CONTENU ET STRUCTURE :
Présentation du contenu : Contexte familial, formation scolaire et professionnelle.
Père menuisier-charpentier ; cadet d'une fratrie de quatre enfants ; télégraphiste au moment de la déclaration de guerre.
La « drôle de guerre » (1939-1940).
(00.01.18) Parcours militaire de son père ; (00.02.08) refus du conseil de révision devant sa décision de s'engager ; ses sentiments face aux agressions d'Hitler (1939) ; (00.03.33) son engagement syndicaliste à la CGT ; (00.04.28) digression sur son refus de faire de la propagande pétainiste en 1941 ; (00.06.25) la déclaration de guerre : télégramme officiel sur son lieu de travail ; (00.07.45) aucune explication par rapport à son exemption ; (00.08.30) ses différents emplois : télégraphe le jour et boulanger la nuit ; (00.09.52) sentiment de soulagement face à la « drôle de guerre » car marqué par le nombre élevé de morts de 1914-1918 ; surpris par la rapidité de la défaite ; (00.10.44) le parcours militaire d'un de ses frères durant cette période ; (00.12.30) témoin de l'exode de nombreux Belges ; anecdote amusante concernant la maison de son oncle ; (00.14.00) ; étonnement et confusion sur la capitulation de la France ; l'appel du 18 juin 1940 : mauvais pressentiment vis-à-vis de l'Angleterre ; (00.15.42) scepticisme par rapport à la politique de Pétain ; sympathie pour la Gauche.
Les Chantiers de la Jeunesse (1941).
(00.17.24) Chantier n° 18 dans les Chantiers de la Jeunesse du Vigan (Gard) sous la direction du capitaine Braineau (château de Lavèze) ; (00.18.26) description de l'organisation du chantier ; dispersion des camps dans la nature ; affecté au poste de téléphone pendant six mois.
Le retour à la vie civile et le service du travail obligatoire (STO) (1942-1943).
(00.21.15) Nommé facteur à Brassac (Tarn) pour une année ; (00.21.46) le rationnement ; en collocation avec un collègue de travail ; (00.23.20) anecdote sur une convocation reçue de la police ; (00.24.50) climat général tendu ; (00.26.03) manque d'informations ; besoin d'écouter la radio suisse pour obtenir des informations « concrètes et complètes » ; (00.27.24) son avis sur la Relève et la politique de la Révolution nationale ; (00.28.55) manifestation à Mazamet (Tarn) pour empêcher le départ d'un train pour le STO ; (00.31.03) absence des maquis jusqu'en 1944 ; (00.32.14) convocation au STO et départ pour Innsbrück (Autriche) le 14 juillet 1943 : description détaillée du trajet ; anecdote sur La Marseillaise chantée par des habitants de Mulhouse (Haut-Rhin) ; (00.36.30) étape à Wörgl (Autriche) : paradoxe entre les prisonniers de guerre en libre circulation dans la rue et les travailleurs volontaires enfermés dans un camp ; digression sur ses retrouvailles avec un ami, Georges Rouquier ; (00.37.15) ignorance de la destination et anecdote sur le colonel de la Feldpost les escortant ; (00.39.30) description du camp de Wörgl ; bonne entente avec les Autrichiens ; (00.41.02) détails sur son arrivée à Innsbrück (Autriche) ; (00.43.22) ses diverses affectations ; apprentissage de la langue allemande ; petits larcins et vols commis ; (00.49.50) digression sur les excellentes conditions de vie à l'hôtel Golden Rose ; (00.51.15) des bombardements et des alertes réguliers ; (00.54.20) ; digression sur son transfert au camp de Wörgl à la suite d'un bombardement ; évocation des loisirs.
Contexte familial, formation scolaire et professionnelle.
Père menuisier-charpentier ; cadet d'une fratrie de quatre enfants ; télégraphiste au moment de la déclaration de guerre.
La « drôle de guerre » (1939-1940).
(00.01.18) Parcours militaire de son père ; (00.02.08) refus du conseil de révision devant sa décision de s'engager ; ses sentiments face aux agressions d'Hitler (1939) ; (00.03.33) son engagement syndicaliste à la CGT ; (00.04.28) digression sur son refus de faire de la propagande pétainiste en 1941 ; (00.06.25) la déclaration de guerre : télégramme officiel sur son lieu de travail ; (00.07.45) aucune explication par rapport à son exemption ; (00.08.30) ses différents emplois : télégraphe le jour et boulanger la nuit ; (00.09.52) sentiment de soulagement face à la « drôle de guerre » car marqué par le nombre élevé de morts de 1914-1918 ; surpris par la rapidité de la défaite ; (00.10.44) le parcours militaire d'un de ses frères durant cette période ; (00.12.30) témoin de l'exode de nombreux Belges ; anecdote amusante concernant la maison de son oncle ; (00.14.00) ; étonnement et confusion sur la capitulation de la France ; l'appel du 18 juin 1940 : mauvais pressentiment vis-à-vis de l'Angleterre ; (00.15.42) scepticisme par rapport à la politique de Pétain ; sympathie pour la Gauche.
Les Chantiers de la Jeunesse (1941).
(00.17.24) Chantier n° 18 dans les Chantiers de la Jeunesse du Vigan (Gard) sous la direction du capitaine Braineau (château de Lavèze) ; (00.18.26) description de l'organisation du chantier ; dispersion des camps dans la nature ; affecté au poste de téléphone pendant six mois.
Le retour à la vie civile et le service du travail obligatoire (STO) (1942-1943).
(00.21.15) Nommé facteur à Brassac (Tarn) pour une année ; (00.21.46) le rationnement ; en collocation avec un collègue de travail ; (00.23.20) anecdote sur une convocation reçue de la police ; (00.24.50) climat général tendu ; (00.26.03) manque d'informations ; besoin d'écouter la radio suisse pour obtenir des informations « concrètes et complètes » ; (00.27.24) son avis sur la Relève et la politique de la Révolution nationale ; (00.28.55) manifestation à Mazamet (Tarn) pour empêcher le départ d'un train pour le STO ; (00.31.03) absence des maquis jusqu'en 1944 ; (00.32.14) convocation au STO et départ pour Innsbrück (Autriche) le 14 juillet 1943 : description détaillée du trajet ; anecdote sur La Marseillaise chantée par des habitants de Mulhouse (Haut-Rhin) ; (00.36.30) étape à Wörgl (Autriche) : paradoxe entre les prisonniers de guerre en libre circulation dans la rue et les travailleurs volontaires enfermés dans un camp ; digression sur ses retrouvailles avec un ami, Georges Rouquier ; (00.37.15) ignorance de la destination et anecdote sur le colonel de la Feldpost les escortant ; (00.39.30) description du camp de Wörgl ; bonne entente avec les Autrichiens ; (00.41.02) détails sur son arrivée à Innsbrück (Autriche) ; (00.43.22) ses diverses affectations ; apprentissage de la langue allemande ; petits larcins et vols commis ; (00.49.50) digression sur les excellentes conditions de vie à l'hôtel Golden Rose ; (00.51.15) des bombardements et des alertes réguliers ; (00.54.20) ; digression sur son transfert au camp de Wörgl à la suite d'un bombardement ; évocation des loisirs.
INDEXATION :
Indexation géographique : Saint-Gély-du-Fesc (Hérault, France) ; Le Vigan (Gard, France) ; Brassac (Tarn-et-Garonne, France) ; Mazamet (Tarn, France) ; Mulhouse (Haut-Rhin, France)