Louis Jacques Amadou, fils de Louis Jacques Amadou et d'Antoinette Adèle Rose May, naît le 19 septembre 1893 à Gignac (Hérault, Languedoc-Roussillon). Il est marchand de bois puis viticulteur avant son incorporation. Conscrit de la classe 1913, il est inscrit sous le matricule n° 119 au recrutement de Montpellier. Louis Amadou est incorporé le 8 décembre 1913 au 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ) à Tunis (Tunisie). Le 2 août 1914, il arrive au corps à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Louis Amadou est blessé par balle le 30 août 1914 à Ribemont (Aisne, Picardie), déclaré disparu à Villers-le-Sec, et présumé prisonnier. Il est interné au camp de prisonniers de guerre de Schneidemuhl n° 1 (actuelle ville de Pila en Pologne). Louis Amadou est rapatrié d'Allemagne le 23 décembre 1918, puis passe au 81e régiment d'infanterie le 23 février 1919. Il est versé le 28 mai 1919 au 53e régiment d'infanterie (53e RI). Louis Amadou est démobilisé le 4 septembre 1919 avec une pension d'invalidité de 10 % pour cicatrice transversale étendue à l'omoplate, consécutive à une plaie par balle. Le 13 novembre 1920, Louis Amadou épouse Victoria Césarine Beys, à Gignac. Louis Amadou est décoré de l'insigne des blessés, de la médaille de la Victoire et de la médaille commémorative de la Grande Guerre. Sa blessure n'est reconnue blessure de guerre que le 9 décembre 1974, et il est, enfin, décoré de la médaille militaire le 5 avril 1976.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Louis Amadou en uniforme de zouave (1913-1914). [vues n° 1-2]
- Orchestre du 4e régiment de marche de zouaves (1913-1914). [vues n° 3-4]
- Louis Amadou en captivité en Pologne (1914-1918). [vues n° 5-12]
- Louis Amadou en uniforme du 81e régiment d'infanterie (81e RI) (1919). [vue n° 13-14]
- Louis Amadou et quelques soldats du 81e régiment d'infanterie (1919). [vue n° 15-16]

L'original appartient à Mme Jacqueline Amadou.

Louis Jacques Amadou, fils de Louis Jacques Amadou et d'Antoinette Adèle Rose May, naît le 19 septembre 1893 à Gignac (Hérault, Languedoc-Roussillon). Il est marchand de bois puis viticulteur avant son incorporation. Conscrit de la classe 1913, il est inscrit sous le matricule n° 119 au recrutement de Montpellier. Louis Amadou est incorporé le 8 décembre 1913 au 4e régiment de marche de zouaves (4e RMZ) à Tunis (Tunisie). Le 2 août 1914, il arrive au corps à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Louis Amadou est blessé par balle le 30 août 1914 à Ribemont (Aisne, Picardie), déclaré disparu à Villers-le-Sec, et présumé prisonnier. Il est interné au camp de prisonniers de guerre de Schneidemuhl n° 1 (actuelle ville de Pila en Pologne). Louis Amadou est rapatrié d'Allemagne le 23 décembre 1918, puis passe au 81e régiment d'infanterie le 23 février 1919. Il est versé le 28 mai 1919 au 53e régiment d'infanterie (53e RI). Louis Amadou est démobilisé le 4 septembre 1919 avec une pension d'invalidité de 10 % pour cicatrice transversale étendue à l'omoplate, consécutive à une plaie par balle. Le 13 novembre 1920, Louis Amadou épouse Victoria Césarine Beys, à Gignac. Louis Amadou est décoré de l'insigne des blessés, de la médaille de la Victoire et de la médaille commémorative de la Grande Guerre. Sa blessure n'est reconnue blessure de guerre que le 9 décembre 1974, et il est, enfin, décoré de la médaille militaire le 5 avril 1976.

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

- Prisonniers de guerre (dont des prisonniers russes) au camp de Schneidemuhl (Pologne). [vues n° 1-2]
- Le repas. [vues n° 3-4]
- Inondation du camp. [vues n° 5-6]
- Portraits de soldats et photographies de groupes. [vues n° 7-8, 28-29, 34-41]
- Bloc opératoire au camp. [vues n° 9-10]
- Théâtre russe et prisonniers travestis. [vues n° 11-22]
- L'orchestre du camp. [vues n° 23-26]
- Le sport : équipe de rugby. [vues n° 27]
- "Souvenirs des derniers jours de captivité", 25 novembre 1918. [vues n° 30-31]
- Prisonniers de guerre écossais en kilt. [vues n° 32-33]
- "Souvenir de notre captivité". [vues n° 42-43]
- "Camarade décédé à la guerre". [vues n° 44-45]
- Recueillement autour du monument érigé en mémoire des soldats britanniques morts en captivité. [vues n° 46-47]
- Monument érigé en mémoire des soldats britanniques morts en captivité. [vues n° 48-49]
- Monument "Aux soldats Français et Belges morts en captivité. 1915". [vue n° 50]
- Enterrement. [vues n° 51-52]

L'original appartient à Mme Jacqueline Amadou.