Les années sont reliées en étant inversées.

Sans ordre chronologique.

Sans ordre chronologique.

A partir du 18 novembre 1835, Maître Joseph Boyer instrumente sur le même registre à la suite de son prédécesseur.

Les actes précédents de Maître Joseph Boyer sont conservés à partir du 18 novembre 1835 dans les actes de Maître Jean Paul Vincent Noguier (2 E 20/19).

Le dernier cahier est relié tête-bêche.

Les trois premiers actes sont passés devant Maître Guillaume Léopold Pourquier, notaire de Sérignan, remplaçant Maître Joseph Boyer.

A partir du 26 septembre 1847, Maître Guillaume Gratien Mijoulet instrumente sur le même registre, à la suite de son prédécesseur.

Les actes précédents de Maître Guillaume Gratien Mijoulet sont conservés à partir du 26 septembre 1847 dans les actes de Maître Joseph Boyer (2 E 20/31).

A partir du 31 mars 1867, Maître Victor Jacques Damase Calmette instrumente sur le même registre à la suite de son prédécesseur.

Les actes précédents de Maître Victor Jacques Damase Calmette sont conservés à partir du 31 mars 1867 dans les actes de Maître Guillaume Gratien (2 E 20/51).

Maître Victor Jacques Damase Calmette instrumente jusqu’au 27 mars ; à partir du 29 mars Maître Constant Vernazobres rédige ses actes sur le même registre à la suite de son prédécesseur.

Les actes précédents de Maître Constant Vernazobres sont conservés à partir du 27 mars 1881 dans les actes de Maître Victor Jacques Damase Calmette (2 E 20/65).

A noter, le 11 mars 1882, la vente par Charles Darolles, négociant de Sète, à Maître Léon Calmette, ancien notaire de Cruzy, du château de Restinclières sur la commune de Prades-le-Lez.

A noter, le 31 août 1882, l’acte de dépôt des statuts pour la création de la société philarmonique de Sainte-Cécile de Sérignan.

A noter, le 12 septembre 1884, le prêt consenti à Maître Léon Calmette, ancien notaire de Cruzy, pour l’achat du château de Restinclières.

A noter, le 18 décembre 1885, un acte de liquidation de succession portant évaluation de vignes victimes du phylloxéra.

Maître Constant Vernazobres instrumente jusqu’au 25 mars 1888 ; du 29 mars au 25 mai 1888, Maître Paul Gept, notaire de Béziers, assure la gérance de l’étude vacante. A partir du 30 juin 1888, Maître Arthur Marius Etienne Ignace Maury instrumente sur le même registre que son prédécesseur.

Les actes précédents de Maître Arthur Marius Etienne Ignace Maury sont conservés à partir du 30 janvier 1888 dans les actes de Maître Constant Vernazobres (2 E 20/77).