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Notice descriptive

1926 W 1-2760 Office départemental d'action culturelle (ODAC) de l'Hérault - Photothèque - Photographies sur plaques de verre (1926 W) [1890-2000]

  • par Floriana Bardoneschi (reprise de la version précédente par Anne-Lise Navarro et Luce Lebart), travail coordonné par Muriel Paquelet et Annie Parmentier ; sous la direction de Sylvie Desachy.
  • Archives départementales de l'Hérault
  • Montpellier - 2008
  • Contexte
  • Nom du producteur
    Office départemental d'action culturelle de l'Hérault (ODAC)
  • Présentation du producteur

    Parmi les différents fonds familiaux présents dans les documents cotés 1926 W, seul l'ensemble issu de la famille Soulas a fait l'objet de recherches biographiques approfondies, à l'occasion d'une exposition temporaire réalisée aux Archives départementales de l'Hérault en 2016.

    Soulas, Louis Joseph Marie (1893-195.?)

    Louis Soulas naît le 5 mai 1893 à Viols-le-Fort (ADH, 5 Mi 41/7), entouré de ses parents, Jean-Baptiste Raymond (né le 7 octobre 1858 à Viols-le-Fort) et Julie Marie Augustine Gilodes (née le 16 avril 1870 à Aniane), ainsi que de son frère, Marie Joseph André, de deux ans son aîné (né le 5 avril 1891) (ADH, 6 M 809). Une sœur, Agnès, naît la 3 avril 1900, mais ne survivra que jusqu'au 17 juin de la même année. A la naissance d'André, leur père, Raymond, est en voyage en Amérique du Sud (ADH, 5 Mi 41/7).

    Ce dernier reprend la boucherie familiale à la suite de son propre père, Antoine, signalé comme boucher en 1889 et marchand de moutons en 1891 (ADH, PAR 1600/70). Mais à partir des années 1920, il est recensé comme propriétaire et cultivateur. La famille habite alors rue Duchesse à Viols-le-Fort et elle habitera aussi au Plan du Quai, dans une maison qui deviendra la mairie (ADH, 6 M 809).

    Entre 1906 et 1911, Louis quitte le domicile pour étudier comme son frère l'a fait précédemment. Puis, en 1912, Il devance l'engagement au service militaire et part faire ses classes alors qu'il est encore étudiant (ADH, 1 R 1261). Peut-être a-t-il envie de rejoindre son frère, incorporé en 1911 alors qu'il étudie la médecine (ADH, 1 R 1241) ? Il entre alors dans l'artillerie. Sa fiche de registre matricule indique qu'il mesure 1,69 m, a les yeux bruns et les cheveux châtain foncé (ADH, 1 R 1261).

    En mars 1914, alors qu'il est élève-officier, il se marie avec Elisa Buré (née le 16 novembre 1895 à Nîmes) (ADH, 45 Q 8/743 ; 3 Q 10680). Dans sa dot, elle apporte notamment la maison du Plan du Quai à Viols-le-Fort et plusieurs domaines agricoles, en particulier ceux de Sajolles, Lunes, Mascla et Roussières, avec le troupeau de moutons qui y est attaché (ADH, 2 E 61/431).

    La guerre éclate et s'éternise. Louis monte progressivement en grade, fait preuve de courage et de sang-froid, - ce qui lui vaut d'être décoré de la Croix de guerre et de la Légion d'honneur (ADH, 1 R 1261 ; AN, 19800035/1248/44028) -, et passe quelques permissions avec son frère à Paris. Il ne rentre à Viols-le-Fort qu'en septembre 1919 (ADH, 1 R 1261).

    À partir de ce moment, Louis fera des allers-retours entre Paris et l'Hérault. Les photos conservées témoignent de ces voyages réguliers et les registres des hypothèques notent plusieurs comptes et lieux de résidence. Ses deux enfants naissent à Paris : Claude Jean Louis André, né le 9 septembre 1921 puis André Jean Philippe Jacques, le 28 juin 1923.

    Après la guerre, Louis devient inspecteur en assurance, puis directeur d'assurance à partir de la fin des années 1930 et sa femme est son assistante (ADH, 45 Q 8/363 ; 45 Q 8/743).

    À Paris, il loge toujours à proximité de son frère André, dans le 16e arrondissement. Celui-ci est médecin (ADH, BIB 5213 et 45 Q 8/363) et a lui aussi deux enfants, avec sa femme, Antoinette Grandeau, épousée le 28 novembre 1917 et dont il divorcera en 1940 : Raymond né le 18 octobre 1918 et Jeanne le 18 octobre 1924 (AM de Paris, 16e arr., V11E 534). Les cousins sont donc tous proches en âge et voisins. Dans les années 1930, le foyer de Louis se situe rue La Fontaine et celui d'André rue Magdebourg (AM de Paris, 16e arr., R2/71- 399 ; R2/73-438 ; R3/63-410). Ils ont dû déménager plusieurs fois car à la naissance de son fils Claude, en 1921, Louis est domicilié rue Erlanger, et à celle de son fils Raymond, en 1918, André est domicilié rue Michel-Ange (AM de Paris, 16e arr., V11E 534).

    Pendant que Louis et André Soulas vivent et travaillent à Paris, c'est Baptiste Fourne, le régisseur du Mas de Gentil qui les représente et s'occupe de l'organisation des travaux agricoles avec des ouvriers (ADH, 6 M 353). L'exploitation familiale comporte divers biens et terres à Viols-le-Fort, Saint-Martin-de-Londres, Notre-Dame-de-Londres ou encore à Combaillaux ou Viols-en-Laval (ADH, 45 Q 8/363 ; 45 Q 8/341 ; 45 Q 8/745 ; 45 Q 8/1011B ; 45 Q 11/247 ; 45 Q 11/4 ; 45 Q 1/2158).

    Louis paraît plus attaché aux racines héraultaises que son frère, en particulier au mas de Gentil à Combaillaux où il vit pendant la Seconde Guerre mondiale avec ses parents, Raymond et Julie. Ceux-ci y décéderont pendant cette période : Raymond, le 12 août 1942 (ADH, 3 E 84/8) et Julie le 18 novembre 1944 (ADH, 3 E 84/8 ; 3 E 355/13). André habite alors avenue Victor Hugo à Paris. Il renonce à la succession de ses parents au profit de Louis le 3 juillet 1950 (ADH, 45 Q 11/1711).

    Nous n'avons pas d'information quant à la fin de la vie de Louis Soulas, mais il serait vraisemblablement décédé après 1963. Le 16 avril 1953, lui et sa femme Elisa donnent à leurs enfants, Claude, alors propriétaire, et André, industriel, des biens immeubles, dont ils échangent une partie le 13 mai 1953. Louis est mentionné dans l'enregistrement de l'acte en tant qu'administrateur de sociétés, domicilié rue Jacques Cœur à Montpellier, tandis que son fils André habite rue Marceau avec son épouse, Monique Pages, et le second, Claude, au Mas de Gentil à Combaillaux (ADH, 45 Q 11/1711). Claude s'est marié à Gigean le 12 novembre 1945 avec Ginette Marie Louise Regord, et il est décédé le 18 septembre 1960 à Montpellier (AM de Paris, 16e arr., V11E 534). Lorsqu'il meurt, Claude est directeur de sociétés et réside 16 rue Jacques Cœur (ADH, 3 Q 10680). Ses parents, Elisa Buré et Louis Soulas, sont domiciliés au même endroit que le couple et leurs deux enfants, André Louis Raymond Soulas (né le 14 avril 1947 à Montpellier) et Elisabeth Marie Andrée Soulas (née le 1er mars 1952 au même endroit). L'acte fait aussi mention de biens en indivision pour moitié avec son frère André : notamment le domaine de Roussières situé sur les communes de Viols-le-Fort, Viols-en-Laval et Saint-Martin-de-Londres, le domaine du Mas de Gentil à Combaillaux, la maison d'habitation du Plan du Quai à Viols-le-Fort et trois autres dans la rue Duchesse, ainsi que plusieurs autres maisons et diverses terres et petites propriétés rurales (ADH, 3 Q 10680).

    Un fonds consacré à la famille Soulas est conservé aux Archives départementales de l'Aude dans la sous-série 131 J.

  • Historique de la conservation

    Lors de leur collecte par l'ODAC, les plaques de verre ont pu recevoir un numéro d'inventaire qui correspond à une fiche de collecte (cf. champ « Documents séparés ») donnant des informations sur le propriétaire du document, la date de la prise de vue, les lieux et personnes représentés. Soit ce numéro est complet (par exemple n°8901947), soit il indique une absence d'identification (par exemple NI 471). Lorsqu'ils sont connus, ces numéros sont reportés dans l'inventaire, mais bon nombre de documents n'ont aucun numéro.

  • Modalités d’entrées

    Versement public de l'ODAC aux Archives départementales de l'Hérault en 2003 suite à la dissolution de l'association en 2002. Plaques de verre données à l'ODAC par des particuliers lors de son activité de collecte de témoignages et de reproductions de documents. Ensembles plus ou moins importants selon les dons (de quelques plaques à plusieurs centaines).

  • Contenu et structure
  • Présentation du contenu

    Cet ensemble de plus de 2700 documents, - principalement des plaques de verre, mais aussi quelques négatifs sur support souple -, représente une importante documentation sur la vie quotidienne dans la première moitié du 20e siècle. Il comporte de nombreux portraits, ainsi que des vues prises lors d'excursions et de voyages dans le département, dans les régions voisines et même à l'étranger.

     

    Plusieurs ensembles se distinguent en fonction des familles donatrices. Toutes les photographies du versement n'ont pas forcément été identifiées comme appartenant à l'une ou à l'autre. Une attribution en fonction de l'identification des personnes et des lieux est certainement possible en l'absence de preuves tangibles (fiche de collecte ou légende du document).

    Voici les fonds identifiés et recensés :

    - Fonds Antonin Lalande (Sète) (principalement NI 1 à NI 186 et NI 514 à NI 518, et n° ODAC 9303968 et 9303969), collecté par Alain Riols en 1989.

    Plus de 200 plaques de verre consacrées à des portraits de famille et des vues de la vie quotidienne et de voyages dans l'Hérault, principalement dans le deuxième quart du 20e siècle. Une partie importante de ce fonds est consacré au sport : principalement course cycliste et football. Antonin Lalande est connu dans le milieu cycliste sétois. En 1928, sous son impulsion, le Tour de France passe à Sète, et en 1935, il crée le « Vélo Sportif Sétois » (http://guidonsportifsetois.info/histoire.php [consulté le 26/04/2016]).

     

    - Fonds n°2, acheté à un brocanteur de Lodève (principalement NI 187 à NI 336, NI 681 à NI 683 et NI 687 à NI 689, et n° ODAC 9303967), collecté par Alain Riols en 1989.

    Un peu plus de 150 plaques de verre représentant des portraits, des vues de paysages et d'activités quotidiennes dont la localisation et les acteurs ne sont pas identifiés.

     

    - Fonds n°3, acheté à un bouquiniste de Montpellier (principalement NI 337 à NI 511 et n° ODAC 9303912 à 9303926), collecté par Alain Riols en 1989.

    Un peu moins de 190 plaques de verre montrant principalement des portraits et quelques monuments et lieux pris lors de voyages dans le Vaucluse, les Bouches-du-Rhône, l'Isère, les Hautes-Alpes et les Alpes-Maritimes ; beaucoup de vues non localisées, qui ont peut-être été faites dans l'Hérault ou aux alentours.

     

    - Fonds Mazoric (principalement NI 512, NI 519 à 628, NI 658 à 680 et NI 684 à 686, n° ODAC 9303970 à 9303982, 9303985 à 9303993, 9303995 à 9304006, 9304008 à 9304012, 9304014 à 9304016, 9304018, 9304020 à 9304022, 9304024, 9304026 à 9304038, 9304040 à 9304042), collecté par Alain Riols et Adrienne Durand-Tulou en 1988.

    Environ 200 plaques de verre documentant surtout les paysages des Causses et les sites naturels du Gard, de la Lozère et de l'Hérault (grottes, rivières souterraines, gorges, cirques, etc.).

     

    - Fonds Michel Vidal (principalement NI 629 à 657), collecté par Michel Vidal en 1986.

    Près de 30 plaques de verre comprenant quasi exclusivement des portraits.

     

    - Fonds collecté par Alain Riols en 1989 (principalement n° ODAC 8901943 à 8902031).

    Ensemble de 92 plaques de verre : vues du Grau-du-Roi et de Palavas-les-Flots (bâtiments, canal, navigation et plage), des salins d'Aigues-Mortes, du port et des quais de Sète, ainsi que quelques photographies prises sur le littoral languedocien et en Provence, dont la localisation n'est pas précisée.

     

    - Fonds Adrienne Durand-Tulou (n° ODAC 9000933 et 9000934), collecté par Alain Riols en 1990.

    Deux contretypes sur nitrate réalisés pour la fabrication de cartes postales, qui montrent une procession de la Fête-Dieu sur la place du Quai au Vigan au début du 20e siècle.

     

    - Ensemble de 101 plaques de verre collecté sous les n° ODAC 9303912 à 9303926, 9303967 à 9304042, 934277 à 934287.

    Photographies prises lors de voyages dans l'Isère (notamment à Grenoble), les Bouches-du-Rhône (notamment à Avignon et Marseille), les Alpes-Maritimes (notamment à Nice) et à Lourdes ; lors d'excursions sur des sites naturels gardois et héraultais (rivières souterraines, grottes, pics, cascades, cirques, etc.) et vers des lieux du patrimoine culturel et architectural (châteaux, abbayes, ponts, etc.).

     

    - Fonds Jean-Claude Richard (n° ODAC 9801574 et 9801575), collecté par Nadine Vakhnovsky en 1998.

    Deux plaques de verre représentant Saint-Jean-du-Gard en 1929.

     

    - Fonds Léon Saunal (principalement n° ODAC 9901378 à 9901467 et 9901509 à 9901882 et pour partie sans numéro attribué), collecté par Nadine Vakhnovsky et Pierre Laurence en 1999 auprès de M. René Saunal.

    Une partie des documents recensés par l'ODAC lors de sa collecte (voir les inventaires de l'ODAC) semble manquante dans le fonds actuellement conservé aux Archives départementales de l'Hérault, ou peut-être y est-elle mal identifiée. Il s'agit notamment des n° ODAC 991468 à 991508, 991756 à 991880 et 991883, qui concernent principalement des portraits des habitants de La Salvetat, la vie et les activités dans le village pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale.

    Cet ensemble comporte 339 photographies sur plaques de verre réalisées entre les années 1900 et 1950 par M. Léon Saunal, photographe, horloger et bijoutier à La Salvetat-sur-Agout et 122 autres sur support souple (acétate ou nitrate), datant vraisemblablement des années 1930 à 1970. Les indications données pour l'analyse des documents proviennent des informations collectées par l'ODAC lors du don par M. René Saunal, son fils, domicilié à Argeliers (Aude). Le photographe tire le portrait de ses concitoyens, seuls ou en famille, lors d'événements particuliers (mariages, communions). Outre des prises de vue familiales (son magasin, sa parenté), il documente aussi la vie quotidienne du village : autobus, neige, tuée du cochon, logement de prisonniers turcs pendant la Première guerre mondiale, destruction et reconstruction du pont suite à la Seconde Guerre mondiale. Certaines photographies originales ont été reproduites par l'ODAC sur support souple pour leur exploitation (quatre documents).

    En complément, des négatifs et des tirages réalisés par Léon Saunal et son fils René sur la vie de La Salvetat ont été donnés à l'ODAC (voir les fiches de collecte concernant La Salvetat-sur-Agout, conservées en 1770 W 327 à 344).

     

    - Fonds sur la Première Guerre mondiale (absence de n° d'inventaire ODAC).

    Ensemble de 47 plaques de verre stéréoscopiques légendées. Toutes datées de 1916, elles représentent les champs de bataille et les villes dévastées principalement dans la Somme et le Pas-de-Calais.

     

    - Fonds de la famille Soulas (absence de n° d'inventaire ODAC).

    Ensemble de plaques de verre réalisées par la famille Soulas originaire de Viols-le-Fort, et vraisemblablement par Louis Soulas.

    Cet ensemble comporte au moins 500 plaques de verre. Son identification a été possible grâce aux légendes, aux personnes et aux lieux représentés, mais il est possible que d'autres plaques dans le fonds de l'ODAC en fassent partie. Parmi celles qui sont identifiées se distinguent deux périodes.

    La première, dont le volume est le plus important, concerne principalement des vues stéréoscopiques des années 1920 à 1930, qui documentent la vie de la famille (le père qui photographie, la mère et les deux enfants) dans la région parisienne, lieu de sa résidence principale (vues prises à Gif-sur-Yvette en juin 1924, à Versailles en 1925 et 1926, le Quai d'Orsay en 1926 ; et dans les bois alentours), et dans l'Hérault (portraits d'André et de Claude, activités locales), ainsi que des excursions en France (Granville dans la Manche en 1924 et Saint-Quay en Bretagne en juillet de la même année, Strasbourg en Alsace en septembre de la même année) et un voyage autour de la Méditerranée effectué en 1926 (Haute-Egypte, Le Caire, Palestine et Jérusalem, Beyrouth au Liban, la Grèce à Athènes et en Thessalonique, Istanbul en Turquie, et pour finir le Stromboli, Naples, Rome et Milan en Italie).

    Il semblerait qu'un second ensemble de plaques de verre panoramiques concerne la même famille pour la période qui suit dans les années 1930-1940, mais il n'est pas identifié comme tel (absence de légende). Il est toutefois possible d'y reconnaître certains enfants et adultes à un âge plus avancé.

    La séparation par format des fonds familiaux et l'absence de légende sur bon nombre de plaques de verre n'ont pas permis un recensement exhaustif des documents concernant cette famille. D'autres sont assurément encore à identifier.

    Une série d'une trentaine de photographies originales de la famille Soulas a été reproduite par l'ODAC sur support souple et sur des planches-contacts pour leur exploitation.

     

    Le reste du versement des plaques de verre de l'ODAC comporte de nombreuses vues de paysages et des portraits dont la provenance n'est pas identifiée, pas plus que les lieux ou l'identité des personnes.

    Il faut remarquer tout de même quelques lots cohérents :

    voyage dans un pays tropical à l'époque des colonies (vues de pirogues à balancier, de végétation tropicale, hutte, population locale et colons à casque) ;
    ensemble de vues sportives : course automobile, cycliste, tennis, water-polo, football, avion ;
    lot de plaques numérotées sur le gouffre de Padirac dans le Lot ;
    lot de plaques issues d'un voyage en Europe reconnaissables à la forme arrondie des vues (monuments et lieux marquants de différents pays d'Europe : France, Pays-Bas, Belgique, Russie, etc.).

  • Accroissement

    Fonds clos

  • Mode de classement

    Les plaques de verre de l'ODAC ont été cotées en 1780 W lors de leur versement aux Archives départementales parmi des documents administratifs, des photographies sur tous types de support et des documents audiovisuels et sonores. Les plaques de verres correspondaient aux articles 39, 56 à 57, 60 à 65, 68 à 69 et 72 (pour davantage de détails, consulter l'inventaire du versement 1780 W).

    En vue du programme de numérisation, pour faciliter le traitement du versement, l'ensemble des plaques de verre de l'ODAC a été recoté avec le numéro de versement 1926 W.

    Les plaques de verre ont alors été classées par format, afin de faciliter leur numérisation, ce qui a provoqué un éclatement des fonds de même provenance, et rend de de fait les indications de provenance non exhaustives. Les plaques de verre cassées ou en très mauvais état ont été rangées à part.

    Elles ont été reconditionnées dans des pochettes en papier neutre.

  • Conditions d’accès et d’utilisation
  • Modalités d’accès

    Se référer au réglement de la salle de lecture

  • Sources complémentaires
  • Documents séparés

    Les fiches de collecte des documents identifiés par un numéro ODAC (complet ou NI) sont conservées dans le versement 1770 W. Les fiches de collecte correspondant aux numéros d'inventaire ODAC non identifiés (par exemple. NI 27) sont cotées 1770 W 440 à 447.

    Les fiches de collecte correspondant aux numéros d'inventaire ODAC complets (par exemple 8901943) sont classées par commune pour l'Hérault (voir notamment pour le fonds Saunal, à La Salvetat-sur-Agout, 1770 W 339 à 343) et par département pour les autres départements (voir 1770 W 448 à 454).

    Certaines fiches de collecte sont manquantes, se reporter à l'inventaire du 1770 W.