163 J Fonds des registres de catholicité de l'Évêché de Montpellier 1790-1952 Description physique :
Importance matérielle : 43,40 CONTEXTE : Présentation du producteur : Sous l'Ancien Régime, les registres d'actes de baptême, mariage et sépulture sont tenus dans chaque paroisse en double exemplaire (l'un est transmis aux greffes des tribunaux, l'autre est conservé dans la paroisse). En 1792, la gestion de l'état civil, laïcisée, est confiée à la commune. Le clergé tient alors ses propres registres de catholicité (actes de baptême, mariage et sépulture), parallèlement aux registres d'état civil (actes de naissance, mariage et décès),désormais tenus par les maires. Les registres de catholicité sont rédigés par les prêtres en double exemplaire (l'un est conservé dans la paroisse, l'autre doit être transmis à l'Évêché). Depuis 1790, l'Église catholique est divisée en deux tendances, les "constitutionnels" ayant accepté de prêter serment à la Constitution civile du clergé du 12 juillet 1790 et les "réfractaires" fidèles à l'ancien ordre des choses. L'Église constitutionnelle est une Église d'État mais elle ne fonctionne guère que pendant deux ou trois ans puis disparaît au moment de la Terreur. Les prêtres réfractaires n'ont quant à eux guère le loisir de tenir des archives, si ce n'est des registres de catholicité. La collection des registres de catholicité de l'Évêché de Montpellier conserve ainsi quelques exemples de registres de catholicité clandestins, tenus par des prêtres réfractaires (Aniane, 163 J 16 ; Lodève, 163 J 206 ; Lunel, 163 J 226 ; Pouzols, 163 J 375 ; Saint-Christol, 163 J 406 ; Siran, 163 J 483). Le Concordat de 1801 permet à nouveau au culte catholique de tenir officiellement des registres de catholicité en double exemplaire dans chaque paroisse. À partir de 1900, le diocèse fournit aux paroisses des modèles de registres de catholicité imprimés et en partie pré-remplis dont l'usage ne s'impose définitivement qu'en 1914. Nom du producteur : Paroisses du diocèse de Montpellier. Historique de la conservation : Après le Concordat de 1801, dans l'Hérault, l'ensemble des paroisses ne semble pas avoir systématiquement transmis aussitôt le double des registres destinés à l'Évêché. L'Évêque de Montpellier, Jean-Louis Simon Rollet, dans une "Lettre pastorale de monsieur l'Évêque de Montpellier à messieurs les curés, desservans et vicaires de son diocèse" en date du 25 floréal an XII (15 mai 1804) diffuse des "Règles de conduite adressées au clergé de son diocèse". L'article XIX rappelle que "Tous les curés et dessservans auront deux registres en papier libre, dont l'un demeurera entre leurs mains, et l'autre sera déposé à notre secrétariat, à la fin de chaque année, dans lesquels registres seront inscrits les baptêmes, les mariages et sépultures. Ils feront leurs diligences pour constater le baptême des enfans de leur paroisse, nés dans les temps auxquels il n'était tenu aucun registre des baptêmes". La collection des registres de catholicité de l'Évêché de Montpellier conserve ainsi quelques rares exemples de registre de catholicité où sont portés des baptêmes antérieurs au Concordat dont le curé a souhaité conserver la trace (Cazedarnes, 163 J 121 ; Cessenon, 163 J 132 ; Gignac, 163 J 179). Dans les décennies suivantes, l'obligation de faire parvenir un exemplaire des registres à l'Évêché n'est pas appliquée à la lettre par tous les prêtres si bien que l'Évêque de Montpellier doit la rappeler à nouveau en 1837. Monseigneur Charles-Thomas Thiébault publie ainsi une "Ordonnance de Monseigneur l'Évêque sur l'administration générale de son diocèse" (8 décembre 1837) qui précise dans son article 30 : " Chaque année du 1er janvier au 15 février, les archiprêtres se font adresser par MM. les Doyens de leurs archiprêtrés, un double des registres des baptêmes, mariages et sépultures, de toutes les cures et succursales qui dépendent de leur juridiction et en effectuent, d'une manière sûre, le dépôt à notre Secrétariat". C'est à la suite de cette ordonnance que de nombreuses paroisses du diocèses font parvenir le double de leurs registres dès 1838 à l'Évêché. Tout au long du XIXe siècle, l'Évêque ne semble pas rappeler dans ses mandements et circulaires l'obligation du dépôt des doubles : il ne réussit ainsi pas à assurer la collecte de l'intégralité des registres de catholicité du diocèse. Les registres de catholicité étaient conservés à l'Évêché de Montpellier jusqu'en février 2008. Modalités d’entrée : Dépôt Guy Thomazeau, archevêque de Montpellier (entrée n° 4017, 11 février 2008). CONTENU ET STRUCTURE : Présentation du contenu : La collection des registres de catholicité déposée par l'Évêché de Montpellier couvre une période de 1790 à 1952. Les registres de catholicité regroupent les actes de baptême, mariage et sépulture. À partir des années 1830, ils peuvent contenir des listes de premiers communiants ainsi que de confirmés. La description des registres s'attache aussi à signaler l'intérêt historique particulier de certains registres. La collection des registres de catholicité de l'Évêché permet à l'historien - outre un usage généalogique traditionnel - d'étudier la société catholique héraultaise du XIXe siècle sous différents angles. Peuvent ainsi être relatés par les prêtres dans les registres de catholicité des éléments liés à la pratique cultuelle : visites pastorales et épiscopales (Saint-Georges-d'Orques, 1899, 163 J 418), missions (La Livinière, 1893, 163 J 205), processions (Béziers, 1809, 163 J 77), tenue des livres des âmes (Plaissan, 1892-1911, 163 J 364), vie des confréries (Lespignan, 1853, 163 J 198), mention d'abjuration du protestantisme (Montpellier, 1868, 163 J 318), bénédiction de cloche (Teyran, 1890, 163 J 490), érection de chemin de croix (Lignan-sur-Orb, 1895, 163 J 203), bénédiction de reliques (Lattes, 1883, 163 J 193), construction et réparations à un lieu de culte (Saint-Jean-de-Fos, 1898, 163 J 498). . . D'autres pages des registres de catholicité abordent des questions théologiques particulièrement importantes pour le monde catholique au XIXe siècle et dans la première décennie du XXe siècle : dogme de l'Immaculée Conception (Saint-Jean-de-Buèges, 1855, 163 J 402), serment anti-moderniste (Lamalou-les-Bains, 1910, 163 J 188), consécration des hosties et confession des pénitents (Roujan, 1833, 163 J 395), séparation de l'Église et de l'État et vigoureuses protestations contre les inventaires en 1906 (Boisseron, 163 J 87 ; Lespignan,163 J 199 ; Saint-Hilaire-de-Beauvoir, 163 J 421). . . Enfin, les prêtres ont parfois noté au fil des pages les événements majeurs ou mineurs que la paroisse a vécu : passage du Pape Pie VII à Béziers le 14 février 1814 (163 J 78), assassinat dans l'église de Lespignan au cours d'un mariage en 1903 (163 J 199), épidémie de choléra en 1829 et chutes de neige exceptionnelles en janvier-février 1901 à Saint-Guilhem-le-Désert (163 J 420). . . Classement : De l'article 163 J 1 à l'article 163 J 518, le classement s'est opéré par ordre alphabétique des paroisses (avec indication de la commune concernée pour les paroisses ne portant pas explicitement le nom de la commune). Les registres d'actes de baptême, mariage et sépulture des années 1900-1914 regroupant plusieurs paroisses ont été classés à la fin du fonds (163 J 519-531). Ces registres réunissant les actes de plusieurs paroisses ont été reliés par l'archiviste diocésain dans les années 1980 afin d'améliorer la conservation des actes rédigés sur des formulaires de grand format. ABEILHAN (1804-1837) : 163 J 1 ADISSAN (1805-1913) : 163 J 2 AGDE - Paroisse Saint Étienne (1803-1914) : 163 J 3-7 - Paroisse Saint Sever (1838-1913) : 163 J 8-9 AGEL (1804-1912) : 163 J 10 AIGNE (1853-1854) : 163 J 11 AIGUES-VIVES (1805) : 163 J 12 AIRES (LES) (1836) : 163 J 13 ALIGNAN-DU-VENT (1804-1868) : 163 J 14 ANDABRE [Rosis] (1840-1913) : 163 J 15 ANIANE (1797-1913) : 163 J 16-18 ARBORAS (1900-1913) : 163 J 19 ARGELLIERS (1888-1913) : 163 J 20 ASPIRAN (1804-1914) : 163 J 21 ASSAS (1805-1865) : 163 J 22 AUMELAS (1807-1913) : 163 J 23 AUMES (1805-1838) : 163 J 24 AUTIGNAC (1804-1916) : 163 J 25 AUTIGNAGUET-TIEUDAS [Roqueredonde] (1855-1913) : 163 J 26 AVÈNE (1838-1913) : 163 J 27 BABEAU [Babeau-Bouldoux] (1804-1806) : 163 J 28 BAILLARGUES (1804-1909) : 163 J 29 BALARUC-LES-BAINS (1823-1913) : 163 J 30 BALARUC-LE-VIEUX (1823-1867) : 163 J 31 BASSAN (1804-1901) : 163 J 32 BEAUFORT (1868-1913) : 163 J 33 BEAULIEU (1805-1913) : 163 J 34 BÉDARIEUX - Paroisse Saint Alexandre (1826-1913) : 163 J 35-40 - Paroisse Saint Louis (1837-1914) : 163 J 41-42 BÉLARGA (1804-1911) : 163 J 43 BERLOU (1841-1842) : 163 J 44 BESSAN (1818-1914) : 163 J 45-47 BÉZIERS - Hôpital mage, puis Hôpital général (1797-1841) : 163 J 48 - Paroisse Immaculée Conception (1908-1913) : 163 J 49 - Paroisse Saint Aphrodise (1801-1914) : 163 J 50-57 - Paroisse Sainte Madeleine (1804-1913) : 163 J 58-74 - Paroisse Saint Jude (1865-1914) : 163 J 75-76 - Paroisse Saint Nazaire (1804-1913) : 163 J 77-86 BOISSERON (1890-1925) : 163 J 87 BOISSET (1823-1889) : 163 J 88 BOISSIÈRE (LA) (1809-1902) : 163 J 89 BONNEVAL [Salvetat-sur-Agoût (La)] (1877-1910) : 163 J 90 BOUJAN-SUR-LIBRON (1804-1913) : 163 J 91 BOUSSAGUES [Tour-sur-Orb (La)] (1837-1875) : 163 J 92 BOUZIGUES (1838-1844) : 163 J 93 BRENAS (1838-1911) : 163 J 94 BRIGNAC (1902-1913) : 163 J 95 BISSAC (1877-1893) : 163 J 96 BUZIGNARGUES (1839-1895) : 163 J 97 CABREROLLES (1809-1895) : 163 J 98 CABRIÈRES (1838-1866) : 163 J 99 CAMPAGNAN (1805-1929) : 163 J 100 CAMPAGNE (1812-1911) : 163 J 101 CAMPLONG (1856-1910) : 163 J 102 CANDILLARGUES (1910) : 163 J 103 CANET (1854-1860) : 163 J 104 CAPESTANG (1815-1913) : 163 J 105-106 CARLENCAS [Carlencas-et-Levas] (1858-1883) : 163 J 107 CASSAGNOLES et SAINT-JULIEN-DES-MOLIERES (1837-1913) : 163 J 108 CASTANET-LE-BAS [Saint-Gervais-sur-Mare] (1839-1910) : 163 J 109 CASTANET-LE-HAUT (1839-1913) : 163 J 110 CASTELNAU-DE-GUERS (1805-1914) : 163 J 1111 CASTELNAU-LE-LEZ (1804-1913) : 163 J 112 CASTRIES (1805-1843) : 163 J 113 CAUNAS [Lunas] (1838-1913) : 163 J 114 CAUNETTE (LA) (1837-1913) : 163 J 115 CAUSSE-DE-LA-SELLE (1804-1888) : 163 J 116 CAUSSES-ET-VEYRAN (1838-1913) : 163 J 117 CAUX (1806-1913) : 163 J 118-119 CAYLAR (LE) (1800-1914) : 163 J 120 CAZEDARNES (1790-1913) : 163 J 121 CAZILHAC (1838-1869) : 163 J 122 CAZOULS-D'HÉRAULT (1838-1913) : 163 J 123 CAZOULS-LÈS-BÉZIERS (1805-1913) : 163 J 124-127 CÉBAZAN (1804-1805) : 163 J 128 CEILHES (1838-1913) : 163 J 129 CELLENEUVE [Montpellier] (1821-1872) : 163 J 130 CERS (1817-1825) : 163 J 131 CESSENON (1793-1901) : 163 J 132 CESSERAS (1806-1910) : 163 J 133 CEYRAS (1812-1910) : 163 J 134 CLAIRAC [Tour-sur-Orb (La)] (1852-1913) : 163 J 135 CLAPIERS (1898-1913) : 163 J 136 CLARET (1804-1911) : 163 J 137 CLERMONT-L'HÉRAULT (1804-1912) : 163 J 138 COLOMBIÈRES-SUR-ORB (1898-1912) : 163 J 139 COLOMBIERS (1838-1910) : 163 J 140 COMBAILLAUX, MURLES et VAILHAUQUES (1803-1820) : 163 J 141 COMBAILLAUX (1867-1907) : 163 J 142 CORNEILHAN (1811-1911) : 163 J 143 COULOBRES (1806-1822) : 163 J 144 COURNIOU (1804-1818) : 163 J 145 COURNONSEC (1805-1923) : 163 J 146 COURNONTERRAL (1804-1874) : 163 J 147-148 CREISSAN (1804-1905) : 163 J 149 CRÈS (LE) (1865-1913) : 163 J 150 CRUZY (1805-1913) : 163 J 151-152 DIO-ET-VALQUIÈRES (1858-1861) : 163 J 153 DOUCH [Rosis] (1867-1911) : 163 J 154 ESPONDEILHAN (1805-1889) : 163 J 155 FABRÈGUES (1806-1913) : 163 J 156-158 FAUGÈRES (1838-1853) : 163 J 159 FÉLINES-MINERVOIS (1805-1922) FERRALS-LES-MONTAGNES (1804-1913) : 163 J 161 FLORENSAC (1804-1913) : 163 J 162-164 FONTANÈS (1839-1913) : 163 J 165 FONTES (1838-1913) : 163 J 166 FOS (1838-1913) : 163 J 167 FRONTIGNAN (1812-1913) : 163 J 168-170 GABIAN (1806-1913) : 163 J 171 GALARGUES (1838-1914) : 163 J 172 GALINIER [Rieussec, puis Verreries-de-Moussans en 1864] (1854-1867) : 163 J 173 GANGES (1867-1913) : 163 J 174-176 GARRIGUES (1861-1913) : 163 J 177 GIGEAN (1804-1838) : 163 J 178 GIGNAC (1797-1887) : 163 J 179-181 GORNIÈS-ET-MADIERES [Gorniès] (1838-1913) : 163 J 182 GRABELS (1805-1913) : 163 J 183 HÉRÉPIAN (1849-1914) : 163 J 184 JACOU (1811-1912) : 163 J 185 JONCELS (1806-1913) : 163 J 186 JONQUIÈRES (1854-1856) : 163 J 187 LAMALOU-LES-BAINS et VILLECELLE [Lamalou-les-Bains] (1822-1913) : 163 J 188 LANGLADE [Riols] (1910-1913) : 163 J 189 LANSARGUES (1848-1914) : 163 J 190-191 LAROQUE-AYNIER [Laroque] (1890-1913) : 163 J 192 LATTES (1883-1891) : 163 J 193 LAURENS (1838-1913) : 163 J 194 LAURET (1909-1913) : 163 J 195 LAVALETTE (1866-1868) : 163 J 196 LAVÉRUNE (1804-1899) : 163 J 197 LESPIGNAN (1805-1913) : 163 J 198-199 LÉZIGNAN-LA-CÈBE (1838-1913 : 163 J 200 LIEURAN-CABRIÈRES (1888-1913) : 163 J 201 LIEURAN-LÈS-BÉZIERS (1811-1913) : 163 J 202 LIGNAN-SUR-ORB (1805-1912) : 163 J 203 LIGNIERES-HAUTES [Fraisse-sur-Agoût] (1861-1913) : 163 J 204 LIVINIÈRE (LA) (1805-1910) LODÈVE - Paroisse Saint-Fulcran (1796-1914) : 163 J 206-217 - Paroisse Saint-Pierre (1802-1913) : 163 J 218-222 LOIRAS [Bosc (Le)] (1838-1868) : 163 J 223 LOUPIAN (1838-1872) : 163 J 224 LUNAS (1886-1913) : 163 J 225 LUNEL (1801-1913) : 163 J 226-235 LUNEL-VIEL (1808-1842) : 163 J 236 MAGALAS (1804-1851) : 163 J 237 MARAUSSAN (1806-1872) : 163 J 238-239 MARGON (1833-1864) MARSEILLAN (1804-1913) : 163 J 241-243 MARSILLARGUES (1804-1838) : 163 J 244 MARTHOMIS [Courniou] (1804-1913) : 163 J 245 MATELLES (LES) (1838-1913) : 163 J 246 MAUGUIO (1856-1913) : 163 J 247 MAURIAN [Taussac-la-Billière] (1868-1906) : 163 J 248 MÈZE (1837-1913) : 163 J 249-250 MINERVE (1868-1925) : 163 J 251 MIREVAL (1838-1916) : 163 J 252 MONS-LA-TRIVALLE (1843-1889) : 163 J 253 MONTAGNAC (1838-1841) : 163 J 254 MONTARNAUD (1806-1908) : 163 J 255 MONTAUD (1838-1913) : 163 J 256 MONTBAZIN (1807-1912) : 163 J 257 MONTBLANC (1807-1901) : 163 J 258 MONTELS (1893-1913) : 163 J 259 MONTFERRIER (1804-1885) : 163 J 260 MONTOULIERS (1804-1913) : 163 J 261 MONTOULIEU (1873-1913) : 163 J 262 MONTPELLIER - Clinique obstétricale, puis maternité (Chapelle du Sacré-Coeur de Jésus) (1891-1919) : 163 J 263 - Hôpital Général (1819-1914) : 163 J 264-265 - Maison centrale de détention (1816-1920) : 163 J 266 - Paroisse Notre-Dame-des-Tables (1808-1913) : 163 J 267-281 - Paroisse Saint-Cléophas et Saint-Barthélémy (1908-1912) : 163 J 282 - Paroisse Saint-Denis (1805-1913) : 163 J 283-293 - Paroisse Sainte-Anne (1805-1913) : 163 J 294-300 - Paroisse Sainte-Eulalie (1804-1914) : 163 J 301-308 - Paroisse Saint-François (1888-1913) : 163 J 309-310 - Paroisse Saint-Matthieu (1831-1913) : 163 J 311-313 - Paroisse Saint-Pierre (1804-1914) : 163 J 314-322 - Paroisse Saint-Roch (1816-1913) : 163 J 323-328 MONTPEYROUX et MONTPEYROUX-LE-BARRY [Montpeyroux] (1846-1922) : 163 J 329 MOUREZE et VILLENEUVETTE (1854-1912) : 163 J 330 MUDAISON (1804-1890) : 163 J 331 MURLES (1892-1908) : 163 J 332 MURVIEL-LÈS-BÉZIERS (1805-1868) : 163 J 333 NEFFIÈS (1833-1854) : 163 J 334 NÉZIGNAN-L'ÉVÊQUE (1805-1913) : 163 J 335 NISSAN-LEZ-ENSERUNE (1806-1911) : 163 J 336-337 NIZAS (1838-1859) : 163 J 338 NOTRE-DAME-DE-LONDRES (1865-1913) : 163 J 339 OCTON (1864-1899) : 163 J 340 OLARGUES (1838-1913) : 163 J 341 OLMET-ET-VILLECUN (1797-1926) : 163 J 342 OLONZAC (1838-1841) : 163 J 343 OUPIA (1838-1892) : 163 J 344 PAGUIGNAN [Aigues-Vives] : 163 J 345 PAILHÈS (1842-1902) : 163 J 346 PALAVAS (1842-1897) : 163 J 347 PARDAILHAN (1888-1913) : 163 J 348 PAULHAN (1809-1913) : 163 J 349-350 PÉGAIROLLES-DE-BUÈGES (1913) : 163 J 351 PÉGAIROLLES-DE-L'ESCALETTE (1841-1913) : 163 J 352 PERET (1838-1910) : 163 J 353 PÉROLS (1802-1913) : 163 J 354 PEYRADE (LA) [Frontignan] (1874-1913) : 163 J 355 PÉZENAS - Paroisse Sainte-Ursule (1805-1916) : 163 J 356 - Paroisse Saint-Jean (1806-1913) : 163 J 357 PEZENES-LES-MINES (1805-1920) : 163 J 358 PIERRERUE (1804-1806) : 163 J 359 PIGNAN (1804-1913) : 163 J 360 PIN ET LAU (LE) [Vieussan] (1858-1912) : 163 J 362 PINET (1808-1842) : 163 J 363 PLAISSAN (1838-1914) : 163 J 364 POILHES (1909-1913) : 163 J 365 POMÉROLS (1804-1899) : 163 J 366 POPIAN (1803-1858) : 163 J 367 PORTIRAGNES (1804-1914) : 163 J 368-369 POUGET (LE) (1838-1914) : 163 J 370 POUJOL (LE) (1838-1908) : 163 J 371 POUJOLS (1840-1841) : 163 J 372 POUSSAN (1807-1904) : 163 J 373 POUZOLLES (1838-1868) : 163 J 374 POUZOLS (1793-1839) : 163 J 375 PRADES-LE-LEZ (1838-1848) : 163 J 376 PRÉMIAN (1838-1849) : 163 J 377 PROUILLE [Courniou] (1838-1913) : 163 J 378 PUECH (LE) (1839-1912) : 163 J 379 PUÉCHABON (1804-1911) : 163 J 380 PUILACHER (1900-1913) : 163 J 381 PUIMISSON (1840-1913) : 163 J 382 PUISSALICON (1805-1868) : 163 J 383 PUISSERGUIER (1807-1914) : 163 J 384-387 QUARANTE (1804-1872) : 163 J 388 RESTINCLIÈRES (1804-1918) : 163 J 389 RIEUSSEC (1840-1913) : 163 J 390 RIOLS (1839-1898) : 163 J 391-392 RONGAS [Saint-Gervais-sur-Mare] (1842) : 163 J 393 ROQUEBRUN (1839-1913) : 163 J 394 ROUJAN (1833-1865) : 163 J 395 SAINT-ANDRÉ-DE-SANGONIS (1807-1908) : 163 J 396-397 SAINT-AUNES (1826-1913) : 163 J 398 SAINT-BAUZILLE-DE-LA-SYLVE (1804-1838) : 163 J 399 SAINT-BAUZILLE-DE-MONTMEL (1882-1900) : 163 J 400 SAINT-BAUZILLE-DE-PUTOIS (1842-1855) : 163 J 401 SAINT-BRÈS (1806-1913) : 163 J 403 SAINT-CHINIAN (1804-1918) : 163 J 404-405 SAINT-CHRISTOL (1797-1873) : 163 J 406 SAINT-DRÉZÉRY (1797-1873) : 163 J 407 SAINTE-CROIX-DE-QUINTILLARGUES (1856-1862) : 163 J 408 SAINT-ÉTIENNE-D'ALBAGNAN (1906-1913) : 163 J 409 SAINT-ÉTIENNE-DE-GOURGAS (1838-1878) : 163 J 410 SAINT-ÉTIENNE-DE-MURSAN [Saint-Étienne-d'Estréchoux] (1835-1888) : 163 J 411 SAINT-FÉLIX-DE-L'HÉRAS (1892-1913) : 163 J 412 SAINT-FÉLIX-DE-LODEZ (1811-1911) : 163 J 413 SAINT-GELY-DU-FESC (1811-1912) : 163 J 414 SAINT-GENIÈS-DES-MOURGUES (1804-1815) : 163 J 415 SAINT-GENIÈS-LE-BAS [Saint-Géniès-de-Fontédit] (1842-1913) : 163 J 416 SAINT-GEORGES-D'ORQUES (1807-1914) : 163 J 417-418 SAINT-GERVAIS-SUR-MARE (1804-1914) : 163 J 419 SAINT-GUILHEM-LE-DÉSERT (1807-1912) : 163 J 420 SAINT-HILAIRE-DE-BEAUVOIR (1840-1952) : 163 J 421 SAINT-JEAN-DE-BUÈGES (1809-1876) : 163 J 422 SAINT-JEAN-DE-FOS (1806-1913) : 163 J 423-425 SAINT-JEAN-DE-LA-BLAQUIÈRE (1831-1913) : 163 J 426 SAINT-JEAN-DE-PARDAILHAN [Saint-Jean-de-Minervois] (1866-1867) : 163 J 427 SAINT-JEAN-DE-VEDAS (1835-1913) : 163 J 428 SAINT-JUST (1804-1911) : 163 J 429 SAINT-LAURENT-DES-NIERES [Saint-Gervais-sur-Mare] (1840-1913) : 163 J 430 SAINT-MARTIN-D'ORB (1838-1899) : 163 J 431 SAINT-MARTIN-DE-L'ARÇON (1856-1913) : 163 J 432 SAINT-MARTIN-DE-LONDRES (1804-1914) : 163 J 433 SAINT-MARTIN-DU-BOSC (1838-1846) : 163 J 434 SAINT-MAURICE-NAVACELLES (1852-1913) : 163 J 435 SAINT-MICHEL (1873-1879) : 163 J 436 SAINT-NAZAIRE-DE-LADAREZ (1842-1913) : 163 J 437 SAINT-NAZAIRE-DE-PEZAN (1857-1898) : 163 J 438 SAINT-PARGOIRE (1804-1908) : 163 J 439-440 SAINT-PAUL-ET-VALMALLE (1813-1866) : 163 J 441 SAINT-PONS-DE-THOMIÈRES (1803-1910) : 163 J 442-447 SAINT-PRIVAT (1857-1859) : 163 J 448 SAINT-SÉRIÈS (1838-1862) : 163 J 449 SAINT-THIBÉRY (1804-1867) : 163 J 450 SAINT-VINCENT-DE-BARBEYRARGUES (1900-1951) : 163 J 451 SAINT-VINCENT-D'OLARGUES (1804-1900) : 163 J 452 SAINT-XIST [Tour-sur-Orb (La)] (1838-1913) : 163 J 453 SALELLES-DU-BOSC (1840-1912) : 163 J 454 SALVETAT-SUR-AGOUT (LA) (1899-1910) : 163 J 455 SATURARGUES (1822-1913) : 163 J 456 SAUSSAN (1822-1913) : 163 J 457 SAUSSINES (1900) : 163 J 458 SAUTEYRARGUES (1911-1913) : 163 J 459 SÉRIGNAN (1831-1910) : 163 J 460-461 SERVIAN (1804-1895) : 163 J 462-463 SERVIES [Avène] (1869-1913) : 163 J 464 SÈTE - Paroisse Sacré-Coeur (1911-1914) : 163 J 465 - Paroisse Saint-Joseph (1804-1895) : 163 J 466-475 - Paroisse Saint-Louis (1811-1838) : 163 J 476-477 - Paroisse Saint-Pierre (1856-1911) : 163 J 478-482 SIRAN (1800-1913) : 163 J 483 SORBS (1842-1889) : 163 J 484 SOUBÈS (1806-1891) : 163 J 485 SOULIÉ (LE) (1856-1867) : 163 J 486 SOUMARTRE [Faugères] (1853-1913) : 163 J 487 SUSSARGUES (1839-1847) : 163 J 488 TAUSSAC [Taussac-la-Billière] (1835-1889) : 163 J 489 TEYRAN (1844-1908) : 163 J 490 THÉZAN-LÈS-BÉZIERS (1838-1887) : 163 J 491 TOURBES (1806-1901) : 163 J 492 TRESSAN (1804-1868) : 163 J 493 TRIADOU (LE) (1890) : 163 J 494 USCLAS-D'HÉRAULT (1901-1913) : 163 J 495 USCLAS-DU-BOSC (1900-1913) : 163 J 496 VACQUERIE (LA) (1843-1913) : 163 J 497 VACQUIÈRES (1868-1914) : 163 J 498 VAILHAN (1828-1859) : 163 J 499 VALERGUES (1856-1868) : 163 J 500 VALFLAUNES (1838-1839) : 163 J 501 VALROS (1806-1910) : 163 J 502 VÉLIEUX (1831-1841) : 163 J 503 VENDARGUES (1838-1925) : 163 J 504 VENDÉMIAN (1804-1815) : 163 J 505 VENDRES (1837-1913) : 163 J 506 VÉRARGUES (1856-1913) : 163 J 507 VERRERIES-DE-MOUSSANS (1900-1913) : 163 J 508 VIAS (1838-1913) : 163 J 509 VIC-LA-GARDIOLE (1838-1909) : 163 J 510 VIEUSSAN (1849-1920) : 163 J 511 VILLENEUVE-LÈS-BÉZIERS (1806-1913) : 163 J 512 VILLENEUVE-LÈS-MAGUELONE (1804-1913) : 163 J 513 VILLESPASSANS (1886-1900) : 163 J 514 VILLETELLE (1900-1913) : 163 J 515 VILLEVEYRAC (1804-1868) : 163 J 516 VINAS [Avène] (1900-1913) : 163 J 517 VIOLS-LE-FORT (1836-1913) : 163 J 518 REGISTRES D'ACTES DE BAPTEMES CONCERNANT PLUSIEURS PAROISSES (1896-1913) : 163 J 519-529 REGISTRES D'ACTES DE MARIAGE CONCERNANT PLUSIEURS PAROISSES (1898-1913) : 163 J 530 REGISTRES D'ACTES DE SEPULTURE CONCERNANT PLUSIEURS PAROISSES (1897-1919) : 163 J 531 CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités d’accès : Les actes de baptême et de mariage sont communicables après un délai de 75 ans, comme pour les registres d'état civil. Les actes de sépulture sont communicables après un délai de 50 ans (l'appartenance religieuse relevant du délai de protection de la vie privée). Actuellement, seuls les articles 163 J 421 et 163 J 451 ne sont pas intégralement communicables. Instruments de recherche : IGRISHTA-EBEYER (Magali), DUVAUX (Julien), Fonds des registres de catholicité de l'Évêché de Montpellier (1790-1952) : répertoire numérique détaillé de la sous-série 163 J, Montpellier, Archives départementales de l'Hérault, 2008, 86 p., dact. (fichier Arkhéia) ; version électronique (fichier XML-EAD) consultable en ligne. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l’Hérault : Sous-série 3 E : État civil. Sous-série 8 F : Fonds de l'Évêché de Montpellier. Sous-série 170 J : Fonds Archives des paroisses du diocèse de Montpellier. Série V : Cultes. Bibliographie : Ordos et Annuaires du diocèse de Montpellier, Évêché de Montpellier, 1851-en cours. [cote ADH : PAR 3182-3185] |
5 HDT E 2 Journal des recettes et dépenses des revenus des pauvres. 1726-1843 Description physique : Registre papier couvert en parchemin.
CONTEXTE : Historique de la conservation : Lors du versement du fonds en 1973, ce registre était resté sur place et avait été photocopié par les archives départementales. Il a été retrouvé dans le commerce en 2011 et acheté par les archives départementales. Modalités d’entrée : Entrée par achat n° 4651 du 6 mai 2011. CONTENU ET STRUCTURE : Présentation du contenu : Contient les recettes et dépenses des revenus pour les pauvres de Cazouls, tenus par l'archiprêtre et les marguilliers de l'église de la ville, de 1726 à 1774, puis l'an VIII, suivies de quittances de la famille Champagnol pour la pension de la sœur Champagnol, entretenue à l'hospice (1830-1843). Tête-bêche : Etat des rentes annuelles dues aux pauvres (1748-1817), et " état des messes fondées dans l'église archiprestrale " (1754, folio 33). |
5 HDT 1 N 1 Acceptations et administration des dons et legs (an XIV-1883). - Succession Bonniol, archiprêtre : procès entre l'hospice et le sieur Bonniol frère (an XII-1810). - Affaires relatives à la donation Azéma (1867-1906) et la donation Greston (1875-1891). 1803-1906 |
163 J 1-531 Fonds des registres de catholicité de l'Evêché de Montpellier 1790-1952 Description physique : Document d'archives Importance matérielle : 531 CONTEXTE : Présentation du producteur : Sous l'Ancien Régime, les registres d'actes de baptême, mariage et sépulture sont tenus dans chaque paroisse en double exemplaire (l'un est transmis aux greffes des tribunaux, l'autre est conservé dans la paroisse). En 1792, la gestion de l'état civil, laïcisée, est confiée à la commune. Le clergé tient alors ses propres registres de catholicité (actes de baptême, mariage et sépulture), parallèlement aux registres d'état civil (actes de naissance, mariage et décès),désormais tenus par les maires. Les registres de catholicité sont rédigés par les prêtres en double exemplaire (l'un est conservé dans la paroisse, l'autre doit être transmis à l'Evêché). Depuis 1790, l'Eglise catholique est divisée en deux tendances, les "constitutionnels" ayant accepté de prêter serment à la Constitution civile du clergé du 12 juillet 1790 et les "réfractaires" fidèles à l'ancien ordre des choses. L'Eglise constitutionnelle est une Eglise d'Etat mais elle ne fonctionne guère que pendant deux ou trois ans puis disparaît au moment de la Terreur. Les prêtres réfractaires n'ont quant à eux guère le loisir de tenir des archives, si ce n'est des registres de catholicité. La collection des registres de catholicité de l'Evêché de Montpellier conserve ainsi quelques exemples de registres de catholicité clandestins, tenus par des prêtres réfractaires (Aniane, 163 J 16 ; Lodève, 163 J 206 ; Lunel, 163 J 226 ; Pouzols, 163 J 375 ; Saint-Christol, 163 J 406 ; Siran, 163 J 483). Le Concordat de 1801 permet à nouveau au culte catholique de tenir officiellement des registres de catholicité en double exemplaire dans chaque paroisse. A partir de 1900, le diocèse fournit aux paroisses des modèles de registres de catholicité imprimés et en partie pré-remplis dont l'usage ne s'impose définitivement qu'en 1914. Nom du producteur : Paroisses du diocèse de Montpellier. Historique de la conservation : Après le Concordat de 1801, dans l'Hérault, l'ensemble des paroisses ne semble pas avoir systématiquement transmis aussitôt le double des registres destinés à l'Evêché. L'Evêque de Montpellier, Jean-Louis Simon Rollet, dans une "Lettre pastorale de monsieur l'Evêque de Montpellier à messieurs les curés, desservans et vicaires de son diocèse" en date du 25 floréal an XII (15 mai 1804) diffuse des "Règles de conduite adressées au clergé de son diocèse". L'article XIX rappelle que "Tous les curés et dessservans auront deux registres en papier libre, dont l'un demeurera entre leurs mains, et l'autre sera déposé à notre secrétariat, à la fin de chaque année, dans lesquels registres seront inscrits les baptêmes, les mariages et sépultures. Ils feront leurs diligences pour constater le baptême des enfans de leur paroisse, nés dans les temps auxquels il n'était tenu aucun registre des baptêmes". La collection des registres de catholicité de l'Evêché de Montpellier conserve ainsi quelques rares exemples de registre de catholicité où sont portés des baptêmes antérieurs au Concordat dont le curé a souhaité conserver la trace (Cazedarnes, 163 J 121 ; Cessenon, 163 J 132 ; Gignac, 163 J 179). Dans les décennies suivantes, l'obligation de faire parvenir un exemplaire des registres à l'Evêché n'est pas appliquée à la lettre par tous les prêtres si bien que l'Evêque de Montpellier doit la rappeler à nouveau en 1837. Monseigneur Charles-Thomas Thiébault publie ainsi une "Ordonnance de Monseigneur l'Evêque sur l'administration générale de son diocèse" (8 décembre 1837) qui précise dans son article 30 : " Chaque année du 1er janvier au 15 février, les archiprêtres se font adresser par MM. les Doyens de leurs archiprêtrés, un double des registres des baptêmes, mariages et sépultures, de toutes les cures et succursales qui dépendent de leur juridiction et en effectuent, d'une manière sûre, le dépôt à notre Secrétariat". C'est à la suite de cette ordonnance que de nombreuses paroisses du diocèses font parvenir le double de leurs registres dès 1838 à l'Evêché. Tout au long du XIXe siècle, l'Evêque ne semble pas rappeler dans ses mandements et circulaires l'obligation du dépôt des doubles : il ne réussit ainsi pas à assurer la collecte de l'intégralité des registres de catholicité du diocèse. Les registres de catholicité étaient conservés à l'Evêché de Montpellier jusqu'en février 2008. Modalités d’entrée : Dépôt Guy Thomazeau, archevêque de Montpellier (entrée n° 4017, 11 février 2008). CONTENU ET STRUCTURE : Présentation du contenu : La collection des registres de catholicité déposée par l'Evêché de Montpellier couvre une période de 1790 à 1952. Les registres de catholicité regroupent les actes de baptême, mariage et sépulture. A partir des années 1830, ils peuvent contenir des listes de premiers communiants ainsi que de confirmés. La description des registres s'attache aussi à signaler l'intérêt historique particulier de certains registres. La collection des registres de catholicité de l'Evêché permet à l'historien - outre un usage généalogique traditionnel - d'étudier la société catholique héraultaise du XIXe siècle sous différents angles. Peuvent ainsi être relatés par les prêtres dans les registres de catholicité des éléments liés à la pratique cultuelle : visites pastorales et épiscopales (Saint-Georges-d'Orques, 1899, 163 J 418), missions (La Livinière, 1893, 163 J 205), processions (Béziers, 1809, 163 J 77), tenue des livres des âmes (Plaissan, 1892-1911, 163 J 364), vie des confréries (Lespignan, 1853, 163 J 198), mention d'abjuration du protestantisme (Montpellier, 1868, 163 J 318), bénédiction de cloche (Teyran, 1890, 163 J 490), érection de chemin de croix (Lignan-sur-Orb, 1895, 163 J 203), bénédiction de reliques (Lattes, 1883, 163 J 193), construction et réparations à un lieu de culte (Saint-Jean-de-Fos, 1898, 163 J 498)... D'autres pages des registres de catholicité abordent des questions théologiques particulièrement importantes pour le monde catholique au XIXe siècle et dans la première décennie du XXe siècle : dogme de l'Immaculée Conception (Saint-Jean-de-Buèges, 1855, 163 J 402), serment anti-moderniste (Lamalou-les-Bains, 1910, 163 J 188), consécration des hosties et confession des pénitents (Roujan, 1833, 163 J 395), séparation de l'Eglise et de l'Etat et vigoureuses protestations contre les inventaires en 1906 (Boisseron, 163 J 87 ; Lespignan,163 J 199 ; Saint-Hilaire-de-Beauvoir, 163 J 421)... Enfin, les prêtres ont parfois noté au fil des pages les événements majeurs ou mineurs que la paroisse a vécu : passage du Pape Pie VII à Béziers le 14 février 1814 (163 J 78), assassinat dans l'église de Lespignan au cours d'un mariage en 1903 (163 J 199), épidémie de choléra en 1829 et chutes de neige exceptionnelles en janvier-février 1901 à Saint-Guilhem-le-Désert (163 J 420)... Classement : De l'article 163 J 1 à l'article 163 J 518, le classement s'est opéré par ordre alphabétique des paroisses (avec indication de la commune concernée pour les paroisses ne portant pas explicitement le nom de la commune). Les registres d'actes de baptême, mariage et sépulture des années 1900-1914 regroupant plusieurs paroisses ont été classés à la fin du fonds (163 J 519-531). Ces registres réunissant les actes de plusieurs paroisses ont été reliés par l'archiviste diocésain dans les années 1980 afin d'améliorer la conservation des actes rédigés sur des formulaires de grand format. ABEILHAN (1804-1837) : 163 J 1 ADISSAN (1805-1913) : 163 J 2 AGDE - Paroisse Saint Etienne (1803-1914) : 163 J 3-7 - Paroisse Saint Sever (1838-1913) : 163 J 8-9 AGEL (1804-1912) : 163 J 10 AIGNE (1853-1854) : 163 J 11 AIGUES-VIVES (1805) : 163 J 12 AIRES (LES) (1836) : 163 J 13 ALIGNAN-DU-VENT (1804-1868) : 163 J 14 ANDABRE [Rosis] (1840-1913) : 163 J 15 ANIANE (1797-1913) : 163 J 16-18 ARBORAS (1900-1913) : 163 J 19 ARGELLIERS (1888-1913) : 163 J 20 ASPIRAN (1804-1914) : 163 J 21 ASSAS (1805-1865) : 163 J 22 AUMELAS (1807-1913) : 163 J 23 AUMES (1805-1838) : 163 J 24 AUTIGNAC (1804-1916) : 163 J 25 AUTIGNAGUET-TIEUDAS [Roqueredonde] (1855-1913) : 163 J 26 AVENE (1838-1913) : 163 J 27 BABEAU [Babeau-Bouldoux] (1804-1806) : 163 J 28 BAILLARGUES (1804-1909) : 163 J 29 BALARUC-LES-BAINS (1823-1913) : 163 J 30 BALARUC-LE-VIEUX (1823-1867) : 163 J 31 BASSAN (1804-1901) : 163 J 32 BEAUFORT (1868-1913) : 163 J 33 BEAULIEU (1805-1913) : 163 J 34 BEDARIEUX - Paroisse Saint Alexandre (1826-1913) : 163 J 35-40 - Paroisse Saint Louis (1837-1914) : 163 J 41-42 BELARGA (1804-1911) : 163 J 43 BERLOU (1841-1842) : 163 J 44 BESSAN (1818-1914) : 163 J 45-47 BEZIERS - Hôpital mage, puis Hôpital général (1797-1841) : 163 J 48 - Paroisse Immaculée Conception (1908-1913) : 163 J 49 - Paroisse Saint Aphrodise (1801-1914) : 163 J 50-57 - Paroisse Sainte Madeleine (1804-1913) : 163 J 58-74 - Paroisse Saint Jude (1865-1914) : 163 J 75-76 - Paroisse Saint Nazaire (1804-1913) : 163 J 77-86 BOISSERON (1890-1925) : 163 J 87 BOISSET (1823-1889) : 163 J 88 BOISSIERE (LA) (1809-1902) : 163 J 89 BONNEVAL [Salvetat-sur-Agoût (La)] (1877-1910) : 163 J 90 BOUJAN-SUR-LIBRON (1804-1913) : 163 J 91 BOUSSAGUES [Tour-sur-Orb (La)] (1837-1875) : 163 J 92 BOUZIGUES (1838-1844) : 163 J 93 BRENAS (1838-1911) : 163 J 94 BRIGNAC (1902-1913) : 163 J 95 BISSAC (1877-1893) : 163 J 96 BUZIGNARGUES (1839-1895) : 163 J 97 CABREROLLES (1809-1895) : 163 J 98 CABRIERES (1838-1866) : 163 J 99 CAMPAGNAN (1805-1929) : 163 J 100 CAMPAGNE (1812-1911) : 163 J 101 CAMPLONG (1856-1910) : 163 J 102 CANDILLARGUES (1910) : 163 J 103 CANET (1854-1860) : 163 J 104 CAPESTANG (1815-1913) : 163 J 105-106 CARLENCAS [Carlencas-et-Levas] (1858-1883) : 163 J 107 CASSAGNOLES et SAINT-JULIEN-DES-MOLIERES (1837-1913) : 163 J 108 CASTANET-LE-BAS [Saint-Gervais-sur-Mare] (1839-1910) : 163 J 109 CASTANET-LE-HAUT (1839-1913) : 163 J 110 CASTELNAU-DE-GUERS (1805-1914) : 163 J 1111 CASTELNAU-LE-LEZ (1804-1913) : 163 J 112 CASTRIES (1805-1843) : 163 J 113 CAUNAS [Lunas] (1838-1913) : 163 J 114 CAUNETTE (LA) (1837-1913) : 163 J 115 CAUSSE-DE-LA-SELLE (1804-1888) : 163 J 116 CAUSSES-ET-VEYRAN (1838-1913) : 163 J 117 CAUX (1806-1913) : 163 J 118-119 CAYLAR (LE) (1800-1914) : 163 J 120 CAZEDARNES (1790-1913) : 163 J 121 CAZILHAC (1838-1869) : 163 J 122 CAZOULS-D'HERAULT (1838-1913) : 163 J 123 CAZOULS-LES-BEZIERS (1805-1913) : 163 J 124-127 CEBAZAN (1804-1805) : 163 J 128 CEILHES (1838-1913) : 163 J 129 CELLENEUVE [Montpellier] (1821-1872) : 163 J 130 CERS (1817-1825) : 163 J 131 CESSENON (1793-1901) : 163 J 132 CESSERAS (1806-1910) : 163 J 133 CEYRAS (1812-1910) : 163 J 134 CLAIRAC [Tour-sur-Orb (La)] (1852-1913) : 163 J 135 CLAPIERS (1898-1913) : 163 J 136 CLARET (1804-1911) : 163 J 137 CLERMONT-L'HERAULT (1804-1912) : 163 J 138 COLOMBIERES-SUR-ORB (1898-1912) : 163 J 139 COLOMBIERS (1838-1910) : 163 J 140 COMBAILLAUX, MURLES et VAILHAUQUES (1803-1820) : 163 J 141 COMBAILLAUX (1867-1907) : 163 J 142 CORNEILHAN (1811-1911) : 163 J 143 COULOBRES (1806-1822) : 163 J 144 COURNIOU (1804-1818) : 163 J 145 COURNONSEC (1805-1923) : 163 J 146 COURNONTERRAL (1804-1874) : 163 J 147-148 CREISSAN (1804-1905) : 163 J 149 CRES (LE) (1865-1913) : 163 J 150 CRUZY (1805-1913) : 163 J 151-152 DIO-ET-VALQUIERES (1858-1861) : 163 J 153 DOUCH [Rosis] (1867-1911) : 163 J 154 ESPONDEILHAN (1805-1889) : 163 J 155 FABREGUES (1806-1913) : 163 J 156-158 FAUGERES (1838-1853) : 163 J 159 FELINES-MINERVOIS (1805-1922) FERRALS-LES-MONTAGNES (1804-1913) : 163 J 161 FLORENSAC (1804-1913) : 163 J 162-164 FONTANES (1839-1913) : 163 J 165 FONTES (1838-1913) : 163 J 166 FOS (1838-1913) : 163 J 167 FRONTIGNAN (1812-1913) : 163 J 168-170 GABIAN (1806-1913) : 163 J 171 GALARGUES (1838-1914) : 163 J 172 GALINIER [Rieussec, puis Verreries-de-Moussans en 1864] (1854-1867) : 163 J 173 GANGES (1867-1913) : 163 J 174-176 GARRIGUES (1861-1913) : 163 J 177 GIGEAN (1804-1838) : 163 J 178 GIGNAC (1797-1887) : 163 J 179-181 GORNIES-ET-MADIERES [Gorniès] (1838-1913) : 163 J 182 GRABELS (1805-1913) : 163 J 183 HEREPIAN (1849-1914) : 163 J 184 JACOU (1811-1912) : 163 J 185 JONCELS (1806-1913) : 163 J 186 JONQUIERES (1854-1856) : 163 J 187 LAMALOU-LES-BAINS et VILLECELLE [Lamalou-les-Bains] (1822-1913) : 163 J 188 LANGLADE [Riols] (1910-1913) : 163 J 189 LANSARGUES (1848-1914) : 163 J 190-191 LAROQUE-AYNIER [Laroque] (1890-1913) : 163 J 192 LATTES (1883-1891) : 163 J 193 LAURENS (1838-1913) : 163 J 194 LAURET (1909-1913) : 163 J 195 LAVALETTE (1866-1868) : 163 J 196 LAVERUNE (1804-1899) : 163 J 197 LESPIGNAN (1805-1913) : 163 J 198-199 LEZIGNAN-LA-CEBE (1838-1913 : 163 J 200 LIEURAN-CABRIERES (1888-1913) : 163 J 201 LIEURAN-LES-BEZIERS (1811-1913) : 163 J 202 LIGNAN-SUR-ORB (1805-1912) : 163 J 203 LIGNIERES-HAUTES [Fraisse-sur-Agoût] (1861-1913) : 163 J 204 LIVINIERE (LA) (1805-1910) LODEVE - Paroisse Saint-Fulcran (1796-1914) : 163 J 206-217 - Paroisse Saint-Pierre (1802-1913) : 163 J 218-222 LOIRAS [Bosc (Le)] (1838-1868) : 163 J 223 LOUPIAN (1838-1872) : 163 J 224 LUNAS (1886-1913) : 163 J 225 LUNEL (1801-1913) : 163 J 226-235 LUNEL-VIEL (1808-1842) : 163 J 236 MAGALAS (1804-1851) : 163 J 237 MARAUSSAN (1806-1872) : 163 J 238-239 MARGON (1833-1864) MARSEILLAN (1804-1913) : 163 J 241-243 MARSILLARGUES (1804-1838) : 163 J 244 MARTHOMIS [Courniou] (1804-1913) : 163 J 245 MATELLES (LES) (1838-1913) : 163 J 246 MAUGUIO (1856-1913) : 163 J 247 MAURIAN [Taussac-la-Billière] (1868-1906) : 163 J 248 MEZE (1837-1913) : 163 J 249-250 MINERVE (1868-1925) : 163 J 251 MIREVAL (1838-1916) : 163 J 252 MONS-LA-TRIVALLE (1843-1889) : 163 J 253 MONTAGNAC (1838-1841) : 163 J 254 MONTARNAUD (1806-1908) : 163 J 255 MONTAUD (1838-1913) : 163 J 256 MONTBAZIN (1807-1912) : 163 J 257 MONTBLANC (1807-1901) : 163 J 258 MONTELS (1893-1913) : 163 J 259 MONTFERRIER (1804-1885) : 163 J 260 MONTOULIERS (1804-1913) : 163 J 261 MONTOULIEU (1873-1913) : 163 J 262 MONTPELLIER - Clinique obstétricale, puis maternité (Chapelle du Sacré-Coeur de Jésus) (1891-1919) : 163 J 263 - Hôpital Général (1819-1914) : 163 J 264-265 - Maison centrale de détention (1816-1920) : 163 J 266 - Paroisse Notre-Dame-des-Tables (1808-1913) : 163 J 267-281 - Paroisse Saint-Cléophas et Saint-Barthélémy (1908-1912) : 163 J 282 - Paroisse Saint-Denis (1805-1913) : 163 J 283-293 - Paroisse Sainte-Anne (1805-1913) : 163 J 294-300 - Paroisse Sainte-Eulalie (1804-1914) : 163 J 301-308 - Paroisse Saint-François (1888-1913) : 163 J 309-310 - Paroisse Saint-Matthieu (1831-1913) : 163 J 311-313 - Paroisse Saint-Pierre (1804-1914) : 163 J 314-322 - Paroisse Saint-Roch (1816-1913) : 163 J 323-328 MONTPEYROUX et MONTPEYROUX-LE-BARRY [Montpeyroux] (1846-1922) : 163 J 329 MOUREZE et VILLENEUVETTE (1854-1912) : 163 J 330 MUDAISON (1804-1890) : 163 J 331 MURLES (1892-1908) : 163 J 332 MURVIEL-LES-BEZIERS (1805-1868) : 163 J 333 NEFFIES (1833-1854) : 163 J 334 NEZIGNAN-L'EVEQUE (1805-1913) : 163 J 335 NISSAN-LEZ-ENSERUNE (1806-1911) : 163 J 336-337 NIZAS (1838-1859) : 163 J 338 NOTRE-DAME-DE-LONDRES (1865-1913) : 163 J 339 OCTON (1864-1899) : 163 J 340 OLARGUES (1838-1913) : 163 J 341 OLMET-ET-VILLECUN (1797-1926) : 163 J 342 OLONZAC (1838-1841) : 163 J 343 OUPIA (1838-1892) : 163 J 344 PAGUIGNAN [Aigues-Vives] : 163 J 345 PAILHES (1842-1902) : 163 J 346 PALAVAS (1842-1897) : 163 J 347 PARDAILHAN (1888-1913) : 163 J 348 PAULHAN (1809-1913) : 163 J 349-350 PEGAIROLLES-DE-BUEGES (1913) : 163 J 351 PEGAIROLLES-DE-L'ESCALETTE (1841-1913) : 163 J 352 PERET (1838-1910) : 163 J 353 PEROLS (1802-1913) : 163 J 354 PEYRADE (LA) [Frontignan] (1874-1913) : 163 J 355 PEZENAS - Paroisse Sainte-Ursule (1805-1916) : 163 J 356 - Paroisse Saint-Jean (1806-1913) : 163 J 357 PEZENES-LES-MINES (1805-1920) : 163 J 358 PIERRERUE (1804-1806) : 163 J 359 PIGNAN (1804-1913) : 163 J 360 PIN ET LAU (LE) [Vieussan] (1858-1912) : 163 J 362 PINET (1808-1842) : 163 J 363 PLAISSAN (1838-1914) : 163 J 364 POILHES (1909-1913) : 163 J 365 POMEROLS (1804-1899) : 163 J 366 POPIAN (1803-1858) : 163 J 367 PORTIRAGNES (1804-1914) : 163 J 368-369 POUGET (LE) (1838-1914) : 163 J 370 POUJOL (LE) (1838-1908) : 163 J 371 POUJOLS (1840-1841) : 163 J 372 POUSSAN (1807-1904) : 163 J 373 POUZOLLES (1838-1868) : 163 J 374 POUZOLS (1793-1839) : 163 J 375 PRADES-LE-LEZ (1838-1848) : 163 J 376 PREMIAN (1838-1849) : 163 J 377 PROUILLE [Courniou] (1838-1913) : 163 J 378 PUECH (LE) (1839-1912) : 163 J 379 PUECHABON (1804-1911) : 163 J 380 PUILACHER (1900-1913) : 163 J 381 PUIMISSON (1840-1913) : 163 J 382 PUISSALICON (1805-1868) : 163 J 383 PUISSERGUIER (1807-1914) : 163 J 384-387 QUARANTE (1804-1872) : 163 J 388 RESTINCLIERES (1804-1918) : 163 J 389 RIEUSSEC (1840-1913) : 163 J 390 RIOLS (1839-1898) : 163 J 391-392 RONGAS [Saint-Gervais-sur-Mare] (1842) : 163 J 393 ROQUEBRUN (1839-1913) : 163 J 394 ROUJAN (1833-1865) : 163 J 395 SAINT-ANDRE-DE-SANGONIS (1807-1908) : 163 J 396-397 SAINT-AUNES (1826-1913) : 163 J 398 SAINT-BAUZILLE-DE-LA-SYLVE (1804-1838) : 163 J 399 SAINT-BAUZILLE-DE-MONTMEL (1882-1900) : 163 J 400 SAINT-BAUZILLE-DE-PUTOIS (1842-1855) : 163 J 401 SAINT-BRES (1806-1913) : 163 J 403 SAINT-CHINIAN (1804-1918) : 163 J 404-405 SAINT-CHRISTOL (1797-1873) : 163 J 406 SAINT-DREZERY (1797-1873) : 163 J 407 SAINTE-CROIX-DE-QUINTILLARGUES (1856-1862) : 163 J 408 SAINT-ETIENNE-D'ALBAGNAN (1906-1913) : 163 J 409 SAINT-ETIENNE-DE-GOURGAS (1838-1878) : 163 J 410 SAINT-ETIENNE-DE-MURSAN [Saint-Etienne-d'Estréchoux] (1835-1888) : 163 J 411 SAINT-FELIX-DE-L'HERAS (1892-1913) : 163 J 412 SAINT-FELIX-DE-LODEZ (1811-1911) : 163 J 413 SAINT-GELY-DU-FESC (1811-1912) : 163 J 414 SAINT-GENIES-DES-MOURGUES (1804-1815) : 163 J 415 SAINT-GENIES-LE-BAS [Saint-Géniès-de-Fontédit] (1842-1913) : 163 J 416 SAINT-GEORGES-D'ORQUES (1807-1914) : 163 J 417-418 SAINT-GERVAIS-SUR-MARE (1804-1914) : 163 J 419 SAINT-GUILHEM-LE-DESERT (1807-1912) : 163 J 420 SAINT-HILAIRE-DE-BEAUVOIR (1840-1952) : 163 J 421 SAINT-JEAN-DE-BUEGES (1809-1876) : 163 J 422 SAINT-JEAN-DE-FOS (1806-1913) : 163 J 423-425 SAINT-JEAN-DE-LA-BLAQUIERE (1831-1913) : 163 J 426 SAINT-JEAN-DE-PARDAILHAN [Saint-Jean-de-Minervois] (1866-1867) : 163 J 427 SAINT-JEAN-DE-VEDAS (1835-1913) : 163 J 428 SAINT-JUST (1804-1911) : 163 J 429 SAINT-LAURENT-DES-NIERES [Saint-Gervais-sur-Mare] (1840-1913) : 163 J 430 SAINT-MARTIN-D'ORB (1838-1899) : 163 J 431 SAINT-MARTIN-DE-L'ARCON (1856-1913) : 163 J 432 SAINT-MARTIN-DE-LONDRES (1804-1914) : 163 J 433 SAINT-MARTIN-DU-BOSC (1838-1846) : 163 J 434 SAINT-MAURICE-NAVACELLES (1852-1913) : 163 J 435 SAINT-MICHEL (1873-1879) : 163 J 436 SAINT-NAZAIRE-DE-LADAREZ (1842-1913) : 163 J 437 SAINT-NAZAIRE-DE-PEZAN (1857-1898) : 163 J 438 SAINT-PARGOIRE (1804-1908) : 163 J 439-440 SAINT-PAUL-ET-VALMALLE (1813-1866) : 163 J 441 SAINT-PONS-DE-THOMIERES (1803-1910) : 163 J 442-447 SAINT-PRIVAT (1857-1859) : 163 J 448 SAINT-SERIES (1838-1862) : 163 J 449 SAINT-THIBERY (1804-1867) : 163 J 450 SAINT-VINCENT-DE-BARBEYRARGUES (1900-1951) : 163 J 451 SAINT-VINCENT-D'OLARGUES (1804-1900) : 163 J 452 SAINT-XIST [Tour-sur-Orb (La)] (1838-1913) : 163 J 453 SALELLES-DU-BOSC (1840-1912) : 163 J 454 SALVETAT-SUR-AGOUT (LA) (1899-1910) : 163 J 455 SATURARGUES (1822-1913) : 163 J 456 SAUSSAN (1822-1913) : 163 J 457 SAUSSINES (1900) : 163 J 458 SAUTEYRARGUES (1911-1913) : 163 J 459 SERIGNAN (1831-1910) : 163 J 460-461 SERVIAN (1804-1895) : 163 J 462-463 SERVIES [Avène] (1869-1913) : 163 J 464 SETE - Paroisse Sacré-Coeur (1911-1914) : 163 J 465 - Paroisse Saint-Joseph (1804-1895) : 163 J 466-475 - Paroisse Saint-Louis (1811-1838) : 163 J 476-477 - Paroisse Saint-Pierre (1856-1911) : 163 J 478-482 SIRAN (1800-1913) : 163 J 483 SORBS (1842-1889) : 163 J 484 SOUBES (1806-1891) : 163 J 485 SOULIE (LE) (1856-1867) : 163 J 486 SOUMARTRE [Faugères] (1853-1913) : 163 J 487 SUSSARGUES (1839-1847) : 163 J 488 TAUSSAC [Taussac-la-Billière] (1835-1889) : 163 J 489 TEYRAN (1844-1908) : 163 J 490 THEZAN-LES-BEZIERS (1838-1887) : 163 J 491 TOURBES (1806-1901) : 163 J 492 TRESSAN (1804-1868) : 163 J 493 TRIADOU (LE) (1890) : 163 J 494 USCLAS-D'HERAULT (1901-1913) : 163 J 495 USCLAS-DU-BOSC (1900-1913) : 163 J 496 VACQUERIE (LA) (1843-1913) : 163 J 497 VACQUIERES (1868-1914) : 163 J 498 VAILHAN (1828-1859) : 163 J 499 VALERGUES (1856-1868) : 163 J 500 VALFLAUNES (1838-1839) : 163 J 501 VALROS (1806-1910) : 163 J 502 VELIEUX (1831-1841) : 163 J 503 VENDARGUES (1838-1925) : 163 J 504 VENDEMIAN (1804-1815) : 163 J 505 VENDRES (1837-1913) : 163 J 506 VERARGUES (1856-1913) : 163 J 507 VERRERIES-DE-MOUSSANS (1900-1913) : 163 J 508 VIAS (1838-1913) : 163 J 509 VIC-LA-GARDIOLE (1838-1909) : 163 J 510 VIEUSSAN (1849-1920) : 163 J 511 VILLENEUVE-LES-BEZIERS (1806-1913) : 163 J 512 VILLENEUVE-LES-MAGUELONE (1804-1913) : 163 J 513 VILLESPASSANS (1886-1900) : 163 J 514 VILLETELLE (1900-1913) : 163 J 515 VILLEVEYRAC (1804-1868) : 163 J 516 VINAS [Avène] (1900-1913) : 163 J 517 VIOLS-LE-FORT (1836-1913) : 163 J 518 REGISTRES D'ACTES DE BAPTEMES CONCERNANT PLUSIEURS PAROISSES (1896-1913) : 163 J 519-529 REGISTRES D'ACTES DE MARIAGE CONCERNANT PLUSIEURS PAROISSES (1898-1913) : 163 J 530 REGISTRES D'ACTES DE SEPULTURE CONCERNANT PLUSIEURS PAROISSES (1897-1919) : 163 J 531 CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l’Hérault : Sous-série 3 E : Etat civil. Sous-série 8 F : Fonds de l'Evêché de Montpellier. Sous-série 170 J : Fonds Archives des paroisses du diocèse de Montpellier. Série V : Cultes. Bibliographie : Ordos et Annuaires du diocèse de Montpellier, Evêché de Montpellier, 1851-en cours. [cote ADH : PAR 3182-3185] INDEXATION : Indexation matière : Vie religieuse ; État civil |
1 B 1888 Jean Rouanet, maire de Cessenon, contre lesdits Bouissezon, Delhours, habitants dudit lieu, le syndic du chapitre de Saint-Pons, l'archiprêtre de Cazouls, le sieur Roc de Fosse et Barthélemy Bacou. Saisie des fruits de la métairie de Bacou sise à Cessenon par Pierre Audé, archiprêtre de Cassouls (Cazouls). [1699-1700] CONTEXTE : Ancienne cote : 1 BP 13183 |
1 B 6286 André Bertuel, contre Jean Cruyoye, archiprêtre et les consuls de Cazouls. Logement de chevau-légers en 1622. 1625 CONTEXTE : Ancienne cote : 1 BP 15851 |
17 F 1 "Les églises de l'ancien diocèse de Béziers d'après les visites pastorales", par l'abbé Jean Segondy : 5 fascicules dactylographiés, 998 pages. 1942 CONTENU ET STRUCTURE : Présentation du contenu : - Bibliographie et introduction, V + 136 pages. - 1e partie. La ville épiscopale de Béziers et son territoire, pages 137-423. - 2e partie. L'archiprêtré de Cazouls, pages 424-679. - 3e partie. L'archiprêtré du Pouget, pages 680-876. - 4e partie. L'archiprêtré de Boussagues (pages 877-980), suivi de la table générale des églises, pages 981-998. |
17 F 3 Les églises des archiprêtrés de Boussagues, Cazouls et Le Pouget dans le diocèse de Béziers. 1930-1976 CONTENU ET STRUCTURE : Présentation du contenu : Notes manuscrites. |
30 J 68/3 Procédures entre le chapitre de Saint-Nazaire de Béziers et les consuls de Cazouls, entre l'abbé de Foncaude, le chapitre et les consuls. Fragment, rôle de décimes de l'archiprêtré de Cazouls. XVIIe siècle CONTEXTE : Modalités d’entrée : Documents trouvés à l'occasion de rangement. INDEXATION : Indexation géographique : Cazouls-d'Hérault (Hérault, France) |
Archives communales de Cazouls-d'Hérault (68 EDT). Cote : 68 EDT 1-35, 67-280 Date(s) : 1327-1992 Importance matérielle (ml) : 7,80 ml CONTEXTE : Nom du producteur : Communauté de Cazouls, paroisse Saint-Pierre-et-Saint-Paul, commune de Cazouls-d'Hérault. Historique de la conservation : Les archives anciennes (antérieures à 1790) et la plupart des archives modernes (1790-1982) ont été déposées aux Archives départementales de l'Hérault en 2001, à l'exception de l'état civil. Ce dernier ainsi que quelques documents d'archives modernes datant de la seconde moitié du XXe siècle et les archives$$#160;contemporaines (postérieures à 1982) sont conservés en commune et ont fait l'objet d'un classement par la Mission Archives du Centre de gestion de l'Hérault en 2001. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt de la commune de Cazouls-d'Hérault (2003). Présentation du contenu : Le fonds déposé de Cazouls-d'Hérault couvre l'ensemble des domaines d'intervention de la commune. Pour la période ancienne, il comprend notamment un compoix datant de 1729, ainsi que deux registres paroissiaux couvrant la période 1640-1792. Le fonds d'archives modernes, postérieures à 1789, contient les délibérations communales de 1839 à 1982. A noter également, sous la cote 68 EDT 273 : un registre de la confrérie de Saint-Sébastien datant de 1751 ; et sous la cote 68 EDT 274 : un registre de catholicité couvrant la période 1805-1830. L'état-civil est conservé en commune. Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (État civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : Sous-série 30 J. Archives concernant les communes de l'Hérault : 30 J 68/1-3 Bibliographie : FIN'AMOR (Association). Cazouls d'Hérault : Imagier du pays entre vigne et eau. - Maraussan : Atelier Tintamarre.- 1 vol. (non paginé [98] p.) : ill., couv. ill., photo. ; 21 cm. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 6282) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives contemporaines de Cazouls-d'Hérault : répertoire numérique détaillé (1956-2001). - Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2001.- 24 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 5560) PECH-GOURG Joseph-Noël. Si Cazouls d'Hérault était conté. Nîmes : éd. Lacour, 1995. 90 p. (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole, coté OC944.840CAZ) REY DE LACROIX Michel-François. Montagnac et ses environs. Paris : Res Universis, 1990. 307 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 820) REY DE LACROIX Michel-François. Histoire statistique et archéologique de la ville de Montagnac : suivie d'une notice historique sur les onze communes de son canton. - Béziers : J.-J. Fuzier, 1843.- 307 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 820) ... FIN'AMOR (Association). Cazouls d'Hérault : Imagier du pays entre vigne et eau. - Maraussan : Atelier Tintamarre.- 1 vol. (non paginé [98] p.) : ill., couv. ill., photo. ; 21 cm. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 6282) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives contemporaines de Cazouls-d'Hérault : répertoire numérique détaillé (1956-2001). - Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2001.- 24 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 5560) PECH-GOURG Joseph-Noël. Si Cazouls d'Hérault était conté. Nîmes : éd. Lacour, 1995. 90 p. (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole, coté OC944.840CAZ) REY DE LACROIX Michel-François. Montagnac et ses environs. Paris : Res Universis, 1990. 307 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 820) REY DE LACROIX Michel-François. Histoire statistique et archéologique de la ville de Montagnac : suivie d'une notice historique sur les onze communes de son canton. - Béziers : J.-J. Fuzier, 1843.- 307 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 820) |
Archives communales de Cazouls-lès-Béziers (69 EDT). Cote : 69 EDT 1 Date(s) : 1724-1785 Importance matérielle (ml) : 0,15 ml CONTEXTE : Histoire : En 1761, la communauté de Cazouls comprend parmi ses dépendances les châteaux de Campagnols, de Savignac-le-Haut et le-Bas. La paroisse de Cazouls est placée sous le vocable de Saint-Saturnin. Les chapelles des châteaux de Campagnols et de Savignac étaient dédiées à Saint-André et à Saint-Sébastien. Le prieuré Saint-Hippolyte de Mairan appartenait au chapitre cathédral de Béziers. Bien que cités en 1790, Campagnols et Savignac sont intégrés à la commune de Cazouls. Historique de la conservation : Les documents conservés en dépôt aux Archives départementales de l'Hérault proviennent d'un tri en série L - Administrations et tribunaux de la période révolutionnaire. Le fonds d'archives de Cazouls-lès-Bézies est conservé dans la commune. Il a fait l'objet d'un classement par la Mission Archives du Centre de gestion de l'Hérault en 2018. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt de la commune de Cazouls-lès-Béziers. Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : 284 EDT 162. Cazouls-lès-Béziers : sentence, acte de division des terres, plan et notes (1604-XXe siècle). Bibliographie : L'antique chapelle de Notre-Dame d'Ayde au territoire de Cazouls-les-Béziers. - Montpellier : Impr. de la manufacture de la charité, 1901.- 31 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 1025) ASSOCIATION LITTERAIRE HISTORIQUE ET ARCHEOLOGIQUE DE CAZOULS-LES-BEZIERS. Cazouls-les-Béziers : mon village. - Cazouls-les-Béziers : Association littéraire, historique et archéologique de Cazouls-les-Béziers, 1990.- 156 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 2689) CASSAN Paul. La commanderie et la Paroisse de Campagnoles près Cazouls-Lès-Béziers (1109-1793). In : Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 1912 3e série, tome 10, pp. 5-142 (Archives départementales de l'Hérault, coté 1313) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune d'e Cazouls-lès-Béziers : répertoire numérique détaillé (1496 - 2017). - Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2018.- 218 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 11216) TAURINES Robert. Cazouls-lès-Beziers : un village languedocien. - Cazouls-les-Béziers (Hérault) : Ed. du Mont, 2013.- 1 vol. (175 p.) (Médiathèque départementale de l'Hérault, coté L 944.84 TAU) TIMBAL Pierre-Clément. Le Consulat de Cazouls-Lès-Béziers au 14e siècle. In : Mélanges Tisset, Pierre, Montpellier, Recueil... ... L'antique chapelle de Notre-Dame d'Ayde au territoire de Cazouls-les-Béziers. - Montpellier : Impr. de la manufacture de la charité, 1901.- 31 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 1025) ASSOCIATION LITTERAIRE HISTORIQUE ET ARCHEOLOGIQUE DE CAZOULS-LES-BEZIERS. Cazouls-les-Béziers : mon village. - Cazouls-les-Béziers : Association littéraire, historique et archéologique de Cazouls-les-Béziers, 1990.- 156 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 2689) CASSAN Paul. La commanderie et la Paroisse de Campagnoles près Cazouls-Lès-Béziers (1109-1793). In : Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 1912 3e série, tome 10, pp. 5-142 (Archives départementales de l'Hérault, coté 1313) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune d'e Cazouls-lès-Béziers : répertoire numérique détaillé (1496 - 2017). - Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2018.- 218 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 11216) TAURINES Robert. Cazouls-lès-Beziers : un village languedocien. - Cazouls-les-Béziers (Hérault) : Ed. du Mont, 2013.- 1 vol. (175 p.) (Médiathèque départementale de l'Hérault, coté L 944.84 TAU) TIMBAL Pierre-Clément. Le Consulat de Cazouls-Lès-Béziers au 14e siècle. In : Mélanges Tisset, Pierre, Montpellier, Recueil de mémoires et travaux publié par la Société d'Histoire du droit, fasc. 7 (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole, coté 88659) SABATIER E. Cazouls-Lès-Béziers et ses environs. In : Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 1839, 1e série, tome 3, pp. 11-22 (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole) |
Archives communales de Colombiers (81 EDT). Cote : 81 EDT 1-13 Date(s) : 1668-1888 Importance matérielle (ml) : 0,30 ml CONTEXTE : Histoire : En 1709, Colombiers est identifiée sous la variante Coulombiez. Historique de la conservation : Une partie des archives anciennes de Colombiers (antérieures à 1789) et des archives modernes datant du XIXe siècle sont conservées en dépôt aux Archives départementales de l'Hérault. L'autre partie de ces archives - dont les registres paroissiaux et d'état civil - ainsi que les archives modernes datant du XXe siècle et les archives contemporaines (postérieures à 1982) sont conservées dans la commune. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt de la commune de Colombiers (19 juillet 1922). Présentation du contenu : Le fonds ancien est composé de 2 compoix et de 2 registres de délibérations consulaires. Le fonds moderne est composé d'un ensemble de pièces couvrant la période révolutionnaire et le XIXème siècle, dont un registre de délibérations communales (1800-1838). Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : 284 EDT 165. - Colombiers : lettres de cassation pour les consuls contre les seigneurs (1673-1787). CC2 (en ligne sous la cote 210 PUB 2) - Communauté de Baillargues et Colombiers : brevette d'allivrement des lieux de Baillargues et Colombiers faite en 1686. CC3 (en ligne sous la cote 210 PUB 3) - Communauté de Baillargues et Colombiers : estimette de la communauté de Baillargues et Colombiers faite sur le compoix du dit lieu, comportant les mutation et précédée d'une table alphabétique des propriétaires. Bibliographie : LAISSAC Michel. Colombiers : 2.000 ans d'histoire. - Cazouls-les-Béziers (Hérault) : Ed. du Mont, 2015.- 1 vol. (302 p.) (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 7325)
LIGNON Laetitia. Colombiers, mon village : monographie d'un petit village de l'Hérault. - Paris : L. Lignon, cop. 1992.- 111 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 5755)
UNIVERSITE DU TIERS TEMPS DE MONTPELLIER. La poste aux chevaux : dans le département de l'Hérault, tout au long du grand chemin. - Montpellier : Université du Tiers Temps, 1988.- 21 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10315) |
Archives communales de Fouzilhon (105 EDT). Cote : 105 EDT 1-6 Date(s) : 1764-1931 Importance matérielle (ml) : 0,15 ml CONTEXTE : Histoire : Fouzilhon, commune héraultaise de 232 habitants (recensement de 2014), occupe un territoire de 539 hectares à l'ouest du département et est drainée par le ruisseau de la Lène. Appartenant au canton de Cazouls-lès-Béziers, la commune se trouve à 20 kilomètres au nord de Béziers, au sein de son arrondissement. Les premières mentions archivistiques de Fouzilhon remontent au début du XIIème siècle (Castrum de Fonzillone en 1127 dans le cartulaire du château de Foix, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). Toutefois, une présence humaine antérieure... ... Fouzilhon, commune héraultaise de 232 habitants (recensement de 2014), occupe un territoire de 539 hectares à l'ouest du département et est drainée par le ruisseau de la Lène. Appartenant au canton de Cazouls-lès-Béziers, la commune se trouve à 20 kilomètres au nord de Béziers, au sein de son arrondissement. Les premières mentions archivistiques de Fouzilhon remontent au début du XIIème siècle (Castrum de Fonzillone en 1127 dans le cartulaire du château de Foix, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). Toutefois, une présence humaine antérieure est attestée par l'archéologie puisque des fragments de poteries romaines ont été retrouvés. Les vestiges d'un aqueduc reliant Gabian à Béziers traversent également le territoire communal. Au Moyen-Age et à l'époque moderne, la vie économique de la communauté s'articule autour des cultures vivrières : essentiellement celle des céréales. Une partie de ces récoltes est ponctionnée par le chapitre de Cassan dans le cadre du paiement de la dîme. Une autre activité économique est constatée avec l'exploitation de carrières de plâtre. La vie spirituelle quant à elle s'organise autour de l'église Saint-Etienne. L'existence d'un compoix datant de 1764 apporte de précieuses informations sur la physionomie du village à l'époque : on y recense 28 feux soit environ 100 habitants. Un château en ruine, probablement détruit au XVIème siècle, et des remparts structurent également le village. A partir de 1790, la commune est dotée d'un conseil municipal. La vie politique s'organise autour de maires d'abord nommés puis élus. La vie économique reste surtout liée à l'agriculture avec un essor de la viticulture tout au long du XIXème siècle. On recense en 1836, 74 hectares de blé pour 110 hectares de vigne. En 1882, c'est 250 hectares de terre qui sont réservés à la culture du raisin. Les progrès techniques apportés par la Révolution industrielle permettent la modernisation des voies de communication et l'arrivée d'un nouveau confort de vie. Des routes sont construites ou modernisées. L'électricité et l'éclairage public se développent au début du XXème siècle avec le concours de la Société biterroise de force et lumière. Au XXème siècle, l'histoire de Fouzilhon reflète les évènements majeurs de l'histoire de France et de l'histoire locale. Après les crises viticoles des années 1900, la guerre de 1914-1918 voit dix Fouzilhanais tomber au front, morts pour la France. Après la crise économique de l'Entre-deux-guerres, la Guerre de 1939-1945 affecte le village qui est libéré le 31 août 1944 par le chef de Maquis Robert. Les Trente Glorieuses ouvrent une nouvelle période de modernisation avec d'importants chantiers d'électrification ou d'adduction d'eau qui touchent le village assez tardivement, surtout dans les années 1970. Parallèlement, l'exode rural affecte le village : on compte seulement 128 habitants en 1975 contre environ 200 habitants avant-guerre. Depuis les années 2000, la population augmente à nouveau : la commune n'a jamais été aussi peuplée. Historique de la conservation : Le fonds ancien, très lacunaire, ne comprend qu'un compoix déposé aux Archives départementales de l'Hérault. Quelques documents d'archives modernes antérieurs à 1914 ont également été déposés. L'essentiel des archives modernes (1790-1982) ainsi que les archives contemporaines (postérieures à 1982) sont conservés dans la commune et ont fait l'objet d'un classement par la Mission Archives du Centre de gestion de l'Hérault en 2017. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt de la commune de Fouzilhon complété le 12 janvier 2018 (entrée n°6542). Présentation du contenu : Le fonds déposé comprend un compoix de 1764 et quelques pièces documentant la vie de la commune au XIXème siècle et au début du XXème siècle. Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : Série E. Féodalité, communes, bourgeoisie, famille. 1 E 88-121. Famille Ferroul de Fouzilhon, 1260-1887. Bibliographie : CROUZAT Alfred. Histoire de la ville de Roujan et du prieuré de Cassan : suivie d'une notice sur les diverses communes du canton.- Béziers : Vve Millet, 1859.- 284 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 842) FABRE Albert. Histoire des communes de l'Hérault : Roujan et les communes du canton. - Mâcon : éd. Protat frères, 1894, XXVIe vol. ; 32 p. (disponible dans Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5425045n) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune de Fouzilhon : répertoire numérique détaillé (1793-2016). - Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2017.- 82 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10889) INDEXATION : Indexation géographique : Fouzilhon (Hérault, France) |
Archives communales de Maraussan (148 EDT). Cote : 148 EDT 1-70 Date(s) : 1449-1793 Importance matérielle (ml) : 4,2 ml CONTEXTE : Histoire : La commune de Maraussan est située sur le cours de la rivière Orb, à proximité de Béziers. Les premières mentions archivistiques de Maraussan remontent au XIe siècle (Maraucianum en 1097, dans le Livre Noir, cartulaire de l'église cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). On trouve également la mention Rector de Marausano dans un rôle des dîmes des églises de Béziers en 1323. Cependant, des vestiges datant des époques néolithique et romaine, attestent de l'ancienneté de l'implantation humaine sur le site.... ... La commune de Maraussan est située sur le cours de la rivière Orb, à proximité de Béziers. Les premières mentions archivistiques de Maraussan remontent au XIe siècle (Maraucianum en 1097, dans le Livre Noir, cartulaire de l'église cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). On trouve également la mention Rector de Marausano dans un rôle des dîmes des églises de Béziers en 1323. Cependant, des vestiges datant des époques néolithique et romaine, attestent de l'ancienneté de l'implantation humaine sur le site. Les traces de la présence des Wisigoths sont également visibles : des fouilles ont mis à jour une tombe et un sarcophage. Lors de la croisade contre les Albigeois, Maraussan n'est pas épargnée. En 1209, lors d'une invasion ayant abouti au sac de Béziers, la ville est pillée. Peu après, en 1230, l'évêque de Béziers prend ses quartiers à Maraussan, plus précisément à Villenouvette. Il y érige l'actuelle église de La Trinité sur les fondations d'une chapelle. Villenouvette est citée dans le Livre Noir en 897. La Vicaria perpetua de Villanova est mentionnée en 1325, puis la Vicaria Perpetua de Villenoveta en 1518 et la seigneurie de Villenouvette en 1529. Le hameau de Villenouvette est une seigneurie de la viguerie de Béziers au XVIe siècle. Sous l'Ancien Régime, Maraussan est l'une des cent-trois communautés dépendant de l'évêché de Béziers. Elle est le siège d'une justice royale et bannerète ressortissant à la sénéchaussée et au présidial de Béziers en première instance. A partir du XVIIe siècle, l'administration consulaire se développe. En 1761, la communauté a pour dépendances le château de Perdiguier et Villenouvette. Ce château est construit au XIVe siècle par Jean Perdiguier - trésorier général du Languedoc à qui le roi Charles V cède tous les biens en 1375 - sur les ruines d'une bastide datant du XIIIe siècle. Le saint patron de la paroisse est Saint-Symphorianus et l'église paroissiale dépend de l'archiprêtré de Cazouls-lès-Béziers. Au XVIIIe siècle, c'est une cure-prieuré de la mense du chapître de Saint-Nazaire-de-Béziers. En 1790, la commune de Maraussan se dote d'un conseil municipal et forme, avec les communes de Maureilhan-et-Ramejan, Cazouls-lès-Béziers et Puisserguier, le canton de Cazouls-lès-Béziers. Le hameau de Villenouvette dépend du canton de Béziers. Il est rattaché à la commune de Maraussan le 8 décembre 1793. Cette dernière prend alors le nom de Maraussan-et-Villenouvette. Lorsque le canton de Cazouls-lès-Béziers est supprimé par un arrêté des consuls en date du 3 brumaire an X, Maraussan-et-Villenouvette intègre le deuxième canton de Béziers. Dans les années 1960, une portion du territoire de Béziers est rattachée à Maraussan. Au XIXe siècle, la commune développe ses infrastructures. Une école de garçons, puis une école de filles, sont construites dans les années 1870, la gratuité de l'enseignement ayant été votée par le Conseil municipal en 1871. En 1891, avec la construction du pont de Tabarka, de type Eiffel, Maraussan est raccordée au réseau ferroviaire sur la ligne Béziers - Saint-Chinian. Après la fermeture de la ligne ferroviaire en 1968, le pont, qui enjambe la rivière Orb, est réhabilité en pont routier. Des infrastructures sportives voient également le jour au tournant du XXe siècle, dont le Racing Club Maraussanais, en 1911. La vie économique de la commune est essentiellement tournée vers la viticulture, et ce dès l'occupation du territoire par les Romains au début de notre ère. Jusqu'au début du XIXe siècle, on pratique également la culture de l'olivier, de l'amandier et des céréales. L'importance de la vigne croît au XIXe siècle avec l'acquisition par la commune de terres appartenant à des nobles émigrés. A cette époque, on produit en particulier du vin de Muscat. En 1901, plusieurs petits propriétaires s'unissent pour créer la Société des Vignerons Libres dans le but de s'affranchir de la tutelle des négociants pour la commercialisation du vin. Les viticulteurs construisent une cave commune en 1904 et crééent leur propre marque. L'initiative aboutira en 1905 à la création de la première cave coopérative viticole de France. La cave est visitée par Jean Jaurès, venu assister à un banquet syndical le 1er mai 1905. Elle est classée à l'inventaire des Monuments historiques depuis la fin des années 1960, et est aujourd'hui la propriété des Vignerons du Pays d'Ensérune. La ville connaît un fort accroissement de population au XIXe siècle avec l'arrivée d'ouvriers agricoles, puis à partir des années 1960. Historique de la conservation : Les archives anciennes de Maraussan, antérieures à 1790, ont fait l'objet d'un dépôt aux Archives départementales de l'Hérault. Le fonds moderne (1790-1982), a été restitué à la commune en 2012, lors du classement des archives non déposées de la commune par la Mission Archives du Centre de gestion de l'Hérault. Les archives contemporaines (postérieures à 1982) sont également conservées en commune et ont été classées par la Mission Archives. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt de la commune de Maraussan, complété par des dépôts en date du 1er juillet 2016 (entrée n° 6238) et du 13 octobre 2022 (entrée n° 7568) et par une réintégration en date du 21 octobre 2022 (entrée n° 7573). Présentation du contenu : Le fonds ancien déposé de Maraussan comprend notamment une importante collection d'actes consulaires : délibérations depuis 1624 et comptes depuis 1623, ainsi que plusieurs compoix datant des XVIIème et XVIIIe siècles et les registres des paroisses de Saint-Symphorien (1620-1792) et Notre-Dame de Villenouvette (1661-1758). Il contient également, sous la cote 148 EDT 1, des reconnaissances des fiefs du roi et des seigneurs datant du XVIIe siècle ; et sous la cote 148 EDT 43, des inventaires d'archives (1654-1733). On notera également plusieurs pièces remarquables relatives à la vie religieuse de la communauté aux XVIIe et XVIIIe siècles : procès-verbaux de visites pastorales cotés 148 EDT 34, documents relatifs à la fondation et à la gestion de l'Hermitage de Notre-Dame-de-la-Providence cotés 148 EDT 36, archives de diverses confréries et de la chapellenie de la Sainte-Trinité sous les cotes 148 EDT 37 à 40. Un très beau plan du cours de la rivière d'Orb, consultable en ligne, est coté 148 EDT 60. Le fonds moderne déposé contient quelques pièces datant de la période révolutionnaire : des documents relatifs à la vente de l'Hermitage comme bien national cotés 148 EDT 69, et des archives de Villenouvette - érigée en commune en 1790 puis rattachée à Maraussan en décembre 1793. ... ... Le fonds ancien déposé de Maraussan comprend notamment une importante collection d'actes consulaires : délibérations depuis 1624 et comptes depuis 1623, ainsi que plusieurs compoix datant des XVIIème et XVIIIe siècles et les registres des paroisses de Saint-Symphorien (1620-1792) et Notre-Dame de Villenouvette (1661-1758). Il contient également, sous la cote 148 EDT 1, des reconnaissances des fiefs du roi et des seigneurs datant du XVIIe siècle ; et sous la cote 148 EDT 43, des inventaires d'archives (1654-1733). On notera également plusieurs pièces remarquables relatives à la vie religieuse de la communauté aux XVIIe et XVIIIe siècles : procès-verbaux de visites pastorales cotés 148 EDT 34, documents relatifs à la fondation et à la gestion de l'Hermitage de Notre-Dame-de-la-Providence cotés 148 EDT 36, archives de diverses confréries et de la chapellenie de la Sainte-Trinité sous les cotes 148 EDT 37 à 40. Un très beau plan du cours de la rivière d'Orb, consultable en ligne, est coté 148 EDT 60. Le fonds moderne déposé contient quelques pièces datant de la période révolutionnaire : des documents relatifs à la vente de l'Hermitage comme bien national cotés 148 EDT 69, et des archives de Villenouvette - érigée en commune en 1790 puis rattachée à Maraussan en décembre 1793. Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : Sous-série 30 J. Archives concernant les communes de l'Hérault : 30 J 148/1 Bibliographie : AVENIR DES VIGNERONS LIBRES, CLAIR Roger, ROUSSEL Léa. Maraussan : toute une histoire... famille Louis Tarbouriech. - Maraussan : Avenir des vignerons libres, [ca 2010].- 65 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 5883) LAURAIRE Richard. Maraussan, production et producteurs d'un patrimoine social : de la célébration historiographique au rite d'initiation (rapport final). - [S.l.] : Atelier de rencontres et de recherches comparatives en ethnologie, 1998.- 163 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 4948) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune de Maraussan : répertoire numérique détaillé (1790-2023). Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2023.- 167 p. TARBOURIECH Louis, QUEMENEUR Marie-Claude, GUIRAUD Robert, [et al.]. Les vignerons libres de Maraussan : naissance de la coopérative vinicole : 1901-1918. - [S.l.] : [s.n.], [1990-2000].- 24 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 5122) VARALDI-BALAMAN Pierre. Maraussan près Béziers, village occitan : deux mille ans d'histoire. - [S.l.] : [s.n.], 1981. - 186 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 2720) ... AVENIR DES VIGNERONS LIBRES, CLAIR Roger, ROUSSEL Léa. Maraussan : toute une histoire... famille Louis Tarbouriech. - Maraussan : Avenir des vignerons libres, [ca 2010].- 65 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 5883) LAURAIRE Richard. Maraussan, production et producteurs d'un patrimoine social : de la célébration historiographique au rite d'initiation (rapport final). - [S.l.] : Atelier de rencontres et de recherches comparatives en ethnologie, 1998.- 163 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 4948) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune de Maraussan : répertoire numérique détaillé (1790-2023). Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2023.- 167 p. TARBOURIECH Louis, QUEMENEUR Marie-Claude, GUIRAUD Robert, [et al.]. Les vignerons libres de Maraussan : naissance de la coopérative vinicole : 1901-1918. - [S.l.] : [s.n.], [1990-2000].- 24 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 5122) VARALDI-BALAMAN Pierre. Maraussan près Béziers, village occitan : deux mille ans d'histoire. - [S.l.] : [s.n.], 1981. - 186 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 2720) |
Archives communales de Montesquieu (168 EDT). Cote : 168 EDT 1-98 Date(s) : 1649-1987 Importance matérielle (ml) : 3,2 ml CONTEXTE : Histoire : Montesquieu fait partie des communes du nouveau canton de Cazouls-lès-Béziers, dans l'arrondissement de Béziers, et est constitué de plusieurs hameaux : Montesquieu-Mas-Rolland avec le vieux village et le château en ruines, Paders, Fournols, Mas-Castel, Valeuzières, Mas-Cabanis et l'Aumône. L'environnement géologique de cette commune est complexe du fait de la diversité des roches présentes dans son sol : quartz, schiste, calcaire, et même basalte qui atteste de l'ancienne activité volcanique en Auvergne. L'archéologie, quant à elle, nous renseigne sur l'occupation préhistorique de cette... ... Montesquieu fait partie des communes du nouveau canton de Cazouls-lès-Béziers, dans l'arrondissement de Béziers, et est constitué de plusieurs hameaux : Montesquieu-Mas-Rolland avec le vieux village et le château en ruines, Paders, Fournols, Mas-Castel, Valeuzières, Mas-Cabanis et l'Aumône. L'environnement géologique de cette commune est complexe du fait de la diversité des roches présentes dans son sol : quartz, schiste, calcaire, et même basalte qui atteste de l'ancienne activité volcanique en Auvergne. L'archéologie, quant à elle, nous renseigne sur l'occupation préhistorique de cette partie de l'Hérault. La grotte de Caramaou, près de Valeuzières, a révélé cette activité humaine par de nombreux ossements et outils, de même que la grotte des Landes au cours des fouilles de sauvegarde en 1983 où du bronze a été découvert. Les premières mentions du village de Montesquieu se trouvent dans des documents du XIe au XIIIe siècle, faisant de ce lieu l'une des seigneuries les plus vieilles du Bas-Languedoc. Les seigneurs de Montesquieu sont connus dès l'année 1047 et plusieurs familles ont dirigé ce fief dont les Lauzières et les Beaulac. Le toponyme à l'époque médiévale change selon les aléas de l'orthographe : Monteschivum ou Montesquivum. La seigneurie comprenait uniquement les territoires de Mas-Rolland, de Paders et de Valeuzières ; Fournols, le Mas-Castel et l'Aumône appartenaient alors à Pézènes et à Fos. Toutefois, l'église du hameau de Paders, utilisée par la paroisse de Montesquieu, est rattachée au prieuré de Fos. Dès les années 1800, la démographie de la commune explose avec l'arrivée massive d'Italiens de Lombardie employés à l'industrie du charbon, propice dans une région aussi forestière que celle de Montesquieu. Pourtant, elle est amenée à chuter dès la fin de la Seconde Guerre mondiale. D'après le recensement de 2013, la commune compterait aujourd'hui 64 habitants. La baisse démographique entraînant également une baisse de l'activité économique, l'économie de Montesquieu repose aujourd'hui essentiellement sur l'agriculture céréalière et l'élevage caprin. Les quelques vignes présentes sur le territoire furent détruites par le phylloxera dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Historique de la conservation : Les documents de Montesquieu étaient conservés dans des salles attenantes à la mairie dont le premier classement par les Archives départementales a été opéré en 1997 par Françoise Mazars suite à une inspection communale. Un premier inventaire a donc été rédigé et concernaient les cotes 168 EDT 1 à 73. Les archives antérieures à 1790 sont quasi inexistantes. L'instrument de recherche a ensuite été complété en 2013 suite à la visite des Archives départementales. Le classement a été réalisé du 22 novembre au 4 décembre 2016. Les documents traités ont été cotés en 168 EDT 74 à 98. Sont ainsi... ... Les documents de Montesquieu étaient conservés dans des salles attenantes à la mairie dont le premier classement par les Archives départementales a été opéré en 1997 par Françoise Mazars suite à une inspection communale. Un premier inventaire a donc été rédigé et concernaient les cotes 168 EDT 1 à 73. Les archives antérieures à 1790 sont quasi inexistantes. L'instrument de recherche a ensuite été complété en 2013 suite à la visite des Archives départementales. Le classement a été réalisé du 22 novembre au 4 décembre 2016. Les documents traités ont été cotés en 168 EDT 74 à 98. Sont ainsi conservées en dépôt aux Archives départementales de l'Hérault : les archives anciennes et les archives modernes jusqu'en 1950, à l'exception des registres d'état civil à partir de 1854, conservés en commune. Les archives modernes postérieures à 1950 et les archives contemporaines (postérieures à 1982) sont conservées en commune et ont fait l'objet d'un classement par la Mission Archives 34 du Centre de gestion de l'Hérault en 2016. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt de la commune de Montesquieu, complété le 05/07/2013 (entrée n°5510). Présentation du contenu : Montesquieu possède un fonds d'archives de petite taille dont les archives anciennes sont très peu nombreuses. Le plus ancien document remonte à 1649 et le plus récent à 1987. Le seul document concernant les archives sous l'Ancien Régime se trouve dans la série CC Finances, impôts et comptabilité avec un compoix malheureusement incomplet mais restauré et numérisé. Les archives modernes, postérieures à 1790, sont plus nombreuses et donnent un bon aperçu de l'histoire de Montesquieu durant les deux derniers siècles. Les séries A Lois et actes du pouvoir central, B Actes de l'administration départementale et C Bibliothèque administrative ne contiennent aucun document. La série D Administration générale de la commune réunit les 12 registres de délibérations communales de 1792 à 1978, des actes administratifs sur les années 1926 et 1927, mais également des arrêtés du maire de 1843 à 1864 et des procès-verbaux des délimitations du territoire de la commune de 1830. Des contentieux entre la ville et des communes ou des particuliers entre 1938 et 1839 viennent compléter cette série. La série E Etat civil regroupe les registres de naissances, mariages et décès, ainsi que les tables décennales. La période couverte va de 1792 à 1919. Certains registres mêlent tables décennales et... ... Montesquieu possède un fonds d'archives de petite taille dont les archives anciennes sont très peu nombreuses. Le plus ancien document remonte à 1649 et le plus récent à 1987. Le seul document concernant les archives sous l'Ancien Régime se trouve dans la série CC Finances, impôts et comptabilité avec un compoix malheureusement incomplet mais restauré et numérisé. Les archives modernes, postérieures à 1790, sont plus nombreuses et donnent un bon aperçu de l'histoire de Montesquieu durant les deux derniers siècles. Les séries A Lois et actes du pouvoir central, B Actes de l'administration départementale et C Bibliothèque administrative ne contiennent aucun document. La série D Administration générale de la commune réunit les 12 registres de délibérations communales de 1792 à 1978, des actes administratifs sur les années 1926 et 1927, mais également des arrêtés du maire de 1843 à 1864 et des procès-verbaux des délimitations du territoire de la commune de 1830. Des contentieux entre la ville et des communes ou des particuliers entre 1938 et 1839 viennent compléter cette série. La série E Etat civil regroupe les registres de naissances, mariages et décès, ainsi que les tables décennales. La période couverte va de 1792 à 1919. Certains registres mêlent tables décennales et registres d'actes. La série F Population, économie sociale, statistique rassemble quelques documents de recensement durant la période allant de 1876 à 1931. Les documents sur l'agriculture sont plus nombreux (1900-1942), avec beaucoup de registres sur les productions céréalière et viticole et les calamités agricoles. Certains documents sur les débuts de la mécanisation de l'agriculture et de la production intensive sont à noter (1942). La série G Contributions, administrations financières regroupe les documents liés aux impôts ordinaires et extraordinaires (cadastres, contributions). Les matrices cadastrales sont rassemblées dans cette série et couvrent les années 1795 à 1976. Quelques registres de déclarations sont présents, ainsi que les listes de nomination des répartiteurs. La série H Affaires militaires comprend les listes nominatives pour le service militaire, mais également les recensements de matériel pour les campagnes militaires et l'activité de la garde nationale mobile. La période couverte va de 1807 à 1934. La série I Police, hygiène publique, justice permet de connaître l'activité de la police à Montesquieu mais également les mouvements d'immigration avec des cahiers d'enregistrement des étrangers arrivant dans la commune. La série K Elections et personnel rassemble les archives concernant les élections tant politiques que socioprofessionnelles du personnel communal et leur organisation. La série L Finances de la commune réunit la comptabilité communale avec ses journaux de comptes, les dépenses et les recettes de la commune et l'état de son budget. C'est un ensemble assez conséquent qui permet de connaître la gestion de la commune durant tout le XIXe siècle et une bonne partie du XXe. La série M Edifices communaux, monuments et établissements publics comporte peu de documents sur les bâtiments municipaux. La série N Biens communaux, terres, bois, eaux apporte un complément à la série M en renseignant sur l'utilisation des terrains de la commune. La série O Travaux publics, voirie, moyens de transport, régime des eaux présente un intérêt particulier sur les travaux routiers, les ponts, les chemins ainsi que le réseau électrique dans une commune assez enclavée. La série Q Assistance et prévoyance renseigne sur l'œuvre sociale de la commune depuis la fin du XIXe siècle. Enfin, la série R Instruction publique, sciences, lettres et arts ne comporte que quelques documents sur le fonctionnement des établissements scolaires de Montesquieu à la fin du XIXe siècle. Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. A noter en particulier le Diocèse civil : C 12911 Comptes des communautés d'habitants. - Montblanc (1636,... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. A noter en particulier le Diocèse civil : C 12911 Comptes des communautés d'habitants. - Montblanc (1636, 1706-1739, 1770). Montesquieu (1787). Murviel et Mus (1752, 1754). 1636-1787 La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). A noter en particulier : 10 B 1181 Procédures. - 2491. Guillaume Couderc, originaire de Montesquieu, berger à Servian, contre André Bournhonet et Guillaume Falgas, berger, dudit lieu, pour coups et blessures. Rapport de chirurgien. 1754 Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. A noter en particulier sur le Directoire du département et l'administration centrale : L 1109 Dénombrement numérique et nominatif de la population des communes du canton de Roujan. an V L 1115 États statistiques des naissances, mariages, divorces et décès de l'an IV dans les communes composant le canton de Roujan. an V L 1424 « Etat des dettes, tant en capitaux qu'en intérêts, biens, propriétés foncières et créances actives des municipalités du département » ; états des biens mobiliers et immobiliers, en exécution de la loi du 10 août 1791 : communes de Fabrègues à Nébian. 1791 L 1586 Vérification et évaluation des propriétés foncières du canton de Roujan pour l'établissement des impositions, procès-verbaux des commissaires en exécution de la loi du 8 messidor an IV. An IV L 4048 Comptes décadaires, analyses des opérations des municipalités et comités de surveillance des communes du canton de Roujan. An II-an III L 4200 Etats de la population des communes du district. Communes des cantons de Roujan. 1792 L 4237 Tableaux nominatifs de recensement des grains et farine existant dans les communes du district en frimaire an III, de ceux nécessaires aux semailles ; population des communes, déclarations de récolte des propriétaires, visites domiciliaires, correspondance : communes du canton de Roujan. An II-an III L 4253 Cahiers d'enregistrement des déclarations des citoyens qui ont récolté du blé ou autres frains dans les communes du canton de Roujan. 1793 L 4292 Etats détaillés des dettes actives et passives des communes du canton de Roujan avec pièces justificatives (nombreuses antérieures à 1789). 1791-an III L 4343 Matrices de la contribution foncière de 1791. Communes de Maureilhan à Portiragues. 1791 L 4350 Matrices de la contribution mobilière pour 1791. Communes de Mèze à Villeveyrac. 1791 L 4366 Rôles supplémentaires des impositions des biens privilégiés pour 2e semestre 1789. Communes de Magalas à Pézenas. 1789 L 4411 Organisation des gardes nationales du district en exécution de la loi du 29 septembre 1791 dans le canton de Roujan. 1792 En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) La consultation de la sous-série 5 K qui regroupe les archives du Conseil de Préfecture pourra être utile. A noter en particulier : 5 K 286 Affaires jugées en 1916-1919. - Montesquieu : dommages causés par la construction d'un puits. 1918 5 K 535 Affaires jugées en 1932. - Montesquieu : action en exécution de travaux d'étanchéité d'une rigole. 1932 5 K 555 Affaires jugées en 1952. - Montesquieu : demande de dommages suite à un accident d'automobile. 1952 Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. A noter en particulier : 2 O 168/1 Assurances, comptabilité, police municipale. 1886-1934 2 O 168/2 Ecoles et mairies. 1879-1939 2 O 168/3 Eglise. - Rejet d'une demande de secours de l'état pour réparations de l'église réunie à celle de Fos (1833), chapelle de Paders : liste des habitants qui s'engagent à concourir à la dépense pour assurer le traitement du desservant pour la messe dominicale (1872-1873), (1886), imposition et demande de secours (1893) - Séparation de l'église et de l'État : circulaire préfectorale (28 octobre 1909) attribuant à la Fabrique succursale de Fos les objets mobiliers renfermés dans l'église annexe communale de Montesquieu. Grosses réparations à l'église, aux murs du cimetière, à la mairie et à l'école (1932-1935) grosses réparations à l'église de Paders (1938-1940). Réparation du four communal du Mas de Rolland et reconstruction de celui du hameau de Paders (1912-1913). 1872-1940 2 O 168/4 Terrain communal, cimetière. 1807-1940 2 O 168/4-1 Bien communal non bâti. - Village de Montesquieu, section B : plan cadastral (extrait). s.d. 2 O 168/5 Adduction d'eau. 1885-1939 2 O 168/6 Electricité. 1930-1937 2 O 168/7 Assainissement. 1929-1939 En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. A noter en particulier : 3 O 53 Chemins vicinaux ordinaires. - V. O. 2 : de Gabian à Margon (1862-1895) ; V. O. 3 : de Gabian à Montesquieu (1862-1907) ; V. O. 5 : de Gabian à Fos (1893-1903) ; V. O. 7 : dit de Sainte-Cécile (1866-1868) ; V. O. 8 : dit d'Oulho (1874-1876) ; V. O. 9 : de Gabian à Néffies (1873-1882). 1862-1907 En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). A noter tout particulièrement : 4 O 230 Dons et legs. - Montesquieu : Roque Rose, veuve Durand Louis (commune, 1933), voir dossier 4 O 454 ; Abbes Félicie, Castan Léopold (commune, 1933). 1933 Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). A noter en particulier sur l'administration générale du département et les fonds du cabinet du préfet : 1 M 878 Evénements politiques locaux, arrondissement de Béziers : correspondance générale du sous-préfet avec le préfet et les maires concernant les affaires politiques de l'arrondissement (août 1815- février 1816). - « Montesquieu : Pagès, ex-adjoint au maire demande protection, octobre ». 1815-1816 1 M 1150 Affaires communales diverses soumises au cabinet du préfet. - Ordre alphabétique des communes : L à M. XIXe-XXe siècles Concernant le cadastre : 3 P 76 Opérations cadastrales : dossiers communaux. - Montblanc, 1806-1835 ; Montels, an XI-1812 ; Montesquieu, 1834-1836; Montferrier, 1806-1824 ; Montouliers, an XIII-1836 ; Montoulieu, 1837. An XI-1837 3 P 121 Délimitations des communes, contestations. - (&) Montesquieu - Valmascle, 1836-1838. 1836-1838 3 P 1626 Tableau indicatif, classement, expertise. 1834 3 P 1627 Matrice des propriétés foncières. 1834 3 P 1628 Matrice des propriétés bâties. 1882 3 P 1629 Matrice des propriétés non bâties. 1913-1954 3 P 1630 Matrice des propriétés bâties. 1910-1954 3 P 3596 Plans. - Tableau d'assemblage : Montesquieu. Section A1 des Fournols, parcelles 1-35. Section A2 des Fournols, parcelles 36-246. Section B1 de Paders, parcelles 1-213. Section B2 de Paders, parcelles 214-377. Section C1 du Mas Rolland et de La Métairie Valuzière, parcelles 1-332. Section C2 du Mas Rolland et de La Métairie Valuzière, parcelles 333-605. Section C3 du Mas Rolland et de La Métairie Valuzière, parcelles 606-748. Section D du Village, parcelles 1-269. 1833 Concernant les postes et télécommunication : 6 P 49 Bureaux de poste : dossiers par commune. - (&) « Montesquieu (voir aussi Gabian, 6 P 47, et Roujan, 6 P 52) ». 1808-1934 Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. A noter en particulier : 6 M 500 Montesquieu (lacune 1846). 1836-1936 La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. A noter en particulier sur les plébiscites et les élections : 3 M 1136-1255 Élections législatives. 1800-1936 3 M 1256-1322 Élections sénatoriales. 1876-1938 3 M 1323-1815 Élections des conseillers généraux et conseillers d'arrondissement. 1833-1938 3 M 1816-2561 Élections municipales. 1830-1939 Ou sur le travail et la main-d'œuvre : 10 M 133 Dossiers instruits par la commission départementale : rôles des journées d'ouvriers avec liste nominative ; calcul des subventions pour les communes de Lespignan à Montferrier. 1934-1937 10 M 137 Idem pour les communes de Maraussan à Olonzac. 1936-1937 10 M 143 Idem pour les communes de Maureillan à Oupia. 1937-1938 10 M 150 Idem pour l'arrondissement de Béziers (ordre alphabétique des communes). 1938-1939 La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. A noter en particulier : 7 S 186 Barrages d'usine et d'irrigation, travaux, murs de défense et de clôture, alignements, ponts, passerelles et ponceaux : Peyne. - Montesquieu, Roujan, Alignan-du-Vent : affaires Poitevin, Peytavi et Coutou (travaux offensifs), Bouys, Sans et Théron (idem), Serin et Espagnac (idem), délimitation, passerelle, plans. 1817-1926 7 S 395 Cours d'eau non navigables ni flottables : curages. - Peyne (Pézenas, Montesquieu, Vailhan), Pézenas (Arnet, les Aires), plans. 1860-1938 7 S 800 Barrages d'usine et d'irrigation, travaux, murs de défense et de clôture, alignements, ponts, passerelles et ponceaux : Paders. - Montesquieu : avant-projet de construction d'un pont par le Génie rural (1934- 1938). Montesquieu : avant-projet de construction d'un gué par le Génie rural (1930). 1930-1938 Série T. Enseignement général. Affaires culturelles. Sports Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. A noter tout particulièrement : 1 T 4748 Enseignement primaire. - Nissan-Montesquieu. 1875-1882 Les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. La série Z regroupe les archives des sous-préfectures. A noter en particulier : 1 Z 214 Comptabilité : budgets, chapitres additionnels et comptes administratifs. - Montesquieu. 1931-1939 Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. A noter en particulier : 1 Fi 292 Carte topographique et minéralogique de la commune de Montesquieu. s.d. 9 Fi 262 Montesquieu. [Planche] XX / A. Fabre ; Gravé par Lucien Gautier ; [Macon], [s.n.], [1894 ?]. 1894 9 Fi 274 Grotte de Caramaou. Commune de Montesquieu. [Planche] XXter / A. Fabre ; Phototypie Belloti, Saint-Etienne ; [Macon], [s.n.], [1894 ?]. 1894 9 Fi 273 Montesquieu. Ruines du château. [Planche] XXbis / A. Fabre ; Phototypie Belloti, Saint-Etienne ; [Macon], [s.n.], [1894 ?]. 1894 Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. A noter en particulier : 1 J 800 Reconnaissances consenties à François de Beaulac, chevalier, conseiller du roi, président trésorier grand voyer de France, général des finances en la généralité de Montpellier, intendant des gabelles de Languedoc, baron de Montesquieu et de Pézènes, seigneur de Poussec, Valmascle, La Braugne, Roudanergue, Carlencas, Générac et autres places pour la terre de Pézènes, divisée en masades. 1651 1 J 801 Reconnaissances consenties à François de Beaulac pour la terre de Montesquieu, divisée en masades. 1652 171 J Fonds des familles de Lauzières-Thémines et Teissier. 1360-1934 Les fonds de la famille Gineste et Roux de Puivert (série J uniquement) : 203 J 73 Hommages et reconnaissances : (&) f° 142. Saix de Montesquieu pour une portion de Rayssac. 1399-1418 203 J 74 Sommaire des dénombrements des gentilshommes de la sénéchaussée de Carcassonne : f° 53. Jean de Faugères, château de Faugères, "où il a de fort beaux droits" à Pézenas, la ville de Faugères sauf ce que le seigneur de Montesquieu y lève, ville de Hérépie, 1/2 de Brenas et Saint-Thibéry. 1389-1390 203 J 78 Famille alliée des Mauléon : documents généalogiques. Actes communiqués par le marquis de Montesquieu (1539-1678), paraphé par Bertrand de Montesquieu (10 septembre 1761) - Etat "inventaire des actes qui se trouvèrent au château de Nébias après la mort d'Hugues de Mauléon" (1618, visé en 1784). 1371-1784 203 J 83 Famille alliée des Mauléon : titres. Transaction entre Thimoléon de Mauléon, baron de Durban d'une part et Alexandre de Montesquieu, baron de Faget d'autre, Antoine Bessier, notaire (26 novembre 1662). 1604-1784 203 J 86 Alliance de Garaud : titres. Hommage et serment de fidélité au roi par Blaise de Garaud (27 novembre 1664) et son dénombrement devant les trésoriers généraux de France en la généralité de Toulouse pour ses châteaux, domaines, juridictions et possessions à Vieillevigne, Montesquieu et Saint-Rome, château où il fait sa demeure, 16 folios (7 mai 1664). 1521-1676 203 J 87 Alliance de Béon : titres anciens. Contrats de mariage, de Jean de Béon, sieur de Bière et demoiselle Louise de Montesquieu d'Anglois Bertain notaire (4 mars 1571). Hommage de Jean de Béon, sieur de Bière bisaïeul du défendeur de sa maison de Bière à Jean de Montesquieu, baron dudit lieu (4 novembre 1589), extrait des nobles servant de la baronnie de Montesquieu pour le service du roi... (1591) où l'aïeul du défendeur est attesté, autre dénombrement rendu par le seigneur de Montesquieu de sa baronnie où il fait état de plusieurs nobles et entre autres Jean de Béon (3 février 1625). 1487-1700 203 J 94 Saint-Jean d'Hounoux : accord Françoise de Montesquieu veuve de Thimoléon de Saint-Jean, seigneur d'Hounoux, soeur de Gaston de Montesquieu, abbé commandataire de Notre-Dame de Villelongue d'une part et le sieur Vincent Moreau, receveur des tailles au diocèse de Mirepoix, adjudicataire des biens de feu René Viau, vivant bourgeois de Fanjeaux, ce dernier acquéreur du comte de Cabrariet, de biens et métairies dans la seigneurie de Monternilh, dépendant de l'abbaye de Notre-Dame de Villelongue, pour règlement de droits lods et autres arrérages dus (29 juin 1632). Transport de Philippe Saint-Félix, seigneur de Mauremont débiteur de Anne de Saint-Félix sa soeur, 11400 livres à prendre sur dame Françoise de Montesquieu, dame d'Hounoux, Jean Pascal, notaire (31 mars 1631). Messive de Françoise de Montesquieu, Villelongue (20 mai 1633). Accord entre les sieurs de Montesquieu et Françoise de Montesquieu veuve précitée, Barthélémy Farenc, notaire (20 juin 1638). 1627-1715 203 J 102 Divers : Testament clos de Gaston de Montesquieu, abbé commendataire de Villelongue, ordre de Citeaux ; légat en faveur de Jean de Montesquieu, sieur de Constausse son frère aîné, François de Montesquieu, sieur de Rochefort, Pierre de Montesquieu, sieur de Saint-Louis autres frères, héritiers Françoise de Montesquieu, sa soeur et François de Saint-Jean et Thurin son neveu fils de sa soeur et de Thimoléon de Saint-Jean et Thurin seigneur d'Hounoux, substitue autre premier enfant mâle de sa soeur, puis Jeanne, Marie et Anne de Saint-Jean ses nièces, fait à Notre-Dame de Villelongue (28 juillet 1627), paraphé sur toutes les pages, souscrit le même jour à Montréal maison du sieur Charles Ytier bourgeois, clos de cachet cire rouge blasonnés. 1392-1744 203 J 151 Lettres reçues de relations : 9 lettres reçues de Léon Mailhet (ancien domestique qui effectue son service militaire au 47e RI), à Montesquieu (1914-1919). 1875-1932 2 F 26 Mémoire pour sieur Pierre-Jacques Chabert, bourgeois, et messire Jacques-Urbain Chabert, licencié èz droits, frères, habitans de la ville de Mende, appelans et supplians - contre les sieurs Brun de Montesquieu, père et fils, baron de Plagnol, seigneur de La Malène et du Montesquieu, aussi habitans de Mende, intimés et défendeurs et appelans. 1778 2 F 46 Instruction contenant griefs pour les sieurs Mesplé, Benazet, et autres boulangers de Montesquieu, Volvestre, appelants - contre les sieurs Lacombe, Faure et autres semanières du Four bannal de la même ville au nombre de douze, intimés, et contre messire de Bertrand, seigneur du même lieu, aussi intimé [13 pages] (1771). Réponse aux différentes significations faites depuis le 24 avril dernier pour messire de Bertrand, seigneur de Montesquieu - contre Lacoste, Castelbert, Pierre et Baptiste Mesplé, boulanger du même lieu [10 pages] (1771). 1762-1775 2 F 47 78. Factum pour le sieur Bertrand Bardet tuteur de Jeanne Raffin, impétrant ; lettres en cassation de décrêt, appelant et défendeur - contre maître Jean-Pierre Irisson notaire royal du lieu de Montesquieu, défendeur, impétrant et suppliant, maître Jean-Pierre Meja avocat en la cour et ancien capitoul, défendeur, et demoiselle Jacquete de Corné, veuve et héritière de maître Jean Labesse, juge de Castelsagrat (15 pages) [après 1721]. Factum pour le sieur Guillaume Labesse, suppliant, impétrant et défendeur - contre maître Jean-Pierre Meja, avocat en la cour et ancien capitoul et le sieur Jean-Pierre Irisson, notaire du lieu de Montesquieu, défendeur et suppliant (14 pages) [après 1723]. XVIIIe siècle Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : Sous-série 30 J. Archives concernant les communes de l'Hérault : 30 J 168/1 Bibliographie : BARGE (H.), MAHIEU (E.), « La grotte sépulcrale des Landes à Montesquieu (Hérault) », in : Archéologie en Languedoc, Lodève, 1985, n° 3, p. 51-57. BEUGNON (G.), « Montesquieu (Hérault), hommes des bois, les Carbonari », in : Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, Montpellier, 2010, n° 158-159-160, p. 57-64. CROUZAT (A.), Histoire de la ville de Roujan et du prieuré de Cassan, suivie d'une notice sur sur les diverses communes du canton (Margon, Pouzolles, Fouzilhon, Gabian, Roquessels, Fos, Montesquieu, Vailhan), Béziers, 1859, 285 p. FABRE (A.), Histoire de Montesquieu, canton de Roujan, Montpellier, 1879, 32 p. FABRE (A.), Histoire de Montesquieu, Vailhan, Fos, Roquessels, Liausson et Montblanc, Montpellier, 1879. FABRE (A.), Histoire de Roujan, Fos, Fouzilhon, Gabian... (canton de Roujan), Mâcon, 1894, XVI, 320 p. GUIRAUD (R.), « Stations préhistoriques dans la commune de Montesquieu (Hérault) », in : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, Bédarieux, 1988, n° 11, p. 3-22. MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune de Montesquieu : répertoire numérique détaillé (1854-2016). Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2017.- 41 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10888) ... BARGE (H.), MAHIEU (E.), « La grotte sépulcrale des Landes à Montesquieu (Hérault) », in : Archéologie en Languedoc, Lodève, 1985, n° 3, p. 51-57. BEUGNON (G.), « Montesquieu (Hérault), hommes des bois, les Carbonari », in : Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, Montpellier, 2010, n° 158-159-160, p. 57-64. CROUZAT (A.), Histoire de la ville de Roujan et du prieuré de Cassan, suivie d'une notice sur sur les diverses communes du canton (Margon, Pouzolles, Fouzilhon, Gabian, Roquessels, Fos, Montesquieu, Vailhan), Béziers, 1859, 285 p. FABRE (A.), Histoire de Montesquieu, canton de Roujan, Montpellier, 1879, 32 p. FABRE (A.), Histoire de Montesquieu, Vailhan, Fos, Roquessels, Liausson et Montblanc, Montpellier, 1879. FABRE (A.), Histoire de Roujan, Fos, Fouzilhon, Gabian... (canton de Roujan), Mâcon, 1894, XVI, 320 p. GUIRAUD (R.), « Stations préhistoriques dans la commune de Montesquieu (Hérault) », in : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, Bédarieux, 1988, n° 11, p. 3-22. MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune de Montesquieu : répertoire numérique détaillé (1854-2016). Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2017.- 41 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10888) INDEXATION : Indexation géographique : Montesquieu (Hérault, France) |
1 Q 1100-1101 Extraits des registres des ventes et adjudications définitives des biens nationaux 1791 CONTENU ET STRUCTURE : Présentation du contenu : Liste des biens vendus : à la suite des localités où sont situés les biens sont énumérés les propriétaires des biens vendus ; les numéros portés entre parenthèses renvoient aux actes de vente. Abeilhan : la cure (n° 399) ; prieuré (n° 400). Adissan : la cure (n° 152). Agde : évêché d'Agde (n° 11, 93, 97 à 99, 262 à 264) ; chapitre d'Agde (n° 106 à 109, 115, 121 à 123, 125 à 127, 130 à 132, 134, 135, 137 à 140, 265, 268, 269, 271, 295, 302) ; sacristie d'Agde (n° 262 bis, 286 à 288) ; canonicat de Podio (n° 138-139) ; camérerie (n° 101, 270, 296) ; archidiaconé (n° 92, 100) ; chanoinie (n°94) ; séminaire (n° 95, 96) ; prieuré Saint-Sever (n°101 bis, 102, 116, 290, 291) ; cordeliers (n° 272, 299 à 301, 303, 309) ; chapelles Saint-Vital (n° 128, 129, 136) ; Sainte-Catherine (n° 133, 278, 283, 285, 289), de la Trinité (n° 117, 280, 292, 304 à 308), Sainte Anne (n° 110 à 112) ; N.D. Saint-Séver (n° 113), Saint-Barthélemy (n° 266), Sainte Maxence (n° 273 à 275, 277, 293), Sainte-Croix (n° 276, 297, 298), Saint-Martin (n° 141, 267, 279, 282, 284), Saint Sébastien (n° 281, 294), Saint-Jean (n° 114), Jacobé et Salomé (n° 103 à 105), Saint-Bénézech à Saint-André (n° 118 à 120), domaines de Caillan (N1) et de Mermian (124). Alignan-du-Vent : abbaye de Villemagne (n° 255) ; chapitre de Cassan (n° 257). Bassan : chapitre Saint-Nazaire de Béziers (n° 361 à 366). Bessan : la cure (n° 74) chapelle Saint-Antoine (n° 75 à 77), Saint-Claude et Saint-Sébastien (n° 78 à 81), Saint-Laurens du chapitre de Pézenas (n° 464 à 467) ; domaines de Caillan (n° 1) et de Mermian (n° 124). Béziers : évêché de Béziers (n° 20, 168) ; chapitre Saint-Nazaire (n° 18, 82, 86 à 88, 143, 389, 390, 426) ; chapitre Saint-Jacques (n° 9, 15, 19, 42 à 44, 65 à 68, 71, 72, 83, 90, 149) ; camérerie de Béziers (n° 24, 425) ; archidiaconé de Cabrières (n° 21, 428) ; prieuré de Cassan (n° 17, 45 à 47, 424) ; abbaye Saint-Aphrodise (n° 12, 48, 85, 91, 146, 147) ; abbaye Saint-Jacques (n° 430) ; abbaye Saint-Esprit (n° 89) ; augustins (N°22) dominicains (n° 56 à 64) ; ursulines (n° 429) chapelles Sainte-Croix (n° 14, 84), Saint-Simon et Saint-Jude (n° 53, 54), N.D. de Pitié (n° 69, 70, 148, 150), Saint-Michel (n° 151), de la Balme (n° 144). Castelnau-de-Guers : bénédictins de Saint-Thibéry (n° 360) chapelles Saint-Anne (n° 357), Sainte-Croix (n° 358-359). Caux: la cure (n°7), dominicains (n°2) chapelles Saint-Michel (n°3), Gibeline (n°4), de la Vierge (n°5), Sainte-Blaise (n°6). Cazouls-lès-Béziers : archiprêtré de Cazouls (n° 219 à 226) ; chapelles Saint-Crépin (n° 214-215) ; de Baboule (n° 216 à 218) ; Saint-Jean de Moulas (n° 318 à 328). Cers : chapitre Saint-Nazaire de Béziers (n° 157 à 159) ; chapelles Saint-Ferréol à Villeneuve (n° 155). Colombiers : la cure (n° 367 à 377) ; chapelle de N.D. de Pitié (n° 310, 311). Conas : chapitre de Pézenas (n° 313, 314) ; chapelles N.D. Saint-François (n° 315) ; Saint-Eloi (n° 316). Corneilhan : la cure (n° 343 à 356). Creissan : chapelle du Purgatoire (n° 194 à 213). Crozes : la cure (n° 410). Florensac : évêché d'Agde (n° 303). Lespignan : prieuré Saint-Aubin (n° 145). Lignan : évêché de Béziers (n° 168). Loupian : Chapelles N.D. et de Pascal Villaret (n° 411 à 421). Magalas : la cure (n° 332 à 342), chapitre Saint-Nazaire de Béziers (n° 331), chapelles Sainte-Blaise (n° 330), N.D. d'Affaniès (n° 312). Maraussan : la cure (n° 170) (chapitre Saint-Nazaire de Béziers (n° 403, 404). Margon : la cure (n° 317). Marseillan : évêché d'Agde (n° 302 bis). Maureilhan : prieuré N.D. de Cassan (n° 55) chapitre Saint-Paul de Narbonne (n° 167). Mèze : chapelle des Onze Mille Vierges, ou du Cantage (n° 422). Montady : chapitre Saint-Nazaire de Béziers (n° 13), chapitre de Capestang (n° 169). Montblanc : chapelles Saint-Martin (n° 248 à 250), Saint-Blaise (n° 251). Montels : archevêché de Narbonne (n° 402). Murviel-lès-Béziers : ermitage de Saint-Martin des Champs (n° 391 bis). Neffiès : chapelle Sainte-Blaise (n° 401). Nizas : abbaye d'Aniane (n° 256). Péret : abbaye Saint-Sauveur de Lodève (n° 405-407), chapelles N.D de la Boissière (n° 408), Saint-Pierre(n° 409). Pézenas : chapitre de Pézenas (n° 423), cordeliers (n° 160 à 162), chapelle Saint-Eloi de Conas (n° 316). Pinet et Marseillan : (n° 463). Poilhes : chapitre Saint-Paul de Narbonne (n° 23). Portiragnes : la cure (n° 153), chapelle Saint-Antoine (n° 154). Pouzolles : la cure (n° 378-388). Puisserguier : abbaye de Fontcaude (n° 16). Quarante : chapitre de Quarante (n° 391, 427). Ramejan : la cure (n° 171-175). Roujan et Gabian : la cure (n° 253), prieur de Saint-Nazaire d'Auberte (n° 254), chanoines de Cassan (n° 10, 252). Saint-Nazaire-de-Ladarez : la cure (n° 246-247). Saint-Pons-de-Mauchiens : le prieuré (n° 156). Saint-Thibéry : bénédictins (n° 73). Sauvian : chapitre de Montpellier (n° 51, 52, 179), chapelle Saint-Sébastien de Sérignan (N°190, 193). Sérignan : chapitre de Sérignan (n° 183 à 187), bénédictins de Saint-Thibéry (n° 176 à 178), chapelles N.D. de Pitié (n° 180), Saint-Sébastien (n° 188, 189), Saint-Maur (n° 191), 192), Saint-Sacrement (n° 181, 182). Servian : la cure (n° 227 à 232), chapitre Saint-Nazaire de Béziers (n° 142), abbaye du Saint-Esprit de Béziers (n° 233 à 237). Thézan : chapelles Saint-Jean Baptiste et Saint-Jean l'Evangéliste (n° 49, 50). Vailhan : la cure (n° 164-166), prieuré de Cassan (n° 163). Vendres : chapitre Saint-Nazaire de Béziers (n° 395-396) chapelles N.D. des Suffrages (n° 393-394), du Purgatoire (n° 397-398). Vias : la cure (n° 451-455) chapitre d'Agde (n° 431-450, 456), cordeliers d'Agde (n° 329), chapelles Saint-Antoine (n° 459-461), Saint-Georges (n° 457-458), Notre-Dame (n° 462). Villeneuve-lès-Béziers : prieuré Saint-Etienne de Villeneuve (n° 238-241), ermitage de Saint-Victor (n° 392), chapelle Saint-Ferréol (n° 25-41), des Onze Mille Vierges (n° 242-243). Villeneuvette : la cure (n° 244-245). Villeveyrac : la cure (n° 261), abbaye de Valmagne (n° 258-260). |
Archives communales de Puimisson (223 EDT). Cote : 223 EDT 1-2 Date(s) : 1632-1702 Importance matérielle (ml) : 0,05 ml CONTEXTE : Nom du producteur : Communauté de Puimisson, paroisse Saint-Martin, commune de Puimisson Histoire : Puimisson est un ancien castrum dont le nom attesté est Castrum Podio Mincione entre 1097 et 1176 (Livre noir, 42, V°), Castrum Podii Missionis en 1182 (bulle de Lucius III), Castrum Podii Misonis en 1210 (reg. cur. Fr. H. L. III), Puimisson ou Puimuisson, seigneurie de la Viguerie de Béziers en 1529 (dom. de Montp.), Puimisson en 1625 et 1760 et Puymisson en 1649 (pouillé), Puimesson entre 1709 et 1720 (Saugrain, dénombrement), Puimisson en 1688 (lett. du gr. sceau), Puimisson en 1673 et 1779 (carte de Cassini, carte du diocèse de Béziers). Le castrum était situé sur une grande voie... ... Puimisson est un ancien castrum dont le nom attesté est Castrum Podio Mincione entre 1097 et 1176 (Livre noir, 42, V°), Castrum Podii Missionis en 1182 (bulle de Lucius III), Castrum Podii Misonis en 1210 (reg. cur. Fr. H. L. III), Puimisson ou Puimuisson, seigneurie de la Viguerie de Béziers en 1529 (dom. de Montp.), Puimisson en 1625 et 1760 et Puymisson en 1649 (pouillé), Puimesson entre 1709 et 1720 (Saugrain, dénombrement), Puimisson en 1688 (lett. du gr. sceau), Puimisson en 1673 et 1779 (carte de Cassini, carte du diocèse de Béziers). Le castrum était situé sur une grande voie romaine reliant Béziers à Lacaune. Il contrôlait un carrefour qui ouvrait vers la fôrêt de Saint-Martin-des-Champs et vers Murviel-les-Béziers et le château de Mus, le long de l'Orb. En 1323, selon le Dictionnaire topographique de l'Hérault, la cure de Puimisson, Rectoria de Podiomissono, dépendait de l'archiprêtré de Cazouls. Au Moyen-Age, Puimisson était une étape sur le chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle et le village avait une fonction hospitalière. Une maison templière existait hors les murs. Une statue de Saint-Jacques en bois polychrome du XIVe siècle se trouve encore dans le village. La paroisse a pour patron Saint Martin. La seigneurie de Puimisson est érigée en Baronie vers 1439. A la Révolution, la commune a d'abord fait partie du canton de Magalas, supprimé par arrêté des consuls du 3 brumaire an X (25 octobre 1801). Elle est ensuite rattachée au canton de Murviel. Le château de Puimisson a été classé au titre des Monuments historiques en 1997 en raison de la présence d'un papier peint réalisé en 1783 par les ateliers de Manufacture royale de papiers peints "La Folie Titon" de Jean-Baptiste Réveillon. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Réintégrations en date du 15 mai 2019 (entrée n° 6863), et du 28 septembre 2021 (entrée n° 7250). Présentation du contenu : Le fonds déposé se compose d'actes paroissiaux couvrant la période 1632-1702. Accroissements : Fonds ouvert. Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Bibliographie : BONNET, Émile. Antiquités et monuments du département de l'Hérault. - Montpellier: Ricard, 1905; réed. Nîmes: C. Lacour, 2003 (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 3490). BONNET, Émile. Répertoire archéologique du département de l'Hérault, périodes wisigothique, carolingienne et romane. - Montpellier, imprimerie de la manufacture de la charité, 1938. CAROU, E. "Géographie de l'arrondissement de Béziers", dans Bulletin de la société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, deuxième série, tome III, 1863-1865, p.265-356 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313). COSTE, Clément. Études historiques et archéologiques sur quelques communes de l'ancien diocèse de Béziers. - Béziers: Ed. Bénézech Roque, 1866. DE FANIES, A. "Armorial de d'Hosier (armoiries de la communauté de Puimisson)", dans Bulletin de la société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, deuxième série, tome VIII, 1874-1875, p.344 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313). SABATIER, E. Études et notes archéologiques sur les châteaux, abbayes et églises de l'ancien diocèse de Béziers. - Béziers: Carrière, 1856 (Archives départementales de l'Hérault coté CRC 785). SABATIER, E. "Les fiefs des seigneuries du diocèse de Béziers au XVIIème siècle", dans... ... BONNET, Émile. Antiquités et monuments du département de l'Hérault. - Montpellier: Ricard, 1905; réed. Nîmes: C. Lacour, 2003 (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 3490). BONNET, Émile. Répertoire archéologique du département de l'Hérault, périodes wisigothique, carolingienne et romane. - Montpellier, imprimerie de la manufacture de la charité, 1938. CAROU, E. "Géographie de l'arrondissement de Béziers", dans Bulletin de la société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, deuxième série, tome III, 1863-1865, p.265-356 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313). COSTE, Clément. Études historiques et archéologiques sur quelques communes de l'ancien diocèse de Béziers. - Béziers: Ed. Bénézech Roque, 1866. DE FANIES, A. "Armorial de d'Hosier (armoiries de la communauté de Puimisson)", dans Bulletin de la société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, deuxième série, tome VIII, 1874-1875, p.344 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313). SABATIER, E. Études et notes archéologiques sur les châteaux, abbayes et églises de l'ancien diocèse de Béziers. - Béziers: Carrière, 1856 (Archives départementales de l'Hérault coté CRC 785). SABATIER, E. "Les fiefs des seigneuries du diocèse de Béziers au XVIIème siècle", dans Bulletin de la société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, deuxième série, tome VIII, 1874-1875, p.320 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313). |
Archives communales de Puisserguier (225 EDT) Cote : 225 EDT 1-46 Date(s) : 1596-1877 Importance matérielle (ml) : 2,55 ml CONTEXTE : Histoire : Les premières mentions archivistiques de Puisserguier remontent à la fin du Xe siècle ("Podio Segario", en 1094) et au milieu du XIe siècle ("Castrum de Podio Serigario", en 1146 dans le Livre noir du Chapitre de Béziers, f° 62, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault, paru en 1865). Toutefois, l'implantation humaine à Puisserguier est plus ancienne puisque l'abbé Joseph Giry, dans son ouvrage intitulé "Le Biterrois Narbonnais de la préhistoire à nos jours" (édité en 2000), indique la présence de vestiges d'habitats chalcolithiques, de nombreuses villas... ... Les premières mentions archivistiques de Puisserguier remontent à la fin du Xe siècle ("Podio Segario", en 1094) et au milieu du XIe siècle ("Castrum de Podio Serigario", en 1146 dans le Livre noir du Chapitre de Béziers, f° 62, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault, paru en 1865). Toutefois, l'implantation humaine à Puisserguier est plus ancienne puisque l'abbé Joseph Giry, dans son ouvrage intitulé "Le Biterrois Narbonnais de la préhistoire à nos jours" (édité en 2000), indique la présence de vestiges d'habitats chalcolithiques, de nombreuses villas romaines et de tombes wisigothiques sur le territoire de la commune. L'église paroissiale, placée sous le vocable de la Conversion de Saint Paul, fut construite entre le XIe et le XIVe siècle. La paroisse de Puisserguier abrite aussi les églises Saint-Christophe (en limite avec l'évêché de Saint-Pons), Sainte-Agathe de Millau (qui dépend de Saint-Paul de Narbonne) et Notre-Dame de Lussau (du diocèse de Béziers, qui dépend de l'abbaye de Fontcaude, dont les ruines sont de nos jours situées en limite des communes de Cazedarnes et de Cazouls-lès-Béziers). Au nord de la commune, le domaine de Millau fut le siège d'une commanderie templière qui servait sans doute de halte aux pèlerins du Moyen Âge. Par ailleurs, le château de Malemort, érigé au XIVe siècle, se dresse toujours au centre du village. Sous l'Ancien Régime, Puisserguier est l'une des 24 villes du diocèse civil de Narbonne à députer par tour aux Etats de la province de Languedoc. La seigneurie de Puisserguier relève directement de la couronne et change plusieurs fois de maîtres, passant notamment entre les mains du connétable de Montmorency ou encore de Guillaume de Bermond du Caylar, maréchal de camp et gouverneur de Béziers, qui en fait l'acquisition en 1591. La commune, dotée d'un conseil municipal dès 1789, traverse la Révolution française sans difficultés particulières. Elle est d'abord intégrée dans le canton de Cazouls-les-Béziers, puis, à la suppression de ce dernier en l'an XI, elle passe dans celui de Capestang. La vie politique locale reste relativement stable au XIXe siècle et s'organise autour de maires d'abord nommés puis élus. Des chantiers concernant les bâtiments communaux, les écoles, l'adduction d'eau et l'assainissement sont engagés dans le courant du siècle et la modernisation des équipements du village se prolonge tout au long du XXe siècle comme dans toutes les communes de France. Historique de la conservation : L'ensemble des archives anciennes de la commune a été déposé aux Archives départementales de l'Hérault. Les archives modernes (postérieures à 1789) sont conservées en commune à l'exception de quelques documents d'archives en dépôt aux Archives départementales. Les archives contemporaines (à partir de 1983) sont conservées en commune. Les archives modernes et contemporaines ont fait l'objet d'un classement par la Mission Archives du Centre de gestion de l'Hérault en 2006-2007 et 2015. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt commune de Puisserguier. Présentation du contenu : Le fonds déposé comprend principalement les délibérations consulaires depuis 1713 et des extraits de délibérations communales pour la période 1837-1877, trois compoix datant des XVIIème et XVIIIème siècles, ainsi qu'une collection d'actes paroissiaux depuis 1610. Le fonds contient également des archives relatives à la gestion du prieuré (XVIIème - XVIIIème siècle) et des délibérations du bureau de bienfaisance datant de la première moitié du du XIXème siècle. Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O, on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : Sous-série 30 J. Archives concernant les communes de l'Hérault: 30 J 225/1-2 284 EDT 182. Puisserguier: pièces de procédures, testament, sentence, arrentement, notes, plans (1323 (copie XVIIe) - [XXe siècle]). Bibliographie : AMBERT Paul. Puisserguier (Hérault) : contraintes géomorphologiques d'une catastrophe météorologique reproductible : hypothèses et certitudes. In : Bulletin de la Société Languedocienne de Géographie 1996, tome 30, fasc. 3-4 ; pp. 137-152 (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole) BARTHES-PONS Jean. Un séisme survenu il y a 350 ans à Puisserguier. - Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 2008-2009 10e série, vol. 5 p. 102 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313) DEMOREST Michel. La dynastie du Caylar : Puisserguier, Restinclières, etc.- Paris : Ed. généalogiques de la Voûte, impr. 2009.- 26 p. (Collection Nobles Ancêtres) (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10342) GATORZE Jacques. La nécropole de Cadillac à Puisserguier (Hérault). - In : Bulletin de la Société d'études scientifiques de Sète et de sa région 1972, n° 4 ; pp. 81-86 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1316) MISSION ARCHIVES CDG 34. Répertoire numérique détaillé des archives de Puisserguier.- Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2015.- 196 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10705) ROUQUETTE D. Un exemple d'écoulement en nappe. Note sur l'inondation de Puisserguier (Hérault) le 6 décembre 1953. In :... ... AMBERT Paul. Puisserguier (Hérault) : contraintes géomorphologiques d'une catastrophe météorologique reproductible : hypothèses et certitudes. In : Bulletin de la Société Languedocienne de Géographie 1996, tome 30, fasc. 3-4 ; pp. 137-152 (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole) BARTHES-PONS Jean. Un séisme survenu il y a 350 ans à Puisserguier. - Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 2008-2009 10e série, vol. 5 p. 102 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313) DEMOREST Michel. La dynastie du Caylar : Puisserguier, Restinclières, etc.- Paris : Ed. généalogiques de la Voûte, impr. 2009.- 26 p. (Collection Nobles Ancêtres) (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10342) GATORZE Jacques. La nécropole de Cadillac à Puisserguier (Hérault). - In : Bulletin de la Société d'études scientifiques de Sète et de sa région 1972, n° 4 ; pp. 81-86 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1316) MISSION ARCHIVES CDG 34. Répertoire numérique détaillé des archives de Puisserguier.- Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2015.- 196 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10705) ROUQUETTE D. Un exemple d'écoulement en nappe. Note sur l'inondation de Puisserguier (Hérault) le 6 décembre 1953. In : Bulletin de la Société Languedocienne de Géographie 1955, 2e série, tome XXVI ; pp. 131-133 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1342) SEGONDY Jean. Un fragment d'histoire languedocienne : Puisserguier au XVIe siècle. [S.l.] : [s.n.], 1952. - 16 p. (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole, coté 72976) |
Archives communales de Roquebrun (232 EDT). Cote : 232 EDT 1-165 Date(s) : 1331-1938 Importance matérielle (ml) : 10 ml CONTEXTE : Nom du producteur : . Histoire : Roquebrun est une commune héraultaise occupant un territoire de 3 964 hectares au nord-ouest de Béziers. Elle est draînée par le fleuve côtier de l'Orb et par plusieurs ruisseaux dont ceux de Laurenque, Rieuberlou et Escagnès. Elle appartient au canton de Saint-Pons-de-Thomières depuis la suppression du canton d'Olargues en 2014 et est rattachée à l'arrondissement de Béziers. Le nom de la commune vient de l'occitan roca bruna (roche brune) et fait référence à la tour construite vers l'an 1000. Les premières mentions archivistiques de Roquebrun remontent au début du XIe siècle : en 1036,... ... Roquebrun est une commune héraultaise occupant un territoire de 3 964 hectares au nord-ouest de Béziers. Elle est draînée par le fleuve côtier de l'Orb et par plusieurs ruisseaux dont ceux de Laurenque, Rieuberlou et Escagnès. Elle appartient au canton de Saint-Pons-de-Thomières depuis la suppression du canton d'Olargues en 2014 et est rattachée à l'arrondissement de Béziers. Le nom de la commune vient de l'occitan roca bruna (roche brune) et fait référence à la tour construite vers l'an 1000. Les premières mentions archivistiques de Roquebrun remontent au début du XIe siècle : en 1036, dans le cartulaire du château de Foix (castellum Rocha-bruna, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). Puis on trouve, dans ce même cartulaire, les mentions de Rocabrun en 1059 et De Rocabruno en 1069. Toutefois le territoire est occupé depuis bien plus longtemps puisque des vestiges d'habitats humains préhistoriques ainsi que des traces de présence romaine au lieu de Saint-André ont été mis au jour. Au Xe siècle, un château est construit sur les hauteurs, dont il ne reste aujourd'hui que la tour carrée. A cette date, Roquebrun et son château sont une possession des vicomtes de Béziers. En 1069, Roquebrun et Vieussan sont dans la dot de Guillelma Trencavel, vicomtesse de Béziers. La seigneurie passe ensuite aux mains des vicomtes de Bruniquel mais est rachetée par les Trencavel dès 1156. Au XIIe siècle, Guillaume de Carous, seigneur de Colombières possède des fiefs et tènements à Roquebrun, sur lesquels il exerce ses droits seigneuriaux. Un acte de donation du four banier (encore debout aujourd'hui) en sa faveur en date de 1158 est conservé dans les archives du château de Léran. Les seigneurs de Colombières exercent et étendent ces droits seigneuriaux sur la communauté de Roquebrun jusqu'à la fin du XVIIe siècle : de nombreuses reconnaissances leurs sont consenties par les habitants entre 1388 et 1646. En 1688, Thomas de Thézan baron d'Olargues possède également des fiefs et droits seigneuriaux à Roquebrun. La communauté est par ailleurs dotée d'une administration consulaire dès 1279. L'église romane Notre-Dame (ou Saint-André) voit sa construction débuter au XIIe siècle. Eglise et ville sont fortifiées. Au XIVe siècle, Roquebrun est un prieuré-cure du diocèse de Béziers, recensé en 1323 dans le rôle des dîmes des églises du diocèse de Béziers (prior Rocabruna). La paroisse est placée sous le vocable de Saint-André. Au XVIIIe siècle, elle dépend de l'archiprêtré de Cazouls-les-Béziers dont l'évêque de Béziers est le seigneur. Une particularité de cette communauté est la disparité de l'habitat puisqu'à côté du bourg même de Roquebrun, coexistent plusieurs hameaux dont les plus importants sont Ceps, Laurenque et Escagnès. En 1761, Roquebrun - aussi identifiée sous la variante Roquebrune - a pour dépendances les écarts de Laurenque, Ceps (ou Seps), Escaniès (ou Escagnès), Pulhan et Plaussenous. Une église annexe, dédiée à Saint-Pontien, existe dans le hameau de Ceps. L'état officiel des paroisses du diocèse de Béziers dressé en 1780 fait de Saint-André et Saint-Pontien deux paroisses distinctes. Roquebrun est une justice royale et bannerète dans le ressort de la sénéchaussée de Béziers. Dès le XIVe siècle et durant toute l'époque moderne, la vie de la communauté est agitée par des procès avec la communauté voisine de Saint-Nazaire-de-Ladarez (232 EDT 23 à 28). A cette époque, la vie des habitants s'articule autour de l'agriculture : essentiellement la culture des céréales, de la vigne et de la chataîgne et l'olive, mais aussi l'élevage d'ovins et la pêche. Il est à noter à ce sujet que la situation géographique de la commune, adossée à des collines qui la protègent des vents froids, lui permet de bénéficier d'un climat plutôt clément lui valant le surnom de « petit Nice ». Le recensement communal de 1896 qualifie d'ailleurs le territoire de « pays très fertile où poussent en pleine terre l'oranger et le citronnier ». Des moulins à grains et à huile sont également exploités, tel le moulin de Maynard, sur le ruisseau de Laurenque. A la Révolution, la commune prend brièvement le nom de Roc-libre. En 1790, elle est d'abord rattachée au canton de Cessenon. Ce dernier est supprimé par l'arrêt des consuls en date du 3 brumaire en X et Roquebrun est alors rattachée au canton d'Olargues. Bien que cité en 1790, le hameau de Ceps n'est pas érigé en commune ; celui de Plaussenous est rattaché à la commune de Vieussan. A partir de 1790, la commune est dotée d'un conseil municipal et la vie politique s'organise alors autour de maires d'abord nommés puis élus. La vie économique, qui reste essentiellement liée à l'agriculture, voit la viticulture devenir prépondérante dans la seconde moitié du XIXe siècle et source d'enrichissement, comme dans toute la région. Néanmoins ce n'est que dans les années 1960 qu'est créée la cave coopérative, sur l'emplacement même d'une ancienne distillerie viticole. C'est à cette période également que le vignoble de la commune intègre l'AOC Saint-Chinian. L'essor économique lié à la viticulture permet à la commune d'engager de nombreux travaux. De nouveaux bâtiments sont aménagés comme des écoles à Roquebrun, Ceps et Escagnès ou encore un bureau de poste. Un premier réseau d'adduction d'eau voit le jour au début du XXe siècle. La voirie est rénovée, ce qui permet d'accélérer les échanges à l'image du pont enjambant l'Orb qui est enfin construit en 1869 mettant fin aux traversées en bac. L'éclairage public et l'électrification finissent de moderniser le village qui continue aujourd'hui de s'équiper (construction d'une station d'épuration au hameau d'Escagnès en 2012). Au XXe siècle, l'histoire de Roquebrun reflète les évènements majeurs de l'Histoire de France et de l'histoire locale. La Guerre de 1914-1918 voit de nombreux Roquebrunais tombés au front pour la France. Leurs noms, au nombre de trente-et-un, sont inscrits sur les monuments aux morts dont la souscription est lancée en 1921. La Guerre de 1939-1945 touche également le village qui perd l'un de ses soldats, accueille des réfugiés, et héberge un commando de prisonniers allemands à la Libération. Après avoir connu un pic démographique dans la première moitié du XIXe siècle (1470 habitants en 1836), Roquebrun voit sa population décroître de manière régulière entre le milieu du XIXe siècle et le début du XXIe siècle, sous l'effet notamment de l'exode rural, pour se stabiliser autour de 600 habitants. Néanmoins, ce chiffre ne tient pas compte de l'importante variation saisonnière qui touche la démographie roquebrunaise. Comptant de nombreuses résidences secondaires, le village peut accueillir jusqu'à 2000 habitants en été. Cette population est attirée par le climat agréable de la commune qui favorise la culture des agrumes, palmiers ainsi que la prolifération des mimosas, qui sont notamment à l'honneur au cours d'une fête créée en 1991 et organisée tous les deuxièmes dimanches de février. L'authenticité de son habitat et de son patrimoine, faisant l'objet d'une restauration continue ces dernières années, ainsi que l'attractivité des berges de l'Orb, permettent à Roquebrun de développer cette activité touristique. Historique de la conservation : L'ensemble des archives anciennes de la commune a été déposé ainsi que les documents antérieurs à 1919. Une partie des archives modernes - dont les documents cadastraux - et les archives contemporaines sont conservées en commune et ont fait l'objet d'un classement par la Mission Archives 34 du Centre de gestion de l'Hérault en 2016. CONTENU ET STRUCTURE : Modalités d’entrée : Dépôt de la commune de Roquebrun complété par un dépôt en date du 19 mai 2017 (entrée n°6367) et par un don en date du 31 mars 2023 (entrée n°7697). Présentation du contenu : Le fonds déposé couvre tous les domaines d'intervention de la commune. Pour la partie ancienne, il comprend les délibérations consulaires depuis 1580, une collection de compoix datant des XVIIe et XVIIIe siècles, des registres de comptes depuis le XVIe siècle. Il contient également les registres d'actes paroissiaux depuis 1651 pour la paroisse de Saint-André, et depuis 1681 pour la paroisse de Ceps. Pour la partie moderne, le fonds comprend notamment les délibérations communales jusqu'en 1936 (années 1796-1798 lacunaires), l'état civil jusqu'en 1892 (tables décennales jusqu'en 1902), et les délibérations du bureau de bienfaisance (1835-1898). A noter, sous la cote 232 EDT 94, des pièces relatives à l'inventaire et à la saisie des biens du clergé en 1794. Accroissements : Fonds ouvert Classement : Selon le cadre de classement des archives communales de 1926. CONDITIONS D’ACCÈS ET D’UTILISATION : Modalités d’accès : Selon les lois et règlements en vigueur. Modalités de reproduction : Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture. SOURCES COMPLÉMENTAIRES : Sources complémentaires aux archives de l'Hérault : Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment... ... Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789) L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc. La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale). Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines... Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP). Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800) Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires. En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus. Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940) Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940). La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux. En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine. En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées). Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons). Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations. La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires. L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales. La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines. Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles. Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance. Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940) Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs. Iconographie Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales. Archives privées Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. Archives notariales Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires. Bibliothèque des archives Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune. Documents séparés du fonds : 284 EDT 185. Roquebrun : quittance pour des dépenses de la communauté (10 octobre 1664). Bibliographie : ASSOCIATION PATRIMOINE ET MEMOIRE DE NOSTRE PAÏS. Roquebrun : la vie aux 19e et 20e siècles. - Roquebrun : Association Patrimoine et mémoire de nostre païs, [ca 2012].- 176 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 7243) GATORZE Jacques. La Peste de 1720 à Roquebrun. - Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1990, n° 13 ; pp. 41-44 GATORZE Jacques. La Pierre à cupules de Roquebrun. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1997, n° 20 ; pp.23-28 GATORZE Jacques. Trois Roquebrunais soldats de Napoléon. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1981, n° 4 ; pp. 120-125 GATORZE Jacques. La Traversée de l'Orb à Roquebrun (1625-1789). In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1988, n° 11 ; pp. 141-151 GATORZE Jacques. Le Fond de cabane du Camp-Rouge (Commune de Roquebrun). In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1987, n° 10 ; pp. 29-36 LESAFFRE Jean. Deux villages languedociens, Roquebrun et Argelliers.- Montpellier : Impr. Mari-Lavit, 1932. (Médiathèque départementale de l'Hérault, coté 914.484 LES) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune de... ... ASSOCIATION PATRIMOINE ET MEMOIRE DE NOSTRE PAÏS. Roquebrun : la vie aux 19e et 20e siècles. - Roquebrun : Association Patrimoine et mémoire de nostre païs, [ca 2012].- 176 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 7243) GATORZE Jacques. La Peste de 1720 à Roquebrun. - Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1990, n° 13 ; pp. 41-44 GATORZE Jacques. La Pierre à cupules de Roquebrun. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1997, n° 20 ; pp.23-28 GATORZE Jacques. Trois Roquebrunais soldats de Napoléon. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1981, n° 4 ; pp. 120-125 GATORZE Jacques. La Traversée de l'Orb à Roquebrun (1625-1789). In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1988, n° 11 ; pp. 141-151 GATORZE Jacques. Le Fond de cabane du Camp-Rouge (Commune de Roquebrun). In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1987, n° 10 ; pp. 29-36 LESAFFRE Jean. Deux villages languedociens, Roquebrun et Argelliers.- Montpellier : Impr. Mari-Lavit, 1932. (Médiathèque départementale de l'Hérault, coté 914.484 LES) MISSION ARCHIVES CDG 34. Archives de la commune de Roquebrun : répertoire numérique détaillé (1831-2016).- Montpellier : Mission Archives CDG 34, 2016.- 112 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10891) SCANZI Michel. Le moulin à blé des Milhé à Escagnès : commune de Roquebrun. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 2014, n° 37 ; pp. 95-106 SCANZI Michel. Un site de l'antiquité tardive dans la commune de Roquebrun. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1992, n° 15 ; pp. 8-13 SCANZI Michel. Vestiges préhistoriques dans la commune de Roquebrun [Hérault]. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1991, n° 14 ; pp. 19-32 SOUTOU André. Datation de la croix discoïdale ajourée de St-André de Vexos, à Roquebrun (Hérault). In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1989, n°12 ; pp. 47-54 |
Cazedarnes, gestion de l'abbaye de Foncaude : ordonnances, transaction, mémoires, assignations, confirmations de privilèges, baux, réquisitions, factum, état des lieux, inventaires des meubles et des outils, actes de donation et d'achat, extrait de compoix, brevet royal, procès-verbal d'ouverture de testament, suppliques, conclusions, sentence, état des comptes, quittances, pièces de procédures, plan. Cote : 284 EDT 161 Date(s) : 1445-1764 CONTEXTE : Ancienne cote : JJ1/65 CONTENU ET STRUCTURE : Présentation du contenu : Article 65 du JJ 1 du Fonds Bonnet-Granier. Liasse comprenant les pièces suivantes : 1 Transaction entre le seigneur de Savignac et les habitants de Murviel [copie latin] (28 septembre 1445). 2 Mémoires des instruments produits par le sieur de Savignac [copie en français] (7 mars 1457). 3 Mise de possession de l'abbaye par le pape pour Julien de Manse [copie en latin] (1468). 4 Ouverture du testament ordonné par le sieur Gilles Ciffre, de Cessenon (14 mars 1524). 5 Collation de la visite de l'abbaye [en latin] (16 octobre 1539). 6 Donation d'une maison à Olonzac par l'abbé à son neveu (23 septembre 1561). 7 Attestatoire de l'état de l'abbaye devant le vicaire général [en latin] (23 décembre 1577). 8 Ordonnance des trésoriers de France sur la non-jouissance de l'abbaye après troubles (6 mars 1582). 9 Vente des fiefs de Nissan et de Polhes par l'abbé (3 août 1582). 10 Relevé de documents concernant les terres de Savignac et rubrique du plan (1590). 11 Bail de la reconstruction de la paissiere au moulin de Reals (7 juillet 1592). 12 Extraits du compoix de Cazouls relevant les parcelles appartenant à l'abbé (1597). 13 Consultation sur la possession des terres de Savignac (20 mai 1598). 14 Arrentement des fruits du prieuré de Saint-Paul à Puisserguier (8 février 1599). 15... ... Article 65 du JJ 1 du Fonds Bonnet-Granier. Liasse comprenant les pièces suivantes : 1 Transaction entre le seigneur de Savignac et les habitants de Murviel [copie latin] (28 septembre 1445). 2 Mémoires des instruments produits par le sieur de Savignac [copie en français] (7 mars 1457). 3 Mise de possession de l'abbaye par le pape pour Julien de Manse [copie en latin] (1468). 4 Ouverture du testament ordonné par le sieur Gilles Ciffre, de Cessenon (14 mars 1524). 5 Collation de la visite de l'abbaye [en latin] (16 octobre 1539). 6 Donation d'une maison à Olonzac par l'abbé à son neveu (23 septembre 1561). 7 Attestatoire de l'état de l'abbaye devant le vicaire général [en latin] (23 décembre 1577). 8 Ordonnance des trésoriers de France sur la non-jouissance de l'abbaye après troubles (6 mars 1582). 9 Vente des fiefs de Nissan et de Polhes par l'abbé (3 août 1582). 10 Relevé de documents concernant les terres de Savignac et rubrique du plan (1590). 11 Bail de la reconstruction de la paissiere au moulin de Reals (7 juillet 1592). 12 Extraits du compoix de Cazouls relevant les parcelles appartenant à l'abbé (1597). 13 Consultation sur la possession des terres de Savignac (20 mai 1598). 14 Arrentement des fruits du prieuré de Saint-Paul à Puisserguier (8 février 1599). 15 Réquisition sur le mauvais entretien de la paissiere des moulins à Reals (17 décembre 1599). 16 Copie de l'arrentement des biens nobles et des dîmes sur Fontcaude (8 septembre 1600). 17 Arrentement des terres de Fontcaude et du moulin (8 septembre 1600). 18 Arrentement de la métairie de Cazal viel (27 février 1605). 19 Copie d'actes de 1251 et mémoire sur la consulte dans le procès avec monsieur de Béziers (mai 1605). 20 Brevet royal nommant François Bonnet comme abbé (31 mars 1608). 21 Confirmation royale des privilèges dépendant de l'abbaye (décembre 1611). 22 Fondation par Barthélémy du Mas, ancien abbé, en faveur de ses successeurs (6 janvier 1620). 23 Copie de pièces concernant la confirmation des privilèges à l'abbaye (vers 1620). 24 Assignation contre Pierre de Gayon sur les facultés de l'abbaye au Bousquet (11 janvier 1621). 25 Paiement des tailles au chapitre général des Prémontés (20 juillet 1623). 26 Supplique de l'abbé de Bonnet sur les biens confisqués aux rebelles de Bédarieux (12 août 1623). 27 Mémoire de l'abbé pour défendre les droits sur le terroir de Cazalviel (vers 1630). 28 Supplique de l'abbé contre les exactions des habitants de Cessenon (vers 1630). 29 Conclusions sur la requête de l'abbé contre les consuls et habitants de Cessenon (vers 1630). 30 Sentence du parlement sur la dépaissance dans le terroir de Campagnoles (18 avril 1633). 31 Mémoire de l'abbé contenant le relevé de pièces judiciaires contre le sieur del Bosquet (29 août 1633). 32 Ordonnance du parlement de Toulouse pour le commandeur de Campagnoles (20 novembre 1635). 33 Inventaire des meubles, outils et bâtiments au moulin à huile de Cessenon (15 octobre 1641). 34 Inventaire des outils de labourage de Fontcaude (8 mai 1646). 35 Arrentement des droits seigneuriaux à Capestang (7 janvier 1659). 36 Réquisition contre les religieux de Cassan sur les biens délaissés par les défunts (20 octobre 1664). 37 Copie de l'assignation faite par frère Velloussière, nommé à la cure de Savignac (28 juillet 1669). 38 Factum pour frère Gineste sur le bénéfice de Savignac (1670). 39 Réquisition de frère Jan de Biphos, nommé prieur claustral (6 juillet 1670). 40 Mémoire sur la fondation érigée par Gilles Ciffre, en 1524, en l'église de Cessenon (1672). 41 Etat des comptes pour la communauté des religieux (25 novembre 1682). 42 Relevé de pièces judiciaires interdisant la dépaissance dans le terroir de Savignac (XVIIe siècle). 43 Nomination par l'évêque de Tarbes et mise de possession de la cure de Saint-Laurens (19 mars 1711). 44 Consulte sur un procès avec l'archiprêtre de Cazouls (1er janvier 1764). INDEXATION : Indexation géographique : Saint-Pons-de-Thomières (Hérault, France), Cazedarnes (Hérault, France), Murviel-lès-Béziers (Hérault, France), Puisserguier (Hérault, France), Cazevieille (Hérault, France), Cessenon-sur-Orb (Hérault, France), Nissan-lez-Enserune (Hérault, France), Poilhes (Hérault, France) |