- Lettres patentes portant augmentation des revenus du collège, en faveur des Jésuites de Montpellier : l'ancienne dotation du collège, qui n'était " que de 2400 livres ", ne pouvant suffire " pour entretenir vingt-cinq ou trante religieux,.... Qui sont nécessaires au dit collège, partie pour les lectures qu'ils y font de grammaire, humanité et philosophie, et partie pour le service de leur église et du public ", le Roi leur accorde et octroie " la somme de 2400 livres de rente annuelle et perpétuelle, outre pareille somme qui leur a été accordée par l'ancienne fondation du dit collège " (1632).

- Arrêts divers du Conseil d'État (1642, 1646 et 1731) ; rente annuelle de 5364 livres 2 sols 6 deniers, assignée en faveur des Jésuites de Montpellier, sur les gabelles de Languedoc (1731)

- " Cent escus accordés au collège annuellement par le Diocèse [de Montpellier] ".

"Les Jésuites sont déchargés de payer les francs-fiefs et nouveaux aquets, et droit d'amortissement".

- Immeubles divers possédés à Montpellier par les Jésuites.

- Lettres patentes  " contenant don des lods et ventes, au profit des Pères Jésuittes de Montpellier, et autres droits, pour les maisons, jardins et places, acquises ou à acquérir " (1644).

- Lettres patentes " qui exemptent les Jésuites du logement et autres contributions des gens de guerre " (1631).

- Franc-salé (1647-1735) ; " trois minots de franc-salé, accordé aux R. P. Jésuites [de Montpellier], par arrêt du Conseil,.... À raison de deux chaires de professeurs de théologie " (1706).