eugène Bastide est en première ligne à Boesinghe (Belgique) ; il est évacué de Pitgam (Nord) le 24 juillet, puis arrive à l'hôpital général d'Abbeville le 27 juillet. Le 18 août, Eugène Bastide entre à l'hôpital complémentaire n° 11 de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine, Bretagne). Il obtient ensuite plusieurs permissions de convalescence.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Yvon Bastide.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Caux (Hérault, France) ; Ille-et-Vilaine (Bretagne, France ; département) ; Bretagne (France ; région administrative) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Pézenas (Hérault, France) ; Meuse (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Haute-Marne (Grand Est, France ; département) ; Seine-Maritime (Normandie, France ; département) ; Normandie (France ; région administrative) ; Seine-et-Marne (Île-de-France, France ; département) ; Île-de-France (France ; région administrative) ; Nord (Hauts-de-France, France ; département) ; Pas-de-Calais (Hauts-de-France, France ; département) ; Aisne (Hauts-de-France, France ; département) ; Oise (Hauts-de-France, France ; département) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Belgique ; Béziers (Hérault, France) ; Meaux (Seine-et-Marne, France) ; Abbeville (Somme, France) ; Joinville (Haute-Marne, France) ; Castries (Hérault, France) ; Montpellier (Hérault, France) ; Récourt-le-Creux (Meuse, France) ; Verdun (Meuse, France) ; Saint-Mihiel (Meuse, France) ; Craonne (Aisne, France) ; Reims (Marne, France) ; Rupt-en-Woëvre (Meuse, France) ; Villers-sur-Meuse (Meuse, France) ; Génicourt-sur-Meuse (Meuse, France) ; Troyon (Meuse, France) ; Mouilly (Meuse, France) ; Paroches (Meuse, France) ; Villotte-sur-Aire (Meuse, France) ; Cormicy (Marne, France) ; Vrigny (Marne, France) ; Bouvancourt (Marne, France) ; Nanteuil-la-Forêt (Marne, France) ; Épernay (Marne, France) ; Haussignémont (Marne, France) ; Blesme (Marne, France) ; Bras-sur-Meuse (Meuse, France) ; Valcourt (Haute-Marne, France) ; Saint-Dizier (Haute-Marne, France) ; Boursault (Marne, France) ; Paissy (Aisne, France) ; Pargnan (Aisne, France) ; Fismes (Marne, France) ; Violaines (Pas-de-Calais, France) ; Cumières (Marne, France) ; Rotangy (Oise, France) ; Maurepas (Somme, France) ; Hardecourt-aux-Bois (Somme, France) ; Dampierre-au-Temple (Marne, France) ; Bussy-le-Château (Marne, France) ; Condé-en-Brie (Aisne, France) ; Bapaume (Pas-de-Calais, France) ; Pitgam (Nord, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    122 PRI 3 Fonds Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971), soldat au 16e régiment d'infanterie (16e RI), caporal fourrier au 201e régiment d'infanterie (201e RI), puis au 63e régiment d'infanterie (63e RI) : photographies, correspondance passive. 1915-1960
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 13 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Eugène Achille Paul Bastide, instituteur, naît à Caux (Hérault, Languedoc-Roussillon) le 5 juillet 1895, fils de François Bastide, instituteur, et de Joséphine Clotilde Carcenac. Conscrit de la classe 1915, il est inscrit sous le matricule n° 325 au recrutement de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon). Résidant à Pézenas, Eugène Bastide est incorporé le 19 décembre 1914, comme soldat de 2e classe dans le bataillon de marche de la 25e compagnie du 16e régiment d'infanterie (16e RI) ; il suit le peloton des élèves caporaux du 1er janvier au 1er mars 1915. Eugène Bastide est versé au 4e bataillon du 201e régiment d'infanterie (201e RI) le 1er juillet 1915. Il est blessé le 14 septembre 1915 à Sapigneul (Marne, Champagne-Ardenne) par un éclat d'obus à la tête, puis évacué et hospitalisé à Meaux. Eugène Bastide est nommé caporal le 21 septembre 1915, puis caporal fourrier le 12 novembre 1915, alors qu'il réintègre le 201e RI. Le 6 février 1917, il est évacué à l'hôpital de Saint-Hilaire (Marne, Champagne-Ardenne) pour cas de gale, envoyé en permission à titre de convalescence, puis de retour au Front le 5 mars 1917. Eugène Bastide est alors affecté à la 16e compagnie du 201e RI, puis à la 13e compagnie, le 1er mai 1917. Le 10 juillet 1917, il a droit au port du ruban des blessés de guerre avec étoile émaillée rouge. Le 27 juillet 1917, il entre à l'hôpital mixte d'Abbeville (Somme, Picardie), venant de Boesinghe (Belgique). Il y reste jusqu'au 10 août 1917, date à laquelle il est transféré à l'hôpital n° 29 de Fougères (Ille-et-Vilaine, Bretagne), puis à l'hôpital de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine, Bretagne) où il séjourne du 18 août au 13 décembre 1917, avant d'être aiguillé vers l'hôpital de Vihé (Ille-et-Vilaine, Bretagne) jusqu'au 16 décembre 1917. Le 15 janvier 1918, Eugène Bastide est désigné comme fourrier d'une compagnie d'entraînement de la classe 1919, puis détaché au Centre Régional d'Instruction Physique (CRIP) le 14 février 1918 à Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne). Le 28 août 1918, il est versé au 63e régiment d'infanterie (63e RI). Eugène Bastide est alors instructeur à la 25e compagnie. Le 23 février 1919, il effectue un stage d'éducation physique à l'Ecole normale de gymnastique de Joinville (Marne, Champagne-Ardenne). Eugène Bastide est démobilisé le 14 septembre 1919 et rentre à Castries (Hérault, Languedoc-Roussillon). Eugène Bastide est décoré de la médaille interalliée de la Victoire. Il épouse Jeanne Antoinette Prévôt le 2 août 1921 à Pézenas et décède à Montpellier le 15 janvier 1971.

    Nom du producteur : Bastide, Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Cinq photographies du Front. [vue n° 1]
    - Photographie légendée "Cadavres boches sur la pente du bois de Maurepas" (Somme, Picardie), prise le 5 septembre 1916. [vue n° 2]
    - Photographie d'un "Obus non éclaté dans un boyau du bois Foulon" (Aisne, Picardie) prise en juin 1916. [vue n° 3]
    - Portrait en pied d'Eugène Bastide, portant un brassard de deuil. [vue n° 6]
    - Photographie d'une plaque commémorative apposée à Sapigneul (Marne, Champagne-Ardenne) prise le 9 mai 1960. [vue n° 8]
    - Carte postale envoyée par son père, le 14 août 1915. [vues n° 10-11]
    - Lettre de Paul Pelisse (1874-1938), député de l'Hérault, adressée à son ami Eugène Bastide, le 11 avril 1916. [vues n° 12-13]

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Yvon Bastide.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Caux (Hérault, France) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Pézenas (Hérault, France) ; Aisne (Hauts-de-France, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Béziers (Hérault, France) ; Meaux (Seine-et-Marne, France) ; Abbeville (Somme, France) ; Joinville (Haute-Marne, France) ; Castries (Hérault, France) ; Montpellier (Hérault, France) ; Maurepas (Somme, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    122 PRI 4 Fonds Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971), soldat au 16e régiment d'infanterie (16e RI), caporal fourrier au 201e régiment d'infanterie (201e RI), puis au 63e régiment d'infanterie (63e RI) : souvenirs de jeunesse dactylographiés d'Eugène Bastide, comprenant le récit de ses opérations de guerre couvrant la période 1911-1918, rédigés à l'attention de son petit-fils. 1960
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 14 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Eugène Achille Paul Bastide, instituteur, naît à Caux (Hérault, Languedoc-Roussillon) le 5 juillet 1895, fils de François Bastide, instituteur, et de Joséphine Clotilde Carcenac. Conscrit de la classe 1915, il est inscrit sous le matricule n° 325 au recrutement de Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon). Résidant à Pézenas, Eugène Bastide est incorporé le 19 décembre 1914, comme soldat de 2e classe dans le bataillon de marche de la 25e compagnie du 16e régiment d'infanterie (16e RI) ; il suit le peloton des élèves caporaux du 1er janvier au 1er mars 1915. Eugène Bastide est versé au 4e bataillon du 201e régiment d'infanterie (201e RI) le 1er juillet 1915. Il est blessé le 14 septembre 1915 à Sapigneul (Marne, Champagne-Ardenne) par un éclat d'obus à la tête, puis évacué et hospitalisé à Meaux. Eugène Bastide est nommé caporal le 21 septembre 1915, puis caporal fourrier le 12 novembre 1915, alors qu'il réintègre le 201e RI. Le 6 février 1917, il est évacué à l'hôpital de Saint-Hilaire (Marne, Champagne-Ardenne) pour cas de gale, envoyé en permission à titre de convalescence, puis de retour au Front le 5 mars 1917. Eugène Bastide est alors affecté à la 16e compagnie du 201e RI, puis à la 13e compagnie, le 1er mai 1917. Le 10 juillet 1917, il a droit au port du ruban des blessés de guerre avec étoile émaillée rouge. Le 27 juillet 1917, il entre à l'hôpital mixte d'Abbeville (Somme, Picardie), venant de Boesinghe (Belgique). Il y reste jusqu'au 10 août 1917, date à laquelle il est transféré à l'hôpital n° 29 de Fougères (Ille-et-Vilaine, Bretagne), puis à l'hôpital de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine, Bretagne) où il séjourne du 18 août au 13 décembre 1917, avant d'être aiguillé vers l'hôpital de Vihé (Ille-et-Vilaine, Bretagne) jusqu'au 16 décembre 1917. Le 15 janvier 1918, Eugène Bastide est désigné comme fourrier d'une compagnie d'entraînement de la classe 1919, puis détaché au Centre Régional d'Instruction Physique (CRIP) le 14 février 1918 à Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne). Le 28 août 1918, il est versé au 63e régiment d'infanterie (63e RI). Eugène Bastide est alors instructeur à la 25e compagnie. Le 23 février 1919, il effectue un stage d'éducation physique à l'Ecole normale de gymnastique de Joinville (Marne, Champagne-Ardenne). Eugène Bastide est démobilisé le 14 septembre 1919 et rentre à Castries (Hérault, Languedoc-Roussillon). Eugène Bastide est décoré de la médaille interalliée de la Victoire. Il épouse Jeanne Antoinette Prévôt le 2 août 1921 à Pézenas et décède à Montpellier le 15 janvier 1971.

    Nom du producteur : Bastide, Eugène Achille Paul Bastide (1895-1971)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Souvenirs de 1911-1914 [vues n° 1-3]

    - Souvenirs de guerre de 1914-1918 [vues n° 3-14]

    Eugène Bastide, jeune instituteur, apporte son aide à l'hôpital militaire de l'hospice civil de Pézenas (Hérault, Languedoc-Roussillon) pendant les grandes vacances de l'année 1914. Le 1er octobre 1914, il est nommé instituteur remplaçant à Faugères (Hérault, Languedoc-Roussillon). Appelé sous les drapeaux, il rejoint, le 18 décembre 1914, le dépôt du 16e régiment d'infanterie (16e RI) à Montbrison (Loire, Rhône-Alpes), où il y retrouve Pierre Augé, fils de la directrice de l'école des filles de Pézenas (Hérault, Languedoc-Roussillon). Eugène Bastide est inscrit puis radié de la liste des candidats au peloton des élèves-officiers de réserve car, étant normalien, il est considéré comme "anti-militariste" [vue n° 4]. Eugène Bastide rapporte les relations tendues des méridionaux avec les "gars du Nord" - conscrits du 1er régiment d'infanterie (1er RI) de Cambrai (Nord, Nord-Pas-de-Calais) - lorsqu'ils sont appelés à former le 201e régiment d'infanterie (201e RI) ; les tensions s'apaisent toutefois rapidement avec l'expérience commune du feu. Eugène Bastide relate l'attaque du 13 septembre 1915 au cours de laquelle il est blessé par un éclat d'obus, puis son évacuation sur l'hôpital auxiliaire de Meaux (Seine-et-Marne, Ile-de-France) [vues n° 7-9]. En juin 1917, Eugène Bastide est atteint de la gale, mais refuse son évacuation de peur de rejoindre une compagnie où il ne connaîtrait personne. Eugène Bastide est néanmoins évacué le 30 juin, car son régiment doit monter en ligne et il ne peut pas suivre. Il passe cinq mois en convalescence à Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine, Bretagne), au château de Monthorin. Il apporte alors son concours au secrétariat de la mairie. Le 15 janvier 1918, Eugène Bastide est désigné comme fourrier d'une compagnie d'entraînement de la classe 1919. Le récit s'achève avec l'annonce de l'Armistice du 11 novembre 1918. En mai 1960, Eugène Bastide effectue un pèlerinage sur tous les lieux où il a combattu ; il revoit ainsi les restes de Sapigneul (Marne, Champagne-Ardenne), lieu de sa blessure en 1915 [vue n° 10].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Yvon Bastide.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Caux (Hérault, France) ; Ille-et-Vilaine (Bretagne, France ; département) ; Bretagne (France ; région administrative) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Pézenas (Hérault, France) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Marne (Grand Est, France ; département) ; Île-de-France (France ; région administrative) ; Seine-et-Marne (Île-de-France, France ; département) ; Loire (Auvergne-Rhône-Alpes, France ; département) ; Auvergne-Rhône-Alpes (France ; région administrative) ; Nord (Hauts-de-France, France ; département) ; Faugères (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Meaux (Seine-et-Marne, France) ; Abbeville (Somme, France) ; Joinville (Haute-Marne, France) ; Castries (Hérault, France) ; Montpellier (Hérault, France) ; Cambrai (Nord, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    141 PRI 1 Fonds Louis Charles Joseph Georges Chartier (1896-1976), chasseur au 4e régiment de chasseurs d'Afrique (4e RCA), puis au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA) : carnet de guerre manuscrit de la campagne d'Orient (25 mai 1918 - 19 août 1919). 1918-1919
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 61 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Louis Charles Joseph Georges Chartier, voyageur de commerce, fils de Louis Bénoni Chartier et de Louise Catherine Weiden, naît le 7 juillet 1896 à Paris (Ile-de-France). Conscrit de la classe 1914, il est inscrit sous le matricule n° 4791 au recrutement de Paris. Engagé volontaire pour la durée de la guerre à la mairie de Courbevoie le 30 novembre 1914, il intègre le 6e régiment de chasseurs d'Afrique (6e RCA) le 8 décembre 1914. Le 1er novembre 1917, il est versé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique (4e RCA), puis dirigé sur l'Armée d'Orient le 25 mai 1918. Le 29 juin 1918, George Chartier est versé au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA). Il est démobilisé le 18 août 1919 et mis en congé le 18 septembre 1919. Il décède le 13 novembre 1976 à Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon).

    Nom du producteur : Chartier, Louis Charles Joseph Georges (1896-1976)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Georges Chartier stationne à Tarascon, puis Marseille (Bouches-du-Rhône) le 25 mai 1918 [vue n° 8], puis est dirigé le lendemain par train vers Tarente (Italie). Il quitte Tarente le 3 juin 1918 à bord du paquebot l'Amazone en direction de la Grèce [vue n° 11]. Il débarque à Itéa (Grèce) le 5 juin 1918 [vue n° 12], puis embarque pour Larissa (Grèce) le 9 juin 1918 [vue n° 15]. Le 10 juin, il arrive à Maoursa. Le 29 juin, Georges Chartier passe au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA) [vue n° 17]. Le 8 juillet 1918, il participe à la revue du 14 juillet à Salonique [vues n° 17-19]. Du 19 juillet au 13 août, il stationne à Smarinovo (Serbie). Le 16 août 1918, Georges Chartier suit un cours d'instruction pour la manœuvre du canon de 37 à côté de Monastir (Bitola, Macédoine) jusqu'au 10 septembre 1918 [vues n° 21-22]. Il reçoit ensuite l'ordre de départ et embarque pour Prilep (Macédoine) le 23 septembre, "à la recherche de la 11e armée armée allemande" [vue n° 24]. A la fin du mois de septembre, son peloton poursuit les ennemis dans les montagnes dominant Uskub (Macédoine). Sur la route, les troupes françaises vivent sur les nombreuses denrées allemandes abandonnées par l'ennemi. Le 30 septembre 1918, l'Armistice bulgare est annoncé par un avion français [vues n° 29]. Du 2 au 19 octobre 1918, le 1er RCA poursuit l'ennemi en Serbie, puis prend Zajecar (Serbie) [vues n° 29-35]. Le 11 novembre 1918, l'Armistice est officiel [vue n° 40]. Le 29 décembre 1918, le peloton de 37 auquel Georges Chartier appartient, est dissout [vue n° 46]. Le 27 janvier 1919, le 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA) part de Temesvar (Roumanie), en direction d'Arad (Roumanie) [vue n° 47]. Les 9 et 16 février 1919 ont lieu les deux premières représentations (théâtre et mime) de la troupe artistique du régiment, les Folies-Primus [vues n° 48-49]. Le 25 mars, le régiment est mis en alerte et vient occuper la citadelle de la ville suite à une rixe avec les Autrichiens [vue n° 50]. Le 5 mai, Georges Chartier embarque pour Szeged (Roumanie) [vue n° 50]. Arrivé sur place, il cantonne à Kiskun-Dorosma (Roumanie) à quatre kilomètres des lignes bolcheviques, protégées par les postes d'infanterie [vue n° 51]. Le 17 juin, Georges Chartier participe au carrousel en l'honneur du prince Alexandre de Serbie à l'occasion duquel ce dernier décore le fanion du régiment de la croix de Karageorge [vue n° 51]. Le 14 juillet, le régiment prend part aux festivités organisées à Nagy-Kikenda (Serbie) [vue n° 53]. Le 21 juillet, le régiment est mis en alerte pour porter assistance aux Roumains, attaqués par l'Armée rouge et se place en attente sur le bord du Maros (Hongrie) [vue n° 53]. Le 10 août 1918, le 1er RCA reçoit officiellement la fourragère à l'étendard [vue n° 53]. Le 12 août, le 1er régiment de chasseurs d'Afrique est dissout [vue n° 53] ; Georges Cartier regagne la France le 19 août 1919 [vue n° 54].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Philippe Gaucher.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Île-de-France (France ; région administrative) ; Paris (Île-de-France, France ; département) ; Serbie ; République de Macédoine ; Roumanie ; Grèce ; Bulgarie ; Bouches-du-Rhône (Provence-Alpes-Côte d'Azur, France ; département) ; Provence-Alpes-Côte d'Azur (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    141 PRI 2 Fonds Louis Charles Joseph Georges Chartier (1896-1976), chasseur au 4e régiment de chasseurs d'Afrique (4e RCA), puis au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA) : transcription dactylographiée et illustrée du carnet de guerre manuscrit de la campagne d'Orient (25 mai 1918 - 19 août 1919) de Georges Chartier, par son petit-fils Philippe Gaucher (janvier 2015), copie de l'acte de naissance de Georges Chartier, copie du livret de famille de Georges Chartier. 2015
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 21 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Louis Charles Joseph Georges Chartier, voyageur de commerce, fils de Louis Bénoni Chartier et de Louise Catherine Weiden, naît le 7 juillet 1896 à Paris (Ile-de-France). Conscrit de la classe 1914, il est inscrit sous le matricule n° 4791 au recrutement de Paris. Engagé volontaire pour la durée de la guerre à la mairie de Courbevoie le 30 novembre 1914, il intègre le 6e régiment de chasseurs d'Afrique (6e RCA) le 8 décembre 1914. Le 1er novembre 1917, il est versé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique (4e RCA), puis dirigé sur l'Armée d'Orient le 25 mai 1918. Le 29 juin 1918, George Chartier est versé au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA). Il est démobilisé le 18 août 1919 et mis en congé le 18 septembre 1919. Il décède le 13 novembre 1976 à Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon).

    Nom du producteur : Chartier, Louis Charles Joseph Georges (1896-1976)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Georges Chartier stationne à Tarascon, puis Marseille (Bouches-du-Rhône) le 25 mai 1918, puis est dirigé le lendemain par train vers Tarente (Italie). Il quitte Tarente le 3 juin 1918 à bord du paquebot l'Amazone en direction de la Grèce. Il débarque à Itéa (Grèce) le 5 juin 1918, puis embarque pour Larissa (Grèce) le 9 juin 1918. Le 10 juin, il arrive à Maoursa. Le 29 juin, Georges Chartier passe au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA). Le 8 juillet 1918, il participe à la revue du 14 juillet à Salonique. Du 19 juillet au 13 août, il stationne à Smarinovo (Serbie). Le 16 août 1918, Georges Chartier suit un cours d'instruction pour la manœuvre du canon de 37 à côté de Monastir (Bitola, Macédoine) jusqu'au 10 septembre 1918. Il reçoit ensuite l'ordre de départ et embarque pour Prilep (Macédoine) le 23 septembre, "à la recherche de la 11e armée armée allemande". A la fin du mois de septembre, son peloton poursuit les ennemis dans les montagnes dominant Uskub (Macédoine). Sur la route, les troupes françaises vivent sur les nombreuses denrées allemandes abandonnées par l'ennemi. Le 30 septembre 1918, l'Armistice bulgare est annoncé par un avion français. Du 2 au 19 octobre 1918, le 1er RCA poursuit l'ennemi en Serbie, puis prend Zajecar (Serbie). Le 11 novembre 1918, l'Armistice est officiel. Le 29 décembre 1918, le peloton de 37 auquel Georges Chartier appartient, est dissout. Le 27 janvier 1919, le 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA) part de Temesvar (Roumanie), en direction d'Arad (Roumanie). Les 9 et 16 février 1919 ont lieu les deux premières représentations (théâtre et mime) de la troupe artistique du régiment, les Folies-Primus. Le 25 mars, le régiment est mis en alerte et vient occuper la citadelle de la ville suite à une rixe avec les Autrichiens. Le 5 mai, Georges Chartier embarque pour Szeged (Roumanie). Arrivé sur place, il cantonne à Kiskun-Dorosma (Roumanie) à quatre kilomètres des lignes bolcheviques, protégées par les postes d'infanterie. Le 17 juin, Georges Chartier participe au carrousel en l'honneur du prince Alexandre de Serbie à l'occasion duquel ce dernier décore le fanion du régiment de la croix de Karageorge. Le 14 juillet, le régiment prend part aux festivités organisées à Nagy-Kikenda (Serbie). Le 21 juillet, le régiment est mis en alerte pour porter assistance aux Roumains, attaqués par l'Armée rouge et se place en attente sur le bord du Maros (Hongrie). Le 10 août 1918, le 1er RCA reçoit officiellement la fourragère à l'étendard. Le 12 août, le 1er régiment de chasseurs d'Afrique est dissout ; Georges Cartier regagne la France le 19 août 1919.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Philippe Gaucher.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Île-de-France (France ; région administrative) ; Paris (Île-de-France, France ; département) ; Serbie ; République de Macédoine ; Roumanie ; Grèce ; Bulgarie ; Bouches-du-Rhône (Provence-Alpes-Côte d'Azur, France ; département) ; Provence-Alpes-Côte d'Azur (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    141 PRI 3 Fonds Louis Charles Joseph Georges Chartier (1896-1976), chasseur au 4e régiment de chasseurs d'Afrique (4e RCA), puis au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA) : photographies, médailles. 1918-1919
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2015 sur un Phase One A/S P45+. Couleur. 4 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Louis Charles Joseph Georges Chartier, voyageur de commerce, fils de Louis Bénoni Chartier et de Louise Catherine Weiden, naît le 7 juillet 1896 à Paris (Ile-de-France). Conscrit de la classe 1914, il est inscrit sous le matricule n° 4791 au recrutement de Paris. Engagé volontaire pour la durée de la guerre à la mairie de Courbevoie le 30 novembre 1914, il intègre le 6e régiment de chasseurs d'Afrique (6e RCA) le 8 décembre 1914. Le 1er novembre 1917, il est versé au 4e régiment de chasseurs d'Afrique (4e RCA), puis dirigé sur l'Armée d'Orient le 25 mai 1918. Le 29 juin 1918, George Chartier est versé au 1er régiment de chasseurs d'Afrique (1er RCA). Il est démobilisé le 18 août 1919 et mis en congé le 18 septembre 1919. Il décède le 13 novembre 1976 à Béziers (Hérault, Languedoc-Roussillon).

    Nom du producteur : Chartier, Louis Charles Joseph Georges (1896-1976)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Revue d'armes du 1er régiment de chasseurs d'Afrique. [vues n° 1-2]
    - Médailles de Louis Chartier (de gauche à droite et de haut en bas) et portrait de Louis Chartier avec sa croix de guerre et la fourragère : médaille commémorative de Pierre Ier de Serbie, croix du combattant volontaire de 1914-1918, médaille commémorative d'Orient, médaille interalliée dite de la Victoire, croix du combattant, médaille commémorative de la bataille de Verdun, médaille comméméorative de la Grande Guerre, croix de guerre 1914-1918 avec étoile de bronze. [vues n° 3-4]

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Philippe Gaucher.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Île-de-France (France ; région administrative) ; Paris (Île-de-France, France ; département) ; Verdun (Meuse, France) ; Meuse (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Serbie
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    159 PRI 1 Fonds Maurice Joseph François Rouaud (1896-1962), artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA), 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL), au 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL), puis au 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC) : correspondance active de Maurice Rouaud adressée à ses parents Gabriel Auguste Rouaud et Marguerite Joséphine Carrier, de Magalas, ainsi que quelques lettres provenant d'autres correspondants. 1914-1917
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2017 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 366 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Maurice Joseph François Rouaud, coiffeur à Magalas, puis voyageur de commerce à Béziers, naît le 14 juin 1896 au Bousquet d'Orb, fils de Gabriel Auguste Rouaud, coiffeur, et de Marguerite Joséphine Carrier. Conscrit de la classe 1916 (matricule n° 564 au recrutement de Béziers), Maurice Rouaud contracte un engagement volontaire à la mairie de Béziers le 14 février 1916 pour une durée de 4 ans ; il est incorporé comme artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA) le 16 février 1916. Le 12 février 1917, il est versé au 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), puis, le 1er mars 1918, au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL). Le 16 juillet  1918, Maurice Rouaud gagne le 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL). Après la guerre, le 1er mars 1919, il rejoint le 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC), puis est démobilisé le 14 janvier 1920. Maurice Rouaud est décoré de la croix du combattant volontaire en 1937. Il décède en 1962 à Magalas.

    Nom du producteur : Rouaud, Maurice Joseph François (1896-1962)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Maurice Rouaud écrit depuis Montpellier (décembre 1916), secteur 111 (février-mars 1917), Reims (mars 1917), secteur 102 (septembre-décembre 1917), Vichel (décembre 1917), secteurs 102 et 181 (31 décembre 1917).

    Contient une carte-photo des servants de la 3e pièce du 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), avec Maurice Rouaud (22 mars 1917) [vues n° 64-65].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Anne-Marie Germa.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Magalas (Hérault, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


  • 417 vues consultable(s) uniquement en accès réservé
    159 PRI 2 Fonds Maurice Joseph François Rouaud (1896-1962), artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA), 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL), au 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL), puis au 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC) : correspondance active de Maurice Rouaud adressée à ses parents Gabriel Auguste Rouaud et Marguerite Joséphine Carrier, de Magalas, ainsi que quelques lettres provenant d'autres correspondants. 1918
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2017 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 417 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Maurice Joseph François Rouaud, coiffeur à Magalas, puis voyageur de commerce à Béziers, naît le 14 juin 1896 au Bousquet d'Orb, fils de Gabriel Auguste Rouaud, coiffeur, et de Marguerite Joséphine Carrier. Conscrit de la classe 1916 (matricule n° 564 au recrutement de Béziers), Maurice Rouaud contracte un engagement volontaire à la mairie de Béziers le 14 février 1916 pour une durée de 4 ans ; il est incorporé comme artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA) le 16 février 1916. Le 12 février 1917, il est versé au 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), puis, le 1er mars 1918, au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL). Le 16 juillet  1918, Maurice Rouaud gagne le 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL). Après la guerre, le 1er mars 1919, il rejoint le 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC), puis est démobilisé le 14 janvier 1920. Maurice Rouaud est décoré de la croix du combattant volontaire en 1937. Il décède en 1962 à Magalas.

    Nom du producteur : Rouaud, Maurice Joseph François (1896-1962)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Maurice Rouaud écrit depuis le secteur 181 (31 décembre 1917- mars 1918), secteur 185 (mars 1918), secteur 234 (mai-juin 1918), secteur 112 (septembre-décembre 1918), Niedermorschville [Morschwiller-le-Bas, Haut-Rhin] (décembre 1918), Wittenheim (décembre 1918).

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Anne-Marie Germa.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Magalas (Hérault, France) ; Morschwiller-le-Bas (Haut-Rhin, France) ; Haut-Rhin (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Wittenheim (Haut-Rhin, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    159 PRI 3 Fonds Maurice Joseph François Rouaud (1896-1962), artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA), 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL), au 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL), puis au 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC) : correspondance active de Maurice Rouaud adressée à ses parents Gabriel Auguste Rouaud et Marguerite Joséphine Carrier, de Magalas, ainsi que quelques lettres provenant d'autres correspondants. 1919-1920
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2017 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 163 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Maurice Joseph François Rouaud, coiffeur à Magalas, puis voyageur de commerce à Béziers, naît le 14 juin 1896 au Bousquet d'Orb, fils de Gabriel Auguste Rouaud, coiffeur, et de Marguerite Joséphine Carrier. Conscrit de la classe 1916 (matricule n° 564 au recrutement de Béziers), Maurice Rouaud contracte un engagement volontaire à la mairie de Béziers le 14 février 1916 pour une durée de 4 ans ; il est incorporé comme artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA) le 16 février 1916. Le 12 février 1917, il est versé au 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), puis, le 1er mars 1918, au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL). Le 16 juillet  1918, Maurice Rouaud gagne le 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL). Après la guerre, le 1er mars 1919, il rejoint le 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC), puis est démobilisé le 14 janvier 1920. Maurice Rouaud est décoré de la croix du combattant volontaire en 1937. Il décède en 1962 à Magalas.

    Nom du producteur : Rouaud, Maurice Joseph François (1896-1962)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Maurice Rouaud écrit depuis Wittenheim (janvier 1919), Lunéville (janvier 1919), Isches (mars 1919), Mont-lès-Neufchâteau (mars 1919), Roussemeau [Marsangy, Yonne] (avril 1919), Bouxières-aux-Dames (juillet 1919), Moivrons (août-septembre 1919), Champenoux (octobre 1919), Toul (octobre 1919-février 1920).

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Anne-Marie Germa.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Magalas (Hérault, France) ; Wittenheim (Haut-Rhin, France) ; Haut-Rhin (Grand Est, France ; département) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Lunéville (Meurthe-et-Moselle, France) ; Meurthe-et-Moselle (Grand Est, France ; département) ; Isches (Vosges, France) ; Vosges (Grand Est, France ; département) ; Mont-lès-Neufchâteau (Vosges, France) ; Toul (Meurthe-et-Moselle, France) ; Champenoux (Meurthe-et-Moselle, France) ; Moivrons (Meurthe-et-Moselle, France) ; Bouxières-aux-Dames (Meurthe-et-Moselle, France) ; Yonne (Bourgogne-Franche-Comté, France ; département) ; Bourgogne-Franche-Comté (France ; région administrative)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    159 PRI 4 Fonds Maurice Joseph François Rouaud (1896-1962), artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA), 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL), au 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL), puis au 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC) : correspondance passive de Maurice Rouaud (8 novembre 1914 - 31 juillet 1918). 1914-1918
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2017 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 20 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Maurice Joseph François Rouaud, coiffeur à Magalas, puis voyageur de commerce à Béziers, naît le 14 juin 1896 au Bousquet d'Orb, fils de Gabriel Auguste Rouaud, coiffeur, et de Marguerite Joséphine Carrier. Conscrit de la classe 1916 (matricule n° 564 au recrutement de Béziers), Maurice Rouaud contracte un engagement volontaire à la mairie de Béziers le 14 février 1916 pour une durée de 4 ans ; il est incorporé comme artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA) le 16 février 1916. Le 12 février 1917, il est versé au 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), puis, le 1er mars 1918, au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL). Le 16 juillet  1918, Maurice Rouaud gagne le 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL). Après la guerre, le 1er mars 1919, il rejoint le 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC), puis est démobilisé le 14 janvier 1920. Maurice Rouaud est décoré de la croix du combattant volontaire en 1937. Il décède en 1962 à Magalas.

    Nom du producteur : Rouaud, Maurice Joseph François (1896-1962)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Anne-Marie Germa.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Magalas (Hérault, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    159 PRI 5 Fonds Maurice Joseph François Rouaud (1896-1962), artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA), 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL), au 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL), puis au 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC) : carte de rédacteur correspondant du journal "La Dépêche", au nom de Gabriel Rouaud, père de Maurice Rouaud (11 octobre 1929). 1929
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2017 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 5 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Maurice Joseph François Rouaud, coiffeur à Magalas, puis voyageur de commerce à Béziers, naît le 14 juin 1896 au Bousquet d'Orb, fils de Gabriel Auguste Rouaud, coiffeur, et de Marguerite Joséphine Carrier. Conscrit de la classe 1916 (matricule n° 564 au recrutement de Béziers), Maurice Rouaud contracte un engagement volontaire à la mairie de Béziers le 14 février 1916 pour une durée de 4 ans ; il est incorporé comme artilleur au 56e régiment d'artillerie (56e RA) le 16 février 1916. Le 12 février 1917, il est versé au 116e régiment d'artillerie lourde (116e RAL), puis, le 1er mars 1918, au 301e régiment d'artillerie lourde (301e RAL). Le 16 juillet  1918, Maurice Rouaud gagne le 131e régiment d'artillerie lourde (131e RAL). Après la guerre, le 1er mars 1919, il rejoint le 39e régiment d'artillerie de campagne (39e RAC), puis est démobilisé le 14 janvier 1920. Maurice Rouaud est décoré de la croix du combattant volontaire en 1937. Il décède en 1962 à Magalas.

    Nom du producteur : Rouaud, Maurice Joseph François (1896-1962)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Carte dans son porte carte.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à Mme Anne-Marie Germa.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Béziers (Hérault, France) ; Magalas (Hérault, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    174 PRI 1 Fonds Henri Pierre Charles Le Brun d'Heurgival (1870-1958), sergent au 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT), affecté comme chef du poste n° 2 des gardes des voies de communication (GVC) de la section G du Groupe IV à Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges) : correspondance active adressée à son épouse et à ses parents (9 avril - 31 décembre 1915). 1915
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2019 sur un copy book i2s. 400 dpi. Couleur. 584 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Henri Pierre Charles Le Brun d'Heurgival, employé de commerce, naît le 1er novembre 1870 au Bousquet-d'Orb (Hérault), fils de Charles Paul Le Brun d'Heurgival, conducteur de travaux, et de Marie Louise Alix Pégurier. Il contracte, le 1er décembre 1890 à la mairie du XVIIe arrondissement de Paris, un engagement volontaire pour 3 ans au 74e régiment d'infanterie (matricule n° 3844, classe 1890 au recrutement du 6e Bureau de la Seine). Caporal le 22 septembre 1891, il est envoyé en congé en attendant son passage dans la réserve, car il a réussi le concours d'entrée à l'école des Hautes Etudes Commerciales (HEC). Le 2 novembre 1893, il est promu sergent. De 1895 à 1905, il dirige le comptoir de la Maison Hartz à Lima (Pérou). Le 25 octobre 1902, il épouse à Avène (Hérault), Marguerite Jean Anaïs Marie Galzin. En 1906, de retour en France métropolitaine, il séjourne un temps à avec son épouse à Pau (Pyrénes-Atlantiques), puis s'installe en octobre 1906 à Avène où il participe aux activités de la Tannerie Galzin, propriété de sa belle-famille. Rappelé à l'activité en août 1914 par la Mobilisation générale, il rejoint le 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT), comme sergent, le 19 avril 1915. Henri Le Brun d'Heurgival est alors affecté jusqu'en octobre 1916 à la Garde des voies de communication (Groupement IV) dans les Vosges. Il assure la direction du Poste n° 2, à Saint-Michel-sur-Meurthe, de mai 1915 à juin 1916, celle du Poste n° 3, à Etival, de juin à octobre 1916. Par décision du Grand Quartier Général de novembre 1916, Henri Le Brun d'Heurgival est placé en position militaire de sursis, comme ouvrier tanneur aux Tanneries Galzin - Le Brun d'Avène. Libéré définitivement de toute obligation militaire le 1er décembre 1918, il est démobilisé. Henri Le Brun d'Heurgival décède à Béziers le 28 août 1958.

    Nom du producteur : Le Brun d'Heurgival, Henri Pierre Charles (1870-1958)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Avril 1915 [vues n° 1-19].

    - Mai 1915 [vues n° 20-90]. A noter : carte postale de La Vacherie (Saint-Michel-sur-Meurthe), intitulée "La Guerre dans le Vosges 1914-1915" et annotée pour situer l'emplacement du poste GVC [vue n° 86], carte postale d'Herbaville (Saint-Michel-sur-Meurthe) [vue n° 88], carte postale de Saint-Dié en ruines [vue n° 90], carte postale du temple du Donon [vue n° 102], carte postale de l'église de Saint-Michel-sur-Meurthe [vue n° 104], carte postale des cols du Las entre le Ban-de-Sapt et Saâles [vue n° 106].

    - Juin 1915 [vues n° 91-156].

    - Juillet 1915 [vues n° 157-218].

    - Août 1915 [vues n° 219-324].

    - Septembre 1915 [vues n° 325-397].

    - Octobre 1915 [vues n° 398-462].

    - Novembre 1915 [vues n° 463-536]. A noter : carte postale de La Vacherie (Saint-Michel-sur-Meurthe) annotée pour situer l'emplacement du poste GVC [vue n° 472], carte postale d'Herbaville (Saint-Michel-sur-Meurthe) [vue n° 510], cartes postales avec dessins "Un épisode la Guerre 1914-15" [vue n° 516] et "Descente au repos. Juillet 1915" [vues n° 518, 520].

    - Décembre 1915 [vues n° 537-584].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Paul Chabbert.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Vosges (Grand Est, France ; département) ; Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges, France) ; Avène (Hérault, France) ; Saint-Dié-des-Vosges (Vosges, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    174 PRI 2 Fonds Henri Pierre Charles Le Brun d'Heurgival (1870-1958), sergent au 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT), affecté comme chef du poste n° 2 des gardes des voies de communication (GVC) de la section G du Groupe IV à Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges) jusqu'au 3 juin 1916, puis du poste n° 3 à Etival (Vosges) jusqu'au 30 octobre 1916 : correspondance active adressée à son épouse et à ses parents (1er janvier - 30 octobre 1916). 1916
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2019 sur un copy book i2s. 400 dpi. Couleur. 559 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Henri Pierre Charles Le Brun d'Heurgival, employé de commerce, naît le 1er novembre 1870 au Bousquet-d'Orb (Hérault), fils de Charles Paul Le Brun d'Heurgival, conducteur de travaux, et de Marie Louise Alix Pégurier. Il contracte, le 1er décembre 1890 à la mairie du XVIIe arrondissement de Paris, un engagement volontaire pour 3 ans au 74e régiment d'infanterie (matricule n° 3844, classe 1890 au recrutement du 6e Bureau de la Seine). Caporal le 22 septembre 1891, il est envoyé en congé en attendant son passage dans la réserve, car il a réussi le concours d'entrée à l'école des Hautes Etudes Commerciales (HEC). Le 2 novembre 1893, il est promu sergent. De 1895 à 1905, il dirige le comptoir de la Maison Hartz à Lima (Pérou). Le 25 octobre 1902, il épouse à Avène (Hérault), Marguerite Jean Anaïs Marie Galzin. En 1906, de retour en France métropolitaine, il séjourne un temps à avec son épouse à Pau (Pyrénes-Atlantiques), puis s'installe en octobre 1906 à Avène où il participe aux activités de la Tannerie Galzin, propriété de sa belle-famille. Rappelé à l'activité en août 1914 par la Mobilisation générale, il rejoint le 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT), comme sergent, le 19 avril 1915. Henri Le Brun d'Heurgival est alors affecté jusqu'en octobre 1916 à la Garde des voies de communication (Groupement IV) dans les Vosges. Il assure la direction du Poste n° 2, à Saint-Michel-sur-Meurthe, de mai 1915 à juin 1916, celle du Poste n° 3, à Etival, de juin à octobre 1916. Par décision du Grand Quartier Général de novembre 1916, Henri Le Brun d'Heurgival est placé en position militaire de sursis, comme ouvrier tanneur aux Tanneries Galzin - Le Brun d'Avène. Libéré définitivement de toute obligation militaire le 1er décembre 1918, il est démobilisé. Henri Le Brun d'Heurgival décède à Béziers le 28 août 1958.

    Nom du producteur : Le Brun d'Heurgival, Henri Pierre Charles (1870-1958)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Janvier 1916 [vues n° 1-64].

    - Février 1916 [vues n° 65-124].

    - Mars 1916 [vues n° 125-192].

    - Avril 1916 [vues n° 193-230].

    - Mai 1916 [vues n° 231-280].

    - Juin 1916 [vues n° 281-348]. A noter : cartes postales d'Epinal [vues n° 294, 296 et 298].

    - Juillet 1916 [vues n° 349-410].

    - Août 1916 [vues n° 411-449].

    - Septembre 1916 [vues n° 450-501].

    - Octobre 1916 [vues n° 502-559].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Paul Chabbert.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Vosges (Grand Est, France ; département) ; Étival-Clairefontaine (Vosges, France) ; Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges, France) ; Avène (Hérault, France) ; Épinal (Vosges, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


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    174 PRI 3 Fonds Henri Pierre Charles Le Brun d'Heurgival (1870-1958), sergent au 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT), affecté comme chef du poste n° 2 des gardes des voies de communication (GVC) de la section G du Groupe IV à Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges), puis du poste n° 3 à Etival (Vosges) : carte des Vosges [1915], contrôle nominatif des hommes du poste 2 [mai 1915], lettres en l'honneur du sergent Le Brun d'Heurgival par ses hommes [14 juillet 1915, 14 juillet 1916], partition et paroles de la chanson "Rosalie" [1915], "Maximes du poste n° 2 à Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges)" [1915-1916], correspondance passive (4 novembre 1915, 27 mai 1916), coupures de presse. 1915-1916
    Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2019 sur un copy book i2s. 400 dpi. Couleur. 41 vues.
    CONTEXTE :
    Présentation du producteur :

    Henri Pierre Charles Le Brun d'Heurgival, employé de commerce, naît le 1er novembre 1870 au Bousquet-d'Orb (Hérault), fils de Charles Paul Le Brun d'Heurgival, conducteur de travaux, et de Marie Louise Alix Pégurier. Il contracte, le 1er décembre 1890 à la mairie du XVIIe arrondissement de Paris, un engagement volontaire pour 3 ans au 74e régiment d'infanterie (matricule n° 3844, classe 1890 au recrutement du 6e Bureau de la Seine). Caporal le 22 septembre 1891, il est envoyé en congé en attendant son passage dans la réserve, car il a réussi le concours d'entrée à l'école des Hautes Etudes Commerciales (HEC). Le 2 novembre 1893, il est promu sergent. De 1895 à 1905, il dirige le comptoir de la Maison Hartz à Lima (Pérou). Le 25 octobre 1902, il épouse à Avène (Hérault), Marguerite Jean Anaïs Marie Galzin. En 1906, de retour en France métropolitaine, il séjourne un temps à avec son épouse à Pau (Pyrénes-Atlantiques), puis s'installe en octobre 1906 à Avène où il participe aux activités de la Tannerie Galzin, propriété de sa belle-famille. Rappelé à l'activité en août 1914 par la Mobilisation générale, il rejoint le 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT), comme sergent, le 19 avril 1915. Henri Le Brun d'Heurgival est alors affecté jusqu'en octobre 1916 à la Garde des voies de communication (Groupement IV) dans les Vosges. Il assure la direction du Poste n° 2, à Saint-Michel-sur-Meurthe, de mai 1915 à juin 1916, celle du Poste n° 3, à Etival, de juin à octobre 1916. Par décision du Grand Quartier Général de novembre 1916, Henri Le Brun d'Heurgival est placé en position militaire de sursis, comme ouvrier tanneur aux Tanneries Galzin - Le Brun d'Avène. Libéré définitivement de toute obligation militaire le 1er décembre 1918, il est démobilisé. Henri Le Brun d'Heurgival décède à Béziers le 28 août 1958.

    Nom du producteur : Le Brun d'Heurgival, Henri Pierre Charles (1870-1958)
    Modalités d’entrée :

    Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    - Notes manuscrites [vues n° 1-2].

    - Carte des Vosges extraite du calendrier des Postes [1915] [vues n° 3-5].

    - Rapport d'incident (23 mai 1915) [vue n° 6].

    - Plan et schéma du poste GVC [1915] [vue n° 7].

    - Contrôle nominatif des hommes du poste GVC n° 2 [mai 1915] [vues n° 8-9].

    - Lettres en l'honneur du sergent Le Brun d'Heurgival par ses hommes [14 juillet 1915 ou 14 juillet 1916] [vues n° 10-11].

    - Partition et paroles de la chanson "Rosalie" manuscrites et éditées [1915] [vues n° 12-16].

    - "Maximes du poste n° 2 à Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges)" (20 mars 1916) [vues n° 19-20].

    - Correspondance passive (4 novembre 1915, 27 mai 1916) [vues n° 17-18, 21-24].

    -  Programme du Foyer du soldat du 2e bataillon du 23e régiment d'infanterie (23e RI) [vues n° 25-26].

    - Reçus (juillet 19015 - février 1916) [vues n° 27-31].

    - Coupures de presse sur la GVC [vues n° 32-41].

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les originaux :

    L'original appartient à M. Paul Chabbert.

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Occitanie (France ; région administrative) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Le Bousquet-d'Orb (Hérault, France) ; Béziers (Hérault, France) ; Grand Est (France ; région administrative) ; Vosges (Grand Est, France ; département) ; Étival-Clairefontaine (Vosges, France) ; Saint-Michel-sur-Meurthe (Vosges, France) ; Avène (Hérault, France)
    Indexation matière : Guerre 1914-1918


Affiches

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    12 Fi 991 Appel du Comité de Charité. Appel aux travailleurs agricoles de Béziers & des environs : Ville de Béziers. – Béziers : Bourse du Travail de Béziers, [entre 1914 et 1918] (Béziers : imp. Laspeyres). [1914]-[1918]
    Description physique : Document iconographique 65 × 50 cm (feuille) couleur





    Importance matérielle : 1 impression photomécanique (affiche-texte)
    Données techniques : papier imprimé
    CONTEXTE :
    Modalités d’entrée :

    Anciennement cotée 8 R 60 (ADH)

    CONTENU ET STRUCTURE :
    Présentation du contenu :

    Une croix rouge a été collée dans l'angle supérieur gauche de la feuille. Demande de 2000 lits pour les blessés.

    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Document numérisé consultable en ligne. Affiche numérisée en 2006 par la société Jouve. Cotes des CD de consultation: 2 NUM 4700 à 4714. Cotes des CD de conservation: 2 NUM 4715 à 4931

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Vie publique ; Action sociale ; Agriculture ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Affiche


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    12 Fi 1214 A bas la guerre. […] La guerre ? Plutôt la grève générale ! – [S.l.] : Parti communiste, A.R.A.C. et Comité Syndical Révolutionnaire, [entre 1900 et 1918] (Béziers : Imprimerie Bitteroise). [1900]-[1918]
    Description physique : Document iconographique 100 × 64 cm (feuille) noir et blanc





    Importance matérielle : 1 impression photomécanique (affiche-texte)
    Données techniques : papier rouge collé sur toile imprimé
    SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
    Informations sur les copies :

    Document numérisé consultable en ligne. Affiche numérisée en 2006 par la société Jouve. Cotes des CD de consultation: 2 NUM 4700 à 4714. Cotes des CD de conservation: 2 NUM 4715 à 4931

    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France) ; France
    Indexation matière : Vie politique ; Action sociale ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Affiche


Cartes postales

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    2 Fi CP 661 Béziers - 8 - Le Monument aux Morts de 1914-1918. / Poux (photographe-éditeur). 1934
    Description physique : 1 impression photomécanique sur papier : 10 x 15 cm
    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte postale


  • 2 vues
    (2 vues)
    2 Fi CP 1219 42 - Béziers - Fêtes de la Victoire - Evolution d'un tank. / Sonnier, G. (éditeur). 1ère moitié du XXe siècle
    Description physique : 1 impression photomécanique sur papier : 10 x 15 cm
    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Armée ; Commémoration ; Fête ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte postale


  • 2 vues
    (2 vues)
    2 Fi CP 2620 3536 - Béziers - Monuments aux Morts de la ville. / A.D.I.A. (photographe-éditeur). 1ère moitié du XXe siècle
    Description physique : 1 impression photomécanique sur papier : 10 x 15 cm
    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Commémoration ; Arts plastiques ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte postale


  • 2 vues
    (2 vues)
    2 Fi CP 3497 117 - Béziers - Monument aux morts et à la Victoire du Maître Injalbert. - Clareton, librairie (éditeur). 1ère moitié du XXe siècle
    Description physique : 1 impression photomécanique sur papier : 10 x 15 cm
    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Commémoration ; Arts plastiques ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte postale


  • 2 vues
    (2 vues)
    2 Fi CP 4922 Béziers - Monument aux Morts de Béziers au bas du Plateau des Poètes. 1970-1990
    Description physique : 1 impression photomécanique sur papier : 10 x 15 cm
    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte postale


  • 2 vues
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    2 Fi CP 5128 84 - Béziers - Grille de l'entrée du Plateau des Poètes (Laloux, Architecte) et Monument aux morts (Injalbert Sculpteur). - Magasins Modernes (éditeur). 1ère moitié du XXe siècle
    Description physique : 1 impression photomécanique sur papier : 10 x 15 cm
    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Arts plastiques ; Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte postale


  • 2 vues
    (2 vues)
    2 Fi CP 5149 Béziers - Le Monument aux morts (Injalbert. Sculpt.). 1ère moitié du XXe siècle
    Description physique : 1 impression photomécanique sur papier : 10 x 15 cm
    INDEXATION :
    Indexation géographique : Béziers (Hérault, France)
    Indexation matière : Architecture ; Commémoration ; Guerre 1914-1918
    Indexation typologie : Carte postale


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