Origine et contexte familial.

Récit de l'expérience de la Première Guerre mondiale de son père, cantonnier ; mère employée de maison pour la famille Maury.

L'entrée en résistance de sa famille (1942).

(00.02.30) Mauvaise opinion de son père sur l'Allemagne et sympathie pour les mouvements de résistance ; (00.03.42) remarques et anecdotes sur la non-arrestation de ses parents malgré la présence de voisins proches de la Gestapo ; (00.04.52) digression au sujet de la déclaration de guerre en 1939 : sa rencontre décisive avec Robert Monteil, adjoint de Jean Capel ; étonnement face à la rapide capitulation de la France en 1939 ; l'appel du 18 juin et l'écoute de Radio Londres ; (00.09.12) informations sur les engagements respectifs de sa famille et de lui-même dans la résistance ; (00.10.37) le rôle de la « Maison Verdeil » : lieu de rencontre des résistants et maquisards ; (00.12.43) précisions sur la mauvaise réputation de ses parents dans le village de Salasc (Hérault) ; (00.13.34) la vie quotidienne entre 1940 et 1941 : l'alimentation, les cultures, le troc ; (00.15.02) conséquences de l'arrivée des Allemands en zone libre (1942).

L'expérience du maquis : entre déplacements et combats (1943-1944).

(00.17.30) Description et localisation du camp de Douch (Hérault) ; conditions de vie du maquis ; l'instruction militaire ; (00.21.38) description et localisation du camp Rabieux ; les raisons du départ de Douch ; le quotidien dans ce camp ; évocation de son pseudonyme « Bayard » ; les armes du maquis ; les parachutages ; (00.25.32) les raisons du déplacement du maquis vers le Rocher des Deux Vierges (été 1944) ; (00.26.31) le combat de La Parade : les raisons de sa non-participation ; digression au sujet du port du brassard des Forces françaises de l'intérieur (FFI) ; mention de Rolland Gay, survivant du combat de La Parade ; (00.29.36) les circonstances de la mort du capitaine Demarne le 4 août 1944 ; brève mention de la disparition d'un container parachuté et rempli d'argent et de cigarettes ; (00.32.40) ; les différences de commandement entre Demarne (FFI) et « Montaigne » (FTP) ; importance de la camaraderie : absence de discussions politiques entre maquisards ; (00.34.50) description des missions de parachutage, de sabotage ; les réquisitions effectuées par les maquisards ; longue anecdote sur un repas constitué de pâtes au sucre ; (00.38.48) les circonstances d'un combat contre les Allemands à Rabieux (Ceyras, Hérault) ; (00.40.28) installation du maquis au Rocher des Deux Vierges (juillet 1944) ; conditions de vie : alimentation, entraînement et instruction militaire par des Anglais ; (00.45.16) l'absence de nouvelles sur l'évolution des événements ; l'espoir suscité par le débarquement de Provence ; l'impact de la mort du capitaine Demarne sur le moral des maquisards ; (00.46.52) description d'un combat contre les Allemands au Rocher des Deux Vierges (août 1944) ; méconnaissance des stratégies préparées depuis les organes de Londres ; (00.51.10) le rôle d'intermédiaire tenu par ses parents entre le capitaine Demarne et un prisonnier de guerre désirant rejoindre le maquis ; en contact régulier avec ses parents ; l'itinéraire de son frère depuis les Chantiers de la jeunesse, en passant par son service du travail obligatoire (STO) à Toulouse (Haute-Garonne) jusqu'à sa participation à la libération de Montpellier ; (00.55.52) transfert du maquis vers le Roc du Caylar après le combat du Rocher des Deux Vierges.

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