Contexte familial et formation.

Études d'ingénieur ; son emploi en 1939 de dessinateur à l'établissement Hispano-Suiza de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine) ; parents épiciers.

La « drôle de guerre » (1939-1940).

(00.02.20) La déclaration de guerre ; sans appartenance à un mouvement politique ; ses sentiments patriotiques et républicains ; (00.06.13) évocation de la participation de son grand-père à la guerre de 1914-1918 ; son père mobilisable en 1939 ; (00.07.00) l'ordre de mobilisation générale ; les motivations de son engagement volontaire (novembre 1939) ; son engagement dans le bataillon de l'Air (6 avril 1940) ; intégration comme mécanicien au 105e bataillon de l'Air à Aulnat (Puy-de-Dôme) ; absence de préparation militaire ; brève présentation de son activité de mécanicien ; ses relations avec les officiers supérieurs ; (00.14.05) évacuation d'Aulnat et départ pour Gaillac (Tarn) ; le stationnement sur Gaillac et les contacts entretenus avec la population civile locale ; exode de ses parents : leur arrivée à Gaillac ; son activité principale : chauffeur du capitaine ; (00.18.54) remarques anecdotiques sur De Gaulle ; de retour chez ses parents après sa démobilisation (21 septembre 1940) ; son emploi comme dessinateur dans l'entreprise Viret ; (00.22.52) la vie quotidienne à Paris ; absence de problèmes d'alimentation grâce au commerce de ses parents.

Son entrée dans la Résistance (1941-1942).

(00.23.50) Une rencontre décisive avec une secrétaire résistante communiste, Madame Mitivier ; le parti communiste et les débuts de l'occupation allemande ; (00.26.00) un sabotage nocturne dans l'usine Viret ; mise en contact avec d'autres résistants par le biais de Mme Mitivier ; (00.29.50) agent P23 de la Résistance à Paris ; organisation interne de son groupe (composé de trois membres) ; un rendez-vous avec un autre résistant dans la station de métro Picpus ; (00.33.00) digression sur son arrestation par la police ; (00.34.14) digression sur les conséquences de la mise en place du Service du travail obligatoire (STO) et de son départ pour Blois (Loir-et-Cher) ; (00.39.00) digression sur les différents emplois effectués à son retour à Paris, chez Peugeot entre autres ; (00.40.54) l'antisémitisme et les lois anti-juives.

Son arrestation et son emprisonnement (1943-1944).

(00.42.17) Circonstances de son arrestation par la brigade spéciale de la police (27 mars 1943 ) ; (00.44.17) son séjour à la prison de la Santé (15 avril 1943- 15 février 1944) ; lecture du jugement de son procès-verbal ; description des lieux et des conditions de détention ; apprentissage de l'anglais et de l'espagnol ; (00.51.42) transfert vers le camp de Rouillé (Vienne) (26 février-7 avril 1944) ; détenus majoritairement communistes ; préparation d'une évasion au sein de sa baraque ; anecdote sur un chantage proposé par le commandant du camp ; conditions de détentions relativement bonnes ; (00.57.24) transfert vers le camp de Pithiviers (avril-mai 1944) ; conditions de détention.

Contexte familial et formation.

Études d'ingénieur ; son emploi en 1939 de dessinateur à l'établissement Hispano-Suiza de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine) ; parents épiciers.

La « drôle de guerre » (1939-1940).

(00.02.20) La déclaration de guerre ; sans appartenance à un mouvement politique ; ses sentiments patriotiques et républicains ; (00.06.13) évocation de la participation de son grand-père à la guerre de 1914-1918 ; son père mobilisable en 1939 ; (00.07.00) l'ordre de mobilisation générale ; les motivations de son engagement volontaire (novembre 1939) ; son engagement dans le bataillon de l'Air (6 avril 1940) ; intégration comme mécanicien au 105e bataillon de l'Air à Aulnat (Puy-de-Dôme) ; absence de préparation militaire ; brève présentation de son activité de mécanicien ; ses relations avec les officiers supérieurs ; (00.14.05) évacuation d'Aulnat et départ pour Gaillac (Tarn) ; le stationnement sur Gaillac et les contacts entretenus avec la population civile locale ; exode de ses parents : leur arrivée à Gaillac ; son activité principale : chauffeur du capitaine ; (00.18.54) remarques anecdotiques sur De Gaulle ; de retour chez ses parents après sa démobilisation (21 septembre 1940) ; son emploi comme dessinateur dans l'entreprise Viret ; (00.22.52) la vie quotidienne à Paris ; absence de problèmes d'alimentation grâce au commerce de ses parents.

Son entrée dans la Résistance (1941-1942).

(00.23.50) Une rencontre décisive avec une secrétaire résistante communiste, Madame Mitivier ; le parti communiste et les débuts de l'occupation allemande ; (00.26.00) un sabotage nocturne dans l'usine Viret ; mise en contact avec d'autres résistants par le biais de Mme Mitivier ; (00.29.50) agent P23 de la Résistance à Paris ; organisation interne de son groupe (composé de trois membres) ; un rendez-vous avec un autre résistant dans la station de métro Picpus ; (00.33.00) digression sur son arrestation par la police ; (00.34.14) digression sur les conséquences de la mise en place du Service du travail obligatoire (STO) et de son départ pour Blois (Loir-et-Cher) ; (00.39.00) digression sur les différents emplois effectués à son retour à Paris, chez Peugeot entre autres ; (00.40.54) l'antisémitisme et les lois anti-juives.

Son arrestation et son emprisonnement (1943-1944).

(00.42.17) Circonstances de son arrestation par la brigade spéciale de la police (27 mars 1943 ) ; (00.44.17) son séjour à la prison de la Santé (15 avril 1943- 15 février 1944) ; lecture du jugement de son procès-verbal ; description des lieux et des conditions de détention ; apprentissage de l'anglais et de l'espagnol ; (00.51.42) transfert vers le camp de Rouillé (Vienne) (26 février-7 avril 1944) ; détenus majoritairement communistes ; préparation d'une évasion au sein de sa baraque ; anecdote sur un chantage proposé par le commandant du camp ; conditions de détentions relativement bonnes ; (00.57.24) transfert vers le camp de Pithiviers (avril-mai 1944) ; conditions de détention.

Document numérisé consultable en ligne

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