Basile Rouaix (né le 7 décembre 1881 à Sète), sergent au 122e Régiment d'Infanterie, est blessé aux jambes sur le Front belge le 28 décembre 1914 ; il est soigné à l'hôpital militaire de Rouen en 1915 et entretient une correspondance très suivie avec son épouse, Thérèse Rouaix, née Doumergue, institutrice à Cessenon. Basile Rouaix est à nouveau blessé à la tête et à la main en mars 1917 ; il est tué le 15 septembre 1918 au combat de Jumencourt (Aisne).
Achat Pierre Gavilan (entrée n° 4249, 17 mars 2009).
- Années 1906-1913. [vues n° 1-97]
- Année 1914. [vues n° 98-270]
- Année 1915. [vues n° 271-739]. A noter : une photographie de la chambrée de Basile Rouaix à l'hôpital de Rouen (10 février 1915) [vue n° 326 ].
- Années 1916-1918. [vues n° 740-769]
- Années 1921-1941 : lettres expédiées à Thérèse Rouaix postérieurement au décès de son époux. [vues n° 770-784]
- Correspondance non datée ou provenant d'autres expéditeurs (1912-1915). [vues n° 785-845]
[Basile Rouaix est mobilisé en septembre 1914 comme sergent et suit une préparation à Rodez [vues n° 98-231], puis il passe par Dunkerque, Godewaersvelde (Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais) et Dickebush (Belgique) [vues n° 232-262] pour rejoindre le Front à Ypres (Belgique) (28 décembre 1914 - 3 mai 1915). Il est blessé aux jambes lors d'un combat [vue n° 275] et soigné à l'hôpital auxiliaire Cousin à Rouen (Seine-Maritime, Haute-Normandie) [vues n° 263-483]. Basile Rouaix est ensuite affecté à la 27e compagnie. Encore affaibli, il est considéré comme inapte et attend son ordre de départ au cantonnement de Rodez (Aveyron, Midi-Pyrénnées) (7 mai 1915 - 20 juillet 1915) [vues n° 484-647]. Sa famille le rejoint à Cransac (Aveyron, Midi-Pyrénées) (juillet - septembre 1915) [vues n° 648-674], puis Basile Rouaix revient à Rodez (septembre - octobre 1915) [vues n° 675-704].
[vues n°705-739] suite d'enveloppes
Le 13 mars 1916, Basile Rouaix est légèrement blessé à la tête et à la main droite lors d'un accident de voiture et hospitalisé à Fleury-sur-Aire (Meuse, Lorraine) [vues n°745-752]. Il stationne ensuite au Chemin des Dames (Aisne, Picardie) (mars 1917) [vue n°753-764].]