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Notice descriptive

  • Archives numérisées de complément
    • Archives d'origine privée PRI
      • Archives familiales PRI
        • Archives de Mme Nicole Ducamp : fonds Albert Alexis Azam. 89 PRI 1-3

89 PRI 3 Fonds Albert Alexis Azam (1883-....), caporal télégraphiste au 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des télégraphistes du 3e corps d'armée : carnet de guerre manuscrit (27 avril - 31 juillet 1915). 1915

Description physique : Document numérisé consultable en ligne. Numérisé par les Archives départementales en 2014 sur un copy book i2s. 300 dpi. Couleur. 18 vues.
CONTEXTE :
Présentation du producteur :

Albert Alexis Azam, fils de Jean-Pierre Alexis Azam et Anne Adélaïde Guibal, naît le 9 septembre 1883 à Brindisi (Italie).
Alors qu'il est bijoutier, Albert Azam contracte un engagement volontaire le 28 janvier 1902 à la mairie de Béziers (Hérault) ; il est alors intégré au 5e régiment du génie (5e RG) en tant que sapeur télégraphiste (matricule n° 276, classe 1903 au recrutement de Béziers-Saint-Pons), puis devient caporal télégraphiste le 21 septembre 1902. Réformé temporaire le 7 septembre 1903 pour "otite moyenne chronique", maintenu en réforme le 28 septembre 1905 pour "otite moyenne double", il est finalement reconnu apte au service auxiliaire le 17 octobre 1906 où il intègre alors le 8e régiment du génie (8e RG), affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée. Il quitte l'armée à l'issue de son engagement et passe dans la réserve de l'armée active le 7 novembre 1906.
Albert Azam est alors classé sans affectation de guerre (NA) à la Compagnie du Midi comme électricien à Fontpedrouze (Pyrénées-Orientales) du 13 novembre 1909 au 12 octobre 1912.
Devenu voyageur de commerce de la Maison Charles Monternier, à Montpellier, il est rappelé à l'activité par la mobilisation générale le 1er août 1914, est affecté au détachement des sapeurs télégraphistes du 3e corps d'armée et arrive au corps le 3 août 1914. Il gagne le Front de Champagne autour de Reims.
La commission de réforme d'Angoulême maintient Albert Azam en service auxiliaire le 8 février 1916, à la suite d'une blessure de guerre (otite consécutive à un éclatement d'obus) ; ce dernier est promu caporal-fourrier le 24 mars 1916, puis renvoyé dans ses foyers le 4 juin 1916. Albert Azam est affecté au 7e Régiment du Génie (7e RG) le 15 novembre 1918, puis démobilisé le 16 mars 1919 ; il est décoré de la médaille de la Victoire et de la médaille commémorative de la Grande Guerre.
Après la guerre, Albert Azam devient chef de gare à Olette (Pyrénées-Orientales) ; marié, il est père de trois enfants, dont l'un né après la guerre.

Nom du producteur : Azam, Albert Alexis (1883-....)
Modalités d’entrée :

Fonds numérisé dans le cadre de la Grande collecte Europeana 1914-1918.

CONTENU ET STRUCTURE :
Présentation du contenu :

[vue n° 2] : Traduction de l'alphabet allemand en gothique manuscrit suivi d'une liste de noms

[vues n° 2-3] : Liste de mots français traduits en allemand

[vue n° 4] :
- Jules Azam, Section Auto TM 444 par Paris
- Confié pour me l'expédier un paquet à M. Carles Receveur des postes à Merfy. 2 doubles de 75, 3 paires gants, 1 cache-nez, 2 porte-photo. Le 26 Avril 1915

Mardi 27 Avril 1915. 271ème jour de Campagne
Voir pour le commencement de la Campagne les carnets n° 1 et 2.

Enfin nous sommes partis de la région Trigny pour une direction inconnue. 1re étape Branscourt.
Départ Trigny sac au dos à 10h1/2 du matin par une chaleur étouffante. L'étape nous paraît d'autant plus pénible qu'elle nous est aigrie par l'obligation de porter le sac ce qui ne s'était jamais produit de mémoire de télégraphiste. En arrivant à 2h histoire de nous reposer nous partons en construction de ligne jusqu'à Rosnay.
L'intelligence de certains chefs se manifeste là. Rentrés le soir au cantonnement complètement vidés, le lendemain (&)

[vue n° 5] :
(&) pas de changement notable sinon que tous les jours, jusqu'à Aujourd'hui non compris (Dimanche 2 mai) nous faisons de la construction de ligne de campagne pour nous apprendre (oh ironie) sous la haute direction du Sergent Blanquet.
Quel métier.
Lendemain Lundi, j'entre en fonctions au fourgon comme faisant fonction Caporal-fourrier ce que faisait Beauchêne avant sa nomination au grade de Sergent Fourrier.
Nous verrons ce que fera ce métier.

Lundi 3 mai 1915. 277ème jour

Lundi 10 mai- 1915
Nous voilà partis de Branscourt pour une région inconnue. Bicyclette jusqu'à Fismes où nous attendons de 6h30 à 11h15 soir que le train parte. 12 heures de chemin de fer et nous débarquons à Longau [Longueau] à 4 kilomètres d'Amiens. A 2 heures départ de Longau pour Sombrin où nous arrivons à 7h20 du soir après une ballade de 47 kilomètres en vélo avec un vent debout formidable, une route en montagnes russes agrémentée de côtes plus terribles les unes que les autres et une poussière aveuglante par suite du grand nombre d'automobiles transportant les hommes de l'infanterie. Quelle belle chute que je me suis payé, c'est (&)

[vue n° 6] :
(&) miracle que je n'aie pas été écrasé par un autobus. Mon vélo a eu sa roue avant complètement pliée en 8. Nous avons réussi avec Pelerin à la redresser et j'ai pu continuer à rouler avec peine jusqu'à Doullens et Sombrin (Pas-de-Calais).
Soupé au café avec Chausson et allé dormir au poste de la mairie.
Ce matin 6h départ pour Avesne-le-Comte à 4h50 de Sombrin. Il fait excessivement chaud. Heureusement que la bière ne manque pas, et bonne et pas chère.
D'énormes quantités de blessés sont passées par 3 trains et ambulances automobiles.
Ca tape très dur dans cette région mais nous faisons une avance notable.

Mardi 11 Mercredi 12 Jeudi 13 Mai 1915
Avesnes-le-Comte (Pas-de-Calais)
Rien de notable à signaler.
Aujourd'hui Mercredi temps mauvais (pluie).
Ce matin au rassemblement, Blanquet nous a lu un délicieux motif de littérature pondu par Castelet qui a réussi après plusieurs heures d'efforts intellectuels à accoucher d'une de ses conneries habituelles. C'est douloureux de se voir commander par des officiers pareils qui au sujet de repas chauds viennent vous parler des commentaires de Jules César, oh connerie sans limite. J'ai découvert ce matin que l'adjudant Levêque est un copain à Sidobre. Si jamais je le retrouve à Montpellier, il faudra que je lui en cause.

[vue n° 7] :
La situation est sans changement et nous sommes toujours à Avesnes-Le-Comte aujourd'hui

Lundi 17 Mai 1915
Toujours mauvais temps avec quelques éclaircies de soleil. Les communiqués qui paraissent nous apprennent que nous réalisons d'importants progrès au nord d'Arras, mais ils doivent nous coûter rudement cher car il passe sans cesse des blessés.

Jusqu'à aujourd'hui Samedi 22 Mai, il ne se passe rien d'intéressant du point de vue général. Nous ne considérons pas nos petites avances comme des succès, et les Russes non plus.
L'Italie joue toujours avec les tours en passe-passe et n'a pas déclaré la guerre. On attend impatiemment que quelque chose se déclenche. L'Amérique aussi semble bien vouloir entrer en jeu à la suite du torpillage de la Lusitania, le plus beau paquebot anglais qui existait dans quelques jours nous serons fixés.
Hier soir à l'est d'Arras, il y a eu une terrible canonnade. Elle avait duré toute la journée avec des variations d'intensité mais à 9h du soir le grand branle-bas a commencé. On aurait dit le roulement de fourgons sur le pavé. A plus de dix kilomètres où nous étions le bruit se distinguait parfaitement et nous assourdissait. Le duel d'Artillerie a duré presque toute la nuit et continue ce matin par les grosses pièces. Hier soir, c'était le 75 qui donnait. Encore des malheureux qui n'auront pas vu le soleil de ce beau jour qui s'est levé ce matin.

[vue n° 8] :
Jeudi 21 Mai 1915
Nous sommes à Barly, Pas-de-Calais depuis mardi, à 4 kilomètres de Avesnes-Le-Comte, installés dans le parc du château. Nous faisons la popote en plein air et nous couchons sous la tente installée sous les grands arbres, et n'y sommes pas du tout mal. La bataille d'artillerie cogne dur sur Arras, depuis 3 jours et trois nuits sans interruption le canon gronde. Nous ne connaissons aucun résultat.
Le séjour sous nos arbres est délicieux. Depuis le commencement de la Campagne, nous n'avons été si bien comme lieu au grand air dans un endroit merveilleux. Que demander de plus. La classe oh oui, car depuis le 2 Août ça commence à être terriblement long et pénible, sans compter que les ruines s'accumulent aussi bien dans les régions envahies que partout ailleurs. L'Italie s'est décidée à entrer en jeu ; depuis le 23 Mai, elle a déclaré la guerre à l'Autriche. Nous avons tous l'espoir que ce fait écourtera un peu la campagne. Au moment où j'écris ces lignes, la bataille, ou plutôt le duel d'Artillerie, fait rage. C'est épouvantable. Malgré ce, on ne voit pas passer trop de blessés. Il est vrai que l'infanterie ne donne pas. Attendons avec impatience d'avoir des précisions. Il semble que la canonnade soit du côté de Carency ou de Notre-Dame-de-Lorette.

Mardi 1er Juin 1915
302ème jour de campagne
Au train dont nous y allons, il ne faut pas désespérer de doubler de bien loin le cap des 365 et plus. Rien de nouveau à signaler. Toujours à Barly (&)

[vue n° 9] :
(&) où il débarque toujours des quantités de troupes. Peu ou pas de canonnade dans notre secteur.
Ce matin on a donné la chasse à un Aviatick. Deux obus non éclatés sont venus nous tomber à à peu près cinquante mètres du cantonnement. L'Aviatik faisait vite, très vite même pour s'en aller.
Hier soir Grande nouba. Souper au champagne pour recevoir l'ami Housser qui de Sergent est passé Adjudant au 28ème. Ce matin nous avions tous un peu la gueule de bois.

Mardi 9 Juin. 310ème jour.
C'est à la formation sanitaire de Doullens que j'écris ces lignes. Je suis malade dans le dos et dans les reins. Le major de Barly m'a évacué pour Bronchite chronique et Sommet du poumon droit suspect. J'attends d'être évacué sur un hôpital depuis déjà longtemps je traînais et décidément ne pouvant plus tenir je me suis fait porter malade. Ca n'a pas traîné. A 10 heures je passais la visite et à midi je partais en auto pour l'hôpital. Je souffre toujours, mais j'ai surtout le cafard pour ma famille.
J'ai pu avoir hier soir par un fantassin malade une relation très exacte du combat de Souchez Aix Houlette Ablain St Mazaire du 23 mai au (&)

[vue n° 10] :
(&) 3 juin. Les combats dans les maisons, dans les caves à coup de grenades, de couteaux, de crosses de fusil et surtout à coups de pieds. C'était un véritable combat de sauvages. Aussitôt qu'un Boche mettait le nez à un soupirail, il recevait un coup de crosse ou un coup de soulier ; nous avons eu de grosses pertes mais les Boches ont beaucoup plus trinqués que nous. On leur lançait des grenades dans les caves où ils étaient réfugiés par 30 et 40. Pas un n'en est sorti.
Il serait puéril de nier que nous avons vu des mitrailleurs Allemands enchaînés à leurs pièces. Quand on leur tombait dessus, ces malheureux étaient hagards et absolument affolés. On les tuait sans pitié car ce sont les mitrailleurs qui nous ont toujours fait le plus de mal. Nous ne craignons pas leurs canons comme leurs mitrailleuses dont ils sont abondamment pourvus 25 par régiment et nous 6.
Depuis 3 jours, la canonnade est ininterrompue du côté d'Arras. Avant-hier, Blanquat l'a évité de bien près. Ils ont été heureux de flanquer la canonnade et de se mettre à l'abri d'un mur. Ils se sont laissés repérer et plus de 50 obus de 75 et 105 leur sont tombés aux alentours, sans leur causer aucun dommage, mais ils avaient chaud.
L'Infirmier de la salle où je suis à Doullens est prêtre Breton. D'ailleurs tous les infirmiers ou presque tous ceux qu'il y a ici sont (&)

[vue n° 11] :
(&) prêtres aussi. Orage très violent après midi pendant une bonne heure, on aurait cru le déluge. Après un moment d'arrêt ça se remet à tomber.

Dimanche 13 Juin 1915
Depuis vendredi soir changé d'hôpital suis allé au beffroi le 36 étant plein.
Rien d'important à signaler sinon que malgré qu'en disent les journaux, le moral des troupes est bien mauvais. S'il faut recommencer une campagne d'hiver, nous ne la tiendrons pas car nous sommes tous dégoûtés et découragés. Il y en a assez de cette vie de faire détruire des milliers d'hommes pour arriver à un résultat presque négatif. On ne recule pas c'est vrai, mais on n'avance guère non plus, qu'au prix des plus grands sacrifices en hommes et en munitions c'est terrible cette guerre.
Neuville St Vaoust est pris mais ce que ça nous a coûté est indicible. Nous avons laissé de 3 à 400 morts et 1500 blessés sont passés ici à Doullens.
C'est toujours le combat de sauvages, même à coups de couteaux à virole qui a décidé de la prise des quelques dernières maisons de ce patelin en ruines. Ils sont forts et tenaces les Boches. Nous avons commencé depuis quelques jours l'emploi des gaz asphyxiants qui ont fait leur effet. Et nous disons que nous sommes civilisés !! Il est vrai qu'il faut répondre du tac au tac à ces brutes.

[vue n° 12] :
Vendredi 18 Juin 1915
Résumé de quelques journées.
Départ de Doullens le 14 juin à 7h10 passés par Fienvillers Candas Amiens Creil Le Bourget Mantes Vernon Gasny Gisors où nous arrivons le 15 à 15 heures.
Le voyage nous a laissé de charmants souvenirs. D'abord au départ de Doullens deux infirmières Anglaises nous servent du café, pain blanc, cigarettes, allumettes, cartes postales ; les infirmières du train nous donnent Pain, fromage blanc, lait, thé. Passé une nuit assez confortable au moyen des brassières du wagon de 2ème classe que j'occupe avec 7 autres. Ces brassières convenablement disposées sous les bras me permettent de passer une bonne nuit. Les dames de la Croix Rouge sont très dévouées pour les blessés. L'une, je l'ai vue mettre un chausson au pied blessé d'un poilu et à l'autre pied lui enlever une chaussette sale et y mettre une propre en laine.
Aubervilliers - La Courneuve où nous arrivons à 4 heures du matin distribution de bouillon chaud, puis café au lait au cacao. Je prends du cacao avec du pain et des cigarettes ; nous en avons tant que nous ne savons plus où les mettre. Rien ne nous manque.
Nulle part cependant comme à Gasny la réception n'a été chaleureuse. On nous a fleuri le train, les femmes, hommes et jeunes gens du pays (cette fois-ci rien de la Croix Rouge), se cotisaient pour nous offrir des douceurs chocolat, bouchés, vin, cidre, bière, vin blanc, cigarettes, enfin tout. C'est une réception (&)

[vue n° 13] :
(&) inoubliable. Nous aurions été un train de vainqueurs qu'on ne nous aurait pas mieux reçus. Les braves gens.
Arrivés à Gisors à 15 heures où je suis dirigé sur la Croix Rouge Hôpital auxiliaire n°28 route de Dieppe.
Hôpital entièrement civil monté par notabilités du pays. Le Docteur nous passe une méticuleuse visite dès notre arrivée et me trouve une bronchite avec localisation légère au sommet droit. Je sais ce que ça veut dire.
Comme chambres, nourriture etc on ne peut être mieux que là.
Sortie deux fois par semaine, le jeudi et le dimanche.
Les dames de ma salle n° 28 sont Mme Lecomte et Patrouillard, deux excellentes personnes dont j'emporte un excellent souvenir à mon départ pour Rouen le 28 juin après 14 jours à Gisors.
J'arrive à l'hôpital complémentaire n°47 de Mont-Saint-Aignan à Rouen pour me faire soigner mon oreille.
Je me rase consciencieusement car j'ai hâte d'aller faire un tour vers chez moi. Depuis 11 mois c'est long et d'autant mieux que nous sommes moins bien ici qu'à Gisors.

Mercredi 20 Juillet 1915
Depuis le 28 juin me voici à Mont-Saint-Aignan. Il m'a fallu inquiéter pour pouvoir être porté sortant.
Si l'on n'est pas malade (&)

[vue n° 14] :
(&) on n'a qu'à venir ici pour y être bien soigné. Enfin. Peu importe puisque mon oreille n'a besoin d'aucun soin étant incurable. J'ai trouvé le moyen de me mettre très bien avec le vieux capitaine gestionnaire. J'ai fait toutes sortes de petits travaux, sonnerie, peinture, et j'ai remplacé le coiffeur en permission de huit jours, ce qui m'a rapporté quelques sous.
Mon séjour à Mont-Saint-Aignan m'aura toujours procuré l'occasion de connaître Rouen qui est une très jolie ville, mais il y pleut trop souvent. On y a tous les jours de l'eau. On se lève le matin avec le soleil et à 10 heures il pleut.
Enfin, je m'en vais. J'ai obtenu de pouvoir filer d'ici et c'est après demain matin vendredi 30 juillet que je vais pouvoir aller voir tous les miens que je n'ai pas vus depuis un an.
La guerre n'est pas près d'être finie.
Les nouvelles que nous connaissons par les journaux ne sont pas mauvaises mais n'annoncent pas une marche bien rapide. Depuis le mois de septembre nous sommes tous sur les mêmes positions ou à peu près.

Samedi 31 Juillet 1915
Parti enfin hier de Mont-Saint-Aignan pour Lisieux au dépôt de convalescents. Hier.
Aujourd'hui départ de Lisieux pour Montpellier directement. Permission jusqu'au 12 inclus. Traversé Paris en vitesse pour attraper le rapide (&)

[vue n° 15] :
(&) qui me laissera chez moi ce soir à 5h24. (Dimanche)

[vue n° 16] : Trajet de Lisieux à Paris avec nom des villes indiquées, et heures de passage.

[vue n° 17] : dessin au crayon d'une tête

SOURCES COMPLÉMENTAIRES :
Informations sur les originaux :

L'original appartient à Mme Nicole Ducamp.

INDEXATION :
Indexation géographique : Italie ; Béziers (Hérault, France) ; Hérault (Occitanie, France ; département) ; Occitanie (France ; région administrative) ; Montpellier (Hérault, France) ; Avesnes-le-Comte (Pas-de-Calais, France) ; Pas-de-Calais (Hauts-de-France, France ; département) ; Barly (Pas-de-Calais, France) ; Doullens (Somme, France) ; Somme (Hauts-de-France, France ; département) ; Hauts-de-France (France ; région administrative) ; Normandie (France ; région administrative) ; Eure (Normandie, France ; département)
Indexation matière : Guerre 1914-1918

Iconographies

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