Marie de Maureilhan, veuve de Guillaume de Lort de Sérignan, maréchal de camp des armées du roi, dote l'hôpital de Béziers, dit "de la Charité Saint-Joseph et réduction des pauvres", d'une somme de 2400 livres ou de terres à Valras et Sérignan, au choix de son héritier, avec la charge pour l'établissement d'assurer une pension de 150 livres en faveur de sa fille Gabrielle de Sérignan, alors moniale du couvent Sainte-Marie de Béziers.