Route de Toulouse à Albi, par Gaillac. - Procès-verbal de l'enquête faite par Jean-Louis Valat, subdélégué à Albi (23 septembre 1746), et ordonnance de l'intendant Lenain (20 octobre 1746) au sujet des « usurpations faites par différents particuliers d'une partie de l'ancien chemin de Gaillac à la Pointe ». - Requête adressée à l'intendant Lenain par Géraud Fargues et Jean Pellefigue, mes charpentiers de la ville de Toulouse, contre Pierre Bergis, entrepreneur « de la construction d'un nouveau pont sur la rivière de Lhers » (avant le 16 mai 1750). - « État des ouvrages faits année par année au chemin de la Pointe-St-Sulpice à Gaillac, à compter depuis 1739 » (15 juillet 1750). - Certificat, par l'ingénieur De la Roque, « directeur des travaux du chemin royal

• Route de Toulouse à Albi, par Gaillac. - Procès-verbal de l'enquête faite par Jean-Louis Valat, subdélégué à Albi (23 septembre 1746), et ordonnance de l'intendant Lenain (20 octobre 1746) au sujet des « usurpations faites par différents particuliers d'une partie de l'ancien chemin de Gaillac à la Pointe ». - Requête adressée à l'intendant Lenain par Géraud Fargues et Jean Pellefigue, mes charpentiers de la ville de Toulouse, contre Pierre Bergis, entrepreneur « de la construction d'un nouveau pont sur la rivière de Lhers » (avant le 16 mai 1750). - « État des ouvrages faits année par année au chemin de la Pointe-St-Sulpice à Gaillac, à compter depuis 1739 » (15 juillet 1750). - Certificat, par l'ingénieur De la Roque, « directeur des travaux du chemin royal de Toulouze à Gaillac », des sommes dues aux « entrepreneurs de l'entretien de la première partie du dit chemin, depuis Toulouze jusqu'à la Pointe-St-Sulpice » (21 juillet 1750) ; - ordonnance de l'Intendant pour le mandatement de 4 049 livres 17 sols 6 deniers aux dits entrepreneurs (s. d.). - Délibération du conseil politique de Rabastens (16 mai 1751) et requête de l'administration municipale du dit lieu (s. d.) à l'intendant de Saint-Priest, au sujet de l'éboulement de terrain qui s'est produit à la côte du port haut du dit Rabastens. - « Procès-verbal de vérification de l'état du chemin depuis Toulouse jusqu'à Saint-Sulpice-de-la-Pointe, contenant les réparations de l'entretien à y faire pendant la présente année 1753 », signé : De la Roque (24 mars 1753) ; - requêtes de Jean Caperan, caution de l'entrepreneur Étienne Asquier, - lettre de l'ingénieur De la Roque, - ordonnance de l'Intendant (31 juillet 1753), etc., au sujet de l'exécution des dites réparations.