Marie Etienne Evariste Guerre, fils de négociant, est né le 7 avril 1831 à Mèze. Rentier à Montpellier (3, rue Sainte-Croix), il est aussi propriétaire à Loupian et à Mèze (domaine de Félines). Il épouse le 29 décembre 1856 à Montpellier Marie Claire Pauline Charamaule (née le 11 février 1832 à Montpellier), fille d'Hippolyte Melon Charamaule (né le 23 avril 1794 à Mèze, décédé à Lunas le 23 février 1886), avocat, député de l'Hérault, président de la commission préfectorale de l'Hérault en...
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Marie Etienne Evariste Guerre, fils de négociant, est né le 7 avril 1831 à Mèze. Rentier à Montpellier (3, rue Sainte-Croix), il est aussi propriétaire à Loupian et à Mèze (domaine de Félines). Il épouse le 29 décembre 1856 à Montpellier Marie Claire Pauline Charamaule (née le 11 février 1832 à Montpellier), fille d'Hippolyte Melon Charamaule (né le 23 avril 1794 à Mèze, décédé à Lunas le 23 février 1886), avocat, député de l'Hérault, président de la commission préfectorale de l'Hérault en 1848 et proche ami de Victor Hugo (les archives d'Hippolyte Charamaule sont conservées aux Archives départementales de l'Hérault sous la cote 138 J). Le couple a au moins deux fils : Paul Marie Hippolyte Prosper Guerre (né le 7 novembre 1857 à Montpellier) et Marie Paul Evariste Hippolyte Guerre (né le 12 août 1860 à Montpellier). Evariste Guerre et Pauline Charamaule donnent aussi naissance à une fille le 29 novembre 1870 à Montpellier, Marie Victoire Angélique Valentine Guerre (elle épousera Casimir Maistre, explorateur et directeur de la manufacture de Villeneuvette). Marie Etienne Evariste Guerre décède après 1912.
Paul Marie Hippolyte Prosper Guerre (né le 7 novembre 1857 à Montpellier) est le fils aîné de Marie Etienne Evariste Guerre. Il effectue ses études secondaires au Lycée de Montpellier.
Marie Paul Evariste Hippolyte Guerre (né le 12 août 1860 à Montpellier), fils cadet de Marie Etienne Evariste Guerre, effectue lui aussi ses études secondaires au Lycée de Montpellier. Le 24 octobre 1881, il contracte un engagement spécial pour l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr où il poursuit sa scolarité jusqu'en 1883. A cette date, il est nommé sous-lieutenant au 58e régiment d'infanterie. Il quitte l'armée en 1893 pour soucis de santé.